La première semaine du Ramadhan, réputée comme la plus inflationniste du mois sacré, a été normalement vécue par les Algériens. On craignait objectivement un remake des années précédentes avec leur lot de pénuries et d'inflation insolente, on a eu un marché convenablement approvisionné, des acteurs sereins et participant positivement à l'effort de régulation de l'État…..Lire la suite