Date de publication: 13/07/2020 | Auteur(s): Administrator | Tags: Divers | Visites: 24

ALGERIE
Algérie/Russie
  • Le Président Tebboune reçoit un appel téléphonique de son homologue russe Vladimir Poutine
ALGER, 13 juil 2020 (APS)- Le Président de la République, M. AbdelmadjidTebboune, a reçu lundi un appel téléphonique de son homologue russe, Vladimir Poutine, lors duquel ils ont échangé les informations sur les efforts consentis par leurs pays respectifs en matière de lutte contre la pandémie du nouveau coronavirus et passé en revue les relations bilatérales privilégiées, indique un communiqué de la Présidence de la République."Le Président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune, a reçu lundi matin un appel téléphonique de son homologue russe, M. Vladimir Poutine, Président de la Fédération de Russie, lors duquel ils ont échangé les informations sur les efforts consentis par leurs pays respectifs en matière de lutte contre la pandémie du nouveau coronavirus, passé en revue les relations bilatérales privilégiées et convenu d'£uvrer à leur élargissement et approfondissement dans tous les domaines", lit-on dans le communiqué.A cette occasion, "le Président russe a renouvelé son invitation à effectuer une visite en Russie au Président Tebboune qui l'a acceptée en le remerciant, tout en convenant d'en fixer la date ultérieurement", ajoute la même source."Au plan international, les deux parties ont évoqué le rôle de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep), dont la présidence tournante est assurée actuellement par l'Algérie". A ce propos, le Président de la République a salué "le rôle de la Russie en sa qualité de membre hors Opep en vue de préserver la stabilité des cours des hydrocarbures", précise la même source.Les deux parties ont convenu de "poursuivre la concertation et la coordination avec les autres membres de l'Opep et ses partenaires pour la stabilisation du marché pétrolier international".Concernant les derniers développements en Libye, les deux Présidents ont décidé "d'intensifier la concertation permanente afin de faciliter l'instauration de la paix et de la sécurité dans ce pays frère, dans le cadre d'une solution politique garantissant l'intégrité territoriale et la souveraineté nationale de la Libye", conclut le communiqué. (APS)Algérie/France
  • L'Algérie et la France pourront avancer, une fois les problèmes de mémoire dépassés (Président Tebboune)
ALGER, 13 juil 2020 (APS) - Le Président de la République, AbdelmadjidTebboune, a indiqué lundi que l'Algérie et la France pourront avancer avec "beaucoup de sérénité", une fois les problèmes de la mémoire dépassés, soulignant l'importance d'affronter les "évènements douloureux" du passé pour repartir sur des relations profitables aux deux pays."L’Algérie est incontournable pour la France et la France l'est pour l'Algérie. Il faut affronter ces évènements douloureux pour repartir sur des relations profitables aux deux pays, notamment au niveau économique. La mémoire ne peut être estompée et nous ne pouvons pas en faire ce que nous voulons", a déclaré le Président Tebboune, dans une interview accordée au quotidien français l'Opinion, rappelant que la remise récente des restesmortuaires des chefs de la Résistance populaire contre la colonisation française "constitue un grand pas".Soulignant que d'autres crimes et massacres perpétrés par la machine coloniale "méritent d’être racontés", le chef de l'Etat a indiqué que "beaucoup d’historiens français traitent ces évènements historiques en toute honnêteté".Il a cité, à ce propos, l’historien Benjamin Stora qui a été nommé pour accomplir ce travail mémoriel du côté français. "Il est sincère et connaît l’Algérie et son histoire, de la période d’occupation jusqu’à aujourd’hui.Nous allons nommer son homologue algérien dans les 72 heures. Ces deux personnalités travailleront directement sous notre tutelle respective. Nous souhaitons qu’ils accomplissent leur travail dans la vérité, la sérénité et l’apaisement pour régler ces problèmes qui enveniment nos relations politiques, le climat des affaires et la bonne entente", a soutenu le Président de la République.Revenant sur l'entretien téléphonique qu'il a eu jeudi dernier avec son homologue français, Emmanuel Macron, et dans lequel les questions mémorielles ont été abordées, le Président Tebboune a indiqué que le Président Macron "connaît bien les évènements qui ont marqué notre histoire commune", ajoutant qu'une fois "ces problèmes de mémoire dépassés, nouspourrons avancer avec beaucoup de sérénité"."Il existe une coopération humaine, scientifique et économique entre les deux pays. La France vient de perdre sa première place de pays fournisseur de l’Algérie, mais ce n’est pas irréversible. Nous avons aussi une très forte communauté en France que nous voulons également servir et préserver", a ajouté le chef de l'Etat, soulignant, toutefois, que "les Algériens tiennent beaucoup plus à la reconnaissance de l’Etat français de ses actesqu’à une compensation matérielle"."La seule compensation envisageable est celle des essais nucléaires" dont "les séquelles sont encore vives pour certaines populations, notamment atteintes de malformations. Et certains sites n’ont toujours pas encore été traités", a-t-il dit.Concernant la crise en Libye, le Président Tebboune a indiqué que "la Libye nous a aidés pendant la guerre de libération en accueillant sur son sol des moudjahidin. Il est de notre devoir de lui porter secours", estimant que cela "peut déplaire aux pays qui agissent au nom de leurs intérêts économiques", mais "le jeu de gagne-terrain militaire n’est pas lasolution".Tout en réaffirmant la disponibilité de l’Algérie d'accueillir sur son sol des pourparlers sous l’égide des Nations-Unies", le Président de la République a affirmé que les Libyens "veulent la paix" et qu'il faut travailler sur "une nouvelle feuille de route menant à des élections apaisées d’ici deux à trois ans, sous la supervision de l’ONU et d’ungouvernement de transition issu d’un consensus national".Il a ajouté que le rétablissement de la stabilité de la Libye "est un enjeu de sécurité nationale", soulignant que "nous sommes preneurs de toutes les actions qui peuvent permettre d’obtenir un cessez-le-feu, mais le cessez-le-feu n’est que le début de la solution", assurant que les pays voisins (Algérie, Tunisie et Egypte) "sont le plus à même d’aider ce pays (Libye) à retrouver le chemin de la paix".A propos de la crise au Mali, le président de la République a indiqué que l'Algérie entretient avec ce pays une relation "très proche", soulignant que "la déstabilisation totale du Mali aurait des incidences sur notre pays".Rappelant qu'à la conclusion des accords de paix d’Alger, le phénomène terroriste "n’était pas aussi répandu", le Président Tebboune a fait savoir qu'"aujourd'hui, il y a entre 20.000 et 25.000 terroristes actifs entre le Mali, le Burkina-Faso et le Niger", tout en précisant qu'"il faut bien sûr régler cette question, mais surtout trouver des solutions politiques qui garantissent l’intégrité territoriale du pays".Concernant les relations algéro-marocaines, le président Tebboune a indiqué qu'"il y a toujours eu une surenchère verbale et politique entre nos pays. Mais nos peuples sont frères et se ressemblent"."Nous avons une longue histoire commune et sommes voisins. Nous sommes condamnés à vivre ensemble. En ce qui nous concerne, nous n’avons aucun problème avec le Maroc et sommes concentrés sur le développement de notre pays", a-t-il dit, ajoutant que "nos frères marocains ne semblent pas être dans le même état d’esprit".Le Président de la République a souligné que "la construction de bases militaires à nos frontières est une forme d'escalade qui doit s'arrêter"."Pour eux (Marocains), la République arabe sahraouie est de trop sur l’échiquier international. C’est à eux d’engager le dialogue avec le Polisario. Si les Sahraouis acceptent leurs propositions, nous applaudirons. Nous avons toujours soutenu les mouvements indépendantistes comme celui du Timor Est. C’est presque dogmatique".En réponse à une question sur la possibilité d’envoyer des soldats algériens à l’étranger, le Président de la République a indiqué que "l’Algérie est un pays pacifiste, mais nos troupes pourront s’engager dans des opérations de maintien de la paix sous l’égide de l’ONU, de l’Union africaine et de la Ligue arabe, notamment au Mali ou dans d’autres pays africains".Cependant, a-t-il précisé, "elles ne pourront pas sortir sans obtenir l’aval et le contrôle du Parlement. Nous avons déjà participé à des missions techniques onusiennes au Tchad ou encore de délimitation de frontières".(APS)Présidence/Conseil/réunion/industrie
  • Industrie: M. Tebboune ordonne de promulguer les cahiers des charges avant le 22 juillet
ALGER, 13 juil 2020 (APS)- Le Président de la République, M. AbdelmadjidTebboune a ordonné la promulgation, avant le 22 juillet en cours, des cahiers des charges relatifs à l’industrie automobile, à l’électroménager et aux pièces détachées ainsi qu'à l'importation des véhicules et d'usines usagées.Intervenant lors du conseil des ministres qu'il a présidé dimanche, M. Tebboune "a instruit le ministre de l’industrie à l’effet de libérer les cahiers des charges avant le 22 juillet, concernant le secteur de la construction automobile, la production d’électroménagers, la production de pièces détachées, l’importation de véhicules neufs et l’importationd’usines usagées", a indiqué un communiqué de la présidence de la République.Dans ce sens, le Président a souligné que le cahier des charges relatif à l’importation des véhicules neufs doit intervenir "obligatoirement" avec la mise en place d’un réseau de service après-vente au niveau de tout le territoire national, géré par des professionnels du secteur.Le ministre de l'Industrie, Ferhat Ait Ali Braham, avait expliqué récemment que le cahier des charges fixant les conditions et modalités d'exercice des activités de concessionnaires de véhicules neufs, exigera, outre la possession des capacités nécessaires pour exercer cette activité notamment en matière de showrooms, d’ateliers de services après-vente et dupersonnel qualifié, d'avoir au préalable une commande du client avant de lancer l'opération d'importation.Quant au nouveau cahier de charges relatif à l’activité de production de véhicules, il aura pour objectif principal d’asseoir une véritable industrie mécanique en Algérie, en exigeant un niveau minimum d’intégration de composantes locales de 30% ainsi que la fabrication de la carrosserie localement, selon le ministre.=Electroménagers: libérer les opérateurs avec un taux d’intégration de70%=S’agissant de la feuille de route pour la relance et le développement du secteur de l’industrie, M. Tebboune a observé, lors du conseil des ministres, "avec regret", qu’on continue à accorder encore trop de temps au secteur marchand de l’Etat, lequel a connu plusieurs réformes sans donner de résultats probants, alors qu’il ne représente guère plus de 20% du secteur industriel global du pays au détriment de 80% du secteur.Le Président Tebboune a ainsi ordonné de libérer les entreprises du secteur de l'électroménagers qui présentent un taux d’intégration de 70%, donner la priorité aux secteurs de la transformation, donner la même priorité aux start-ups et passer jusqu’au système déclaratif pour leur création.Ainsi, le registre de commerce ne sera exigé que lorsque la création aura été réalisée.Dans le volet investissement, il a ordonné la mise en place, "dans les plus brefs délais", d'un vrai guichet unique qui aura toute l’autorité pour engager et guider les investissements aux lieu et place des anciennes structures.Le Président Tebboune a, d'autre part, instruit le ministre des Affaires étrangères, en accord avec le ministre de l’Industrie, de prospecter auprès des partenaires européens pour l’acquisition d’unités de production usagées qui doivent impérativement remplir les conditions de fonctionnement avec les intrants locaux, dont l’âge ne dépasserait pas les cinq (5) ans et qui soient directement opérationnelles.Pour rappel, il est autorisé, à l’exception des équipements de transport de personnes et de marchandises, le dédouanement pour la mise à la consommation, les chaînes et équipements de production rénovés, et ce, en vertu de la loi de finances complémentaire pour l'année 2020.(APS)Algérie/finances/réformes
  • La situation financière de l'Algérie lui permet d'accomplir "sereinement" les réformes (Président Tebboune)
ALGER, 13 juil 2020 (APS)- La situation financière de l'Algérie, avec desréserves de change encore appréciables et une meilleure maîtrise des dépenses et des importations, permettra au pays d'accomplir "sereinement" les réformes escomptées, a assuré le Président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune, dans un entretien au quotidien français L'Opinion.Soulignant que le pays détenait actuellement 58 milliards de dollars de réserves de change, en plus de 27 milliards de dollars d'apports annuels des hydrocarbures prévus cette année, le président Tebboune a affirmé que cette situation permettrait au pays d'accomplir "sereinement" les réformes.Cela "nous permet d’accomplir les réformes sereinement. Nous avons combattu la grande corruption. La surfacturation nous coûtait des dizaines de milliards par an. Et nous avons réduit le train de vie de l’Etat et de ses entreprises publiques. Ces économies devraient représenter 20 à 21 milliards de dollars à la fin de l’année", a-t-il argué.Reconnaissant que la situation économique en Algérie demeurait tout de même "difficile", en raison du "bradage" et du "détournement" des ressources nationales dans le passé, M. Tebboune a estimé nécessaire, face à cette situation, aggravée par la crise sanitaire, d'aller vers une réforme économique basée sur une meilleure gestion des ressources et unegénération des plus-values."La relance de l’économie nous permettra d’accomplir les réformes politiques et démocratiques", a-t-il soutenu.Il a, dans ce cadre, réitéré l'engagement du pays à exploiter de nouveaux gisements miniers dont celui de fer de Ghara Djbilat (Tindouf) et celui de zinc à Oued Amizour (Bejaia)."Cela nous permettra de réduire nos importations d’acier et d’autres produits dérivés mais aussi d’exporter de la matière première", a-t-il souligné en faisant part de la détermination de l'Algérie de substituer autant que possible les importations par de la production locale afin de créer des plus-values, y compris dans le domaine des hydrocarbures."Nous voulons réaliser plus de valeur ajoutée dans la chaîne automobile, l’agriculture et l’agroalimentaire et l’industrie lourde", a-t-il poursuivi, en rappelant l'autorisation, dans le cadre de la loi de finances complémentaire de 2020, de l’importation d’usines de moins de cinq ans.Il a, dans le même cadre, rappelé la relance du projet du port d’El-Hamdania, à Tipaza, en partenariat avec la Chine, un projet qui permettra, dit-il, de ravitailler le pays et les pays enclavés d’Afrique.Il a également évoqué le projet de la prolongation du chemin de fer vers le Mali et le Niger pour offrir une voie alternative au transport par route, via la transsaharienne, ce qui permettra de développer la filière sidérurgie à travers la production de rails.= L'ouverture du capital d'entreprises publiques sera étudiée en cas de nécessité =A la question de savoir si l'Algérie "comptait" sur les entreprises françaises pour développer son économie, M. Tebboune, en rappelant que plus de 450 entreprises françaises opéraient en Algérie, a estimé que ces entreprises "sont appelées à jouer leur rôle dans la nouvelle Algérie".Il a fait observer que la France venait de perdre sa place de premier pays fournisseur de l’Algérie. Mais "ce n’est pas irréversible", a-t-il estimé en soulignant l'existence d'une très forte communauté algérienne en France "que nous voulons également servir et préserver".Faisant remarquer que beaucoup d’unités de production étaient en train de mettre la clé sous la porte en Europe, M. Tebboune a estimé que ces entreprise "peuvent avoir une seconde vie en Algérie"."Notre objectif est de fabriquer des produits finis", a-t-il précisé en rappelant l’abrogation de la règle 51-49 ce qui permettra, selon lui, d’attirer de nouveaux investissements.Il a même avancé la possibilité, en cas de nécessité, d'étudier l'ouverture du capital de certaines entreprises publiques."Nous étudierons, si nécessaire, l’ouverture du capital de certaines entreprises publiques", a-t-il avancé.Et pour rassurer davantage les investisseurs, l'Algérie compte interdire toute réglementation d’une durée de vie de moins de dix ans, a-t-il encore avancé, en regrettant le fait que l’instabilité des réglementations "a déjà nui à l’essor des activités".Interrogé, d'autre part, sur le motif du dernier remaniement ministériel, M. Tebboune a expliqué que ce changement a été dicté par le besoin d'avoir "davantage d'expérience" dans des secteurs vitaux comme les hydrocarbures ou l'Agriculture."Le rajeunissement du gouvernement figurait parmi mes promesses de campagne. Les jeunes ministres sont au travail et donnent satisfaction.Pour certains secteurs vitaux, comme les hydrocarbures, les mines et l’agriculture, il fallait davantage d’expérience", a-t-il argué.L’objectif principal, soutient-il, étant de valoriser toutes ses ressources alors que le pays a perdu 60% de ses revenus pétroliers. (APS)Présidence/économie/pandémie
  • Covid-19: le Président Tebboune ordonne la mise en place d’une commission d’évaluation de l'impact économique
ALGER, 13 juil 2020 (APS)- Le Président de la République, M. AbdelmadjidTebboune, a ordonné la mise en place d’une commission d’évaluation des incidences de la pandémie du Coronavirus (Covid-19) sur l’économie nationale, a indiqué un communiqué de la Présidence de la République, rendu public à l'issue de la réunion du Conseil des ministres tenue dimanche.M. Tebboune a donné des instructions pour "la mise en place d’une commission présidée par le Premier ministre et regroupant les partenaires sociaux et les opérateurs économiques", a précisé la même source.Cette commission élaborera un rapport qui sera présenté à la prochaine réunion du Conseil des ministres.Le Président Tebboune avait exprimé, à maintes reprises, l'engagement de l'Etat à soutenir toutes les entreprises et les professions impactées par la pandémie, tout en invitant les opérateurs concernés à faire preuve d'honnêteté en sollicitant l'aide de l’Etat."Nous sommes prêts à aider les entreprises qui présentent des chiffres clairs", avait-t-il promis. (APS)Energie/réserves/gisement/exploitation
  • Réserves énergétiques: le Président Tebboune ordonne l'exploitation de tous les gisements
ALGER, 13 juil 2020 (APS)- Le Président de la République, M. AbdelmadjidTebboune, a donné instruction pour l'exploitation de tous les gisements existants dans le pays et pour relancer les activités de prospection des réserves non exploitées.L'instruction a été donnée lors de la réunion périodique du Conseil des ministres, tenue dimanche par visioconférence, a indiqué un communiqué de la Présidence de la République.Le Chef de l’Etat a ainsi donné des instructions précises en faveur de la relance des activités de prospection des réserves non exploitées à travers des études précises et documentées.Il a rappelé, dans le même cadre que de nombreux gisements existent à cet effet aussi bien sur le territoire national qu’au large des côtes, en off-shore, où les potentialités sont réelles comme l’indique le travail de prospection déjà réalisé.Le Président de la République a souligné qu'un autre axe de travail devrait être organisé dans le secteur autour de la récupération des réserves existantes pour parvenir à relever, à brève échéance, le taux de récupération au-delà de 40%.Le Chef de l’Etat a ordonné dans le même sillage qu’au premier trimestre 2021, devrait être arrêtée toute importation de carburant et de produits de raffinage.S'agissant du secteur des Mines, le Président de la République a donné des instructions concernant l’exploitation optimale et transparente de toutes les potentialités minières dont dispose le pays et des richesses naturelles nationales.Il a insisté particulièrement sur la mise en exploitation, dans les plus brefs délais, de la mine de fer de Gara Djebilet, dans la wilaya de Tindouf, du gisement de Zinc et plomb d’Oued Amizour (Béjaia) et sur la relance du projet de fabrication de produits phosphatés à El Aouinet (Tebessa).Le Président de la République a également demandé d’établir immédiatement la carte géologique de tous les gisements exploitables en terres rares, en tungstène, en phosphates, en barite et autres matériaux tout en encourageant la confection des textes autorisant l’exploitation des gisements aurifères de Djanet et de Tamanrasset par les jeunes, pour lapartie non exploitable industriellement, et lancer un partenariat, pour les grands gisements.D'autres décisions ont été prises, par ailleurs par le Président de la République, relatives au secteur de l’énergie concernant la poursuite des processus de raccordements locaux, notamment ceux des exploitations agricoles pour renforcer la production et créer des emplois.Il a également décidé le transfert de la réalisation de la ville de Hassi Messaoud auministère de l’Habitat et la remise de l’Institut Algérien du Pétrole (IAP) sous l’autorité du ministère de l’enseignement supérieur.(APS)Gouvernement/régions/visite
  • Le Premier ministre affirme le soutien total de l’Etat aux investisseurs dans les industries de transformation
SIDI BEL-ABBES, 13 juil 2020 (APS) - Le Premier ministre, Abdelaziz Djerrada affirmé, lundi à Sidi Bel-Abbes, le soutien total de l’Etat aux investisseurs dans les industries de transformation, eu égard à leur importance et leur capacité à contribuer à réduire la dépendance aux hydrocarbures.M. Djerad a déclaré, lors de l’inauguration d’une usine de transformation du marbre et du granite dans la commune de Sidi Ali Benyoub, la plus grande du genre au niveau africain, que le développement des industries de transformation fait partie de la stratégie du président de la République, Abdelmadjid Tebboune, qui "accorde un soutien total aux investisseursactivant dans le domaine de l’industrie de transformation", a-t-il dit."L'industrie de transformation est très importante pour notre pays qui recèle des ressources naturelles, à l’instar des domaines miniers et de l’agriculture. Elle nous permettra de renforcer progressivement le secteur industriel et de réduire la dépendance à la rente pétrolière et gazière", a souligné le Premier ministre.M. Djerad, qui a eu droit à des explications sur le processus de transformation de la matière brute (pierre) en marbre et en granite, a exhorté le propriétaire de cette usine à la formation des jeunes dans ce créneau ainsi que la création d’emplois.Il a insisté, également, sur l’encouragement et l’accompagnement de la création de petites et moyennes entreprises autour de cette usine pour permettre aux jeunes d’investir dans ce genre d’industrie "importante", appelant les investisseurs algériens à l’achat d’usines européennes en arrêt d’activité, notamment celles proposées à des prix raisonnables, relevant l’importance de telles opérations pour "soutenir l’industrie enAlgerie".Implantée sur une superficie de 64.542 mètres carrés, cette usine est dotée d’une capacité de production de 10.000 mètres carrés de différents types de marbre et de granite et offre actuellement de plus de 400 postes d’emploi direct.Selon les explications fournies sur place, la matière première (pierre) provient de quatre carrières des régions de Tamanrasset et d’Aïn Guezzam, pour une capacité de de transformation estimée à près de 12.000 tonnes par mois.Cette usine qui fonctionne selon les standards internationaux assure la couverture des besoins nationaux en la matière.Le Premier ministre poursuit sa visite de travail dans la wilaya par l’inspection d’une exploitation agricole d’arbres fruitiers dans la commune de Tabia et la mise en service d’un réseau de gaz de ville au profit des habitants du village "Djouaher" dans la commune de Sidi Lahcen.Il devra s’enquérir également de la prise en charge des malades atteints du coronavirus et présider une cérémonie de remise des clés de 1.607 logements de différentes formules, ainsi que 20 décisions d’aide à l’habitat rural, 20 bus de transport scolaire et 10 camions au profit de l’Office national d’assainissement. (APS)Gouvernement/régions/visite
  • Le Premier ministre inspecte la nouvelle cité 1200 logements AADL à Sid Bel Abbès
SIDI BEL-ABBES, 13 juil 2020 (APS) - Le Premier ministre, Abdelaziz Djerad,a inspecté, lundi, dans le cadre de sa visite dans la wilaya de Sidi Bel-Abbès, la nouvelle cité 1.200 logements, située au chef-lieu de wilaya et livrée près d’une année avant les délais impartis.Sur place, après avoir suivi les explications données sur ce site et sur les programmes d’habitat dont a bénéficié la wilaya de Sidi Bel-Abbès, M. Abdelaziz Djerad a souligné la nécessité de respecter les délais de réalisation des projets d’habitat et d’impliquer les habitants dans la préservation du site, de l'environnement et du cadre de vie.Réalisée dans le cadre des programmes de l’agence nationale de l’amélioration et du développement du logement (AADL), cette nouvelle cité a été baptisée, à cette occasion, au nom du chahid Berichi Amar.La livraison de ce site était prévue, selon les engagements de l’entreprise réalisatrice pour le mois de mars 2021. Les efforts des parties intervenantes dans le projet ont permis la livraison du chantier bien avant la date prévue.La cité chahid Berichi Amar est composée d’appartements de type F3 et F4, répartis sur 47 blocs, selon la fiche technique du site.La wilaya de Sidi Bel Abbès a bénéficié d’un programme de 9.150 logements inscrits dans le cadre des programmes AADL dont 5.000 unités ont été déjà achevées.Selon les responsables locaux du secteur de l’habitat, 4.150 logements restent à livrer. Les travaux sont toujours en cours pour la réalisation de 2.900 unités, alors que les travaux de 1.250 autres n’ont pas encore été lancés, a-t-on indiqué. (APS)Gouvernement/régions/visite
  • Sidi Bel Abbes : M. Djerad préside la mise en service d’un réseau de gaz naturel au profit du village Djouaher
SIDI BEL ABBES, 13 juil 2020 (APS) - Le Premier ministre, Abdelaziz Djerad,a présidé lundi, dans le cadre d’une visite de travail et d’inspection dans la wilaya de Sidi Bel-Abbes, la mise en service d’un réseau de gaz naturel au profit des habitants du village de "Djouaher", considéré comme zone d’ombre dans la commune de Sidi Lahcen.S'adressant aux habitants du village qui lui ont réservé un accueil chaleureux, le premier ministre a rassuré sur la prise en charge de leurs préoccupations quotidiennes."Nous £uvrons à régler les problèmes quotidiens des citoyens concernant l’eau, le gaz et autres services", a déclaré M. Djerad lors de sa rencontre avec les villageois qu'il a invités à ne pas hésiter à soumettre leurs soucis au wali auquel incombe le devoir de les prendre en charge.Le réseau de gaz de ville mis en service, d’une longueur de 8,4 kilomètres linéaires, a été réalisé en 60 jours pour assurer le raccordement de 305 foyers.Sur place, le Premier ministre, en compagnie d’une délégation ministérielle, a suivi un exposé sur l’état d’avancement des travaux du projet du réseau d’assainissement dans cette région.Le taux d’avancement des travaux de canalisation du réseau d'assainissement qui s’étend sur 4.100 mètres linéaires, a atteint 65 pour cent.Le réseau permettra de mettre fin aux fosses septiques creusées de manière anarchique, de lutter contre les maladies à transmission hydrique et d’améliorer le cadre de vie des habitants.A l’occasion, un exposé a été présenté au Premier ministre sur le programme de prise en charge des zones d’ombre disséminées à travers la wilaya. Les 189 zones concernées nécessitent 364 opérations de développement dans différents secteurs aussi importants que l’éducation, la santé, le gaz de ville, l’électricité et autres, a-t-on précisé.A présent, 131 opérations ont été concrétisées et 64 sont en cours de réalisation.En ce qui concerne le raccordement de zones d’ombre en énergie solaire, le Premier ministre a annoncé la décision d’allouer d’une enveloppe de 400 millions DA pour financer cette opération dans la wilaya de Sidi belabbes.Il est prévu, par ailleurs, l’approvisionnement de quelque 1.000 foyers des zones d’ombre en gaz propane.Le taux de raccordement à l’électricité dans la wilaya a atteint 99 pour cent, selon les explications fournies au Premier ministre.(APS)Gouvernement/régions/visite
  • M. Djerad préside une cérémonie de distribution de 1.607 logements à Sidi Bel Abbès
SIDI BEL ABBES, 13 juil 2020 (APS) - Le Premier ministre, Abdelaziz Djerad,a présidé lundi une cérémonie de remise de 1.607 clés de logements, tous types confondus, à leurs bénéficiaires, lors de sa visite de travail effectuée dans la wilaya de Sid Bel Abbès.Le plus grand nombre des logements distribués, à savoir 1.200 unités, concerne les souscripteurs du programme de l’Agence nationale de l’amélioration et du développement du logement (AADL), selon les services de la wilaya.Lors de la même cérémonie, il a été procédé à la remise des clés aux bénéficiaires de 307 logements publics locatifs (LPL), ainsi qu’à ceux de 100 logements promotionnels aidés (LPA).Dans le même registre, 20 décisions d’aide à l’habitat rural ont été remises à leurs bénéficiaires.Le secteur de l’éducation a tiré lui aussi profit de la visite de M. Djerrad, à travers la réception, au cours de cette cérémonie, de 20 bus de transport scolaire au profit des différentes communes de la wilaya.Pour sa part, l’Office national de l’assainissement, s’est vu attribuer 10 camions hydro-cureurs, un apport devant lui permettre d’améliorer son rendement et le rendre plus efficace, se sont réjouis les responsables de cet organisme.(APS)Gouvernement/régions/visite
  • Le Premier ministre à Sidi Bel-Abbes : redonner à l’agriculture la place qui lui sied
SIDI BEL-ABBES, 13 juil 2020 (APS) - Le Premier ministre, Abdelaziz Djerad,en visite de travail dans la wilaya de Sidi Bel-Abbès, a souligné, lundi, la nécessité de redonner au secteur de l’agriculture la place qui lui sied et d’encourager l’investissement dans ce domaine.Au niveau de l’exploitation agricole "Harima Rabah", implantée dans la commune de Tabia, première étape de sa visite, Abdelaziz Djerad a insisté sur la place et l’apport de l’agriculture dans l’économie nationale, mettant en exergue la nécessité d’un retour vers ce secteur, créateur d’emplois et de richesses et pour réduire la facture des importations."Notre production agricole est variée et de qualité. Le secteur doit être valorisé en encourageant l’investissement et en mobilisant les moyens nécessaires pour intervenir et exploiter de grandes surfaces", a souligné le Premier ministre.Dans ce cadre, l’Etat interviendra pour apporter son assistance mais c’est à l’entreprise d’assurer et d’apporter la plus-value, a encore précisé Abdelaziz Djerad, soulignant la nécessité de développer et d’encourager l’industrie de transformation des produits agricoles pour répondre aux besoins nationaux.Le Premier ministre a, en outre, insisté sur l’importance à donner à la région du Sud du pays dans le but de diversifier la production agricole et d’alléger la facture des importations.L’exploitation agricole "Harima Rabah" est le fruit d’un investissement privé. Elle s’étend sur une superficie totale de 1.364 has et spécialisée dans l’arboriculture fruitière, couvrant une superficie de 997 hectares de pommiers, pêchers, pruniers, cerisiers, vignes, abricotiers et plaquemines.L’exploitation assure une production totale de 560.210 quintaux.Cette exploitation utilise le système d’irrigation du goutte à goutte qui assure une économie de l’eau, grâce à un réseau comportant dix bassins d’accumulation d’une capacité totale de 1.900.000 m3.Cet investissement, réalisé sur fonds propres, est doté d’infrastructures de stockage, composées de deux chambres froides d’un volume total de 2000 m3 et de deux hangars d’une capacité totale de 1.800 m2.L’exploitation agricole a permis, en outre, la création de 560 postes d’emploi, dont 260 permanents et 300 autres saisonniers. Elle est répartie sur trois sites, deux au niveau de la commune de Sidi Ali Benyoub et un troisième dans la commune de Tabia. (APS)Armée/installation
  • Installation du Général-major Omar Tlemsani à la tête du Commandement de la 4ème Région militaire (MDN)
ALGER, 13 juil 2020 (APS)- Le Général de corps d'Armée Saïd Chanegriha,Chef d’état-major de l’Armée nationale populaire (ANP), a présidé, lundi, la cérémonie d’installation officielle du Général-major Omar Tlemsani dans les fonctions de Commandant de la 4ème Région militaire à Ouargla, en succession du défunt Général-major Hassan Alaïmia, décédé il y a quelques jours, indique un communiqué du ministère de la Défense nationale."Au nom de Monsieur le président de la République, Chef suprême des Forces armées, ministre de la Défense nationale, Monsieur le Général de corps d'Armée Saïd Chanegriha, Chef d’état-major de l’Armée nationale populaire, a présidé, ce lundi 13 juillet 2020, la cérémonie d’installation officielle du Général-major Omar Tlemsani dans les fonctions de Commandant de la 4ème Région militaire à Ouargla, en succession du défunt Général-major Hassan Alaïmia décédé il y a quelques jours", précise le MDN."A l'entame et après la cérémonie d'accueil, le Général de corps d'Armée a observé un moment de recueillement à la mémoire du Chahid Chihani Bachir, Chef de la 1ère wilaya Historique, dont le nom est porté par le siège de la Région, et a déposé une gerbe de fleurs devant la stèle commémorative, avant de réciter la Fatiha du Saint Coran à sa mémoire et à celle de nos valeureux Chouhada", souligne le communiqué.Le Chef d’état-major de l’ANP a, par la suite, passé en revue les carrés des cadres et personnels du Commandement de la Région, alignés au niveau de la Place d’Armes, avant de procéder à l’installation officielle du Général-major Omar Tlemsani, nouveau Commandant de la Région, en succession du défunt Général-major Hassan Alaïmia."Au nom de Monsieur le président de la République, Chef Suprême des Forces armées, ministre de la Défense nationale, et conformément au décret présidentiel du 09 juillet 2020, j’installe officiellement le Général-major Omar Tlemsani dans les fonctions de Commandant de la 4ème Région militaire, en succession du défunt Général-major Hassan Alaïmia", a déclaré M. Chanegriha avant de donner des instructions "fermes" aux cadres etpersonnels du Commandement de la Région, note le communiqué du MDN."A cet effet, je vous ordonne d’exercer sous son autorité et d'exécuter ses ordres et ses instructions dans l'intérêt du service, conformément au règlement militaire et aux lois de la République en vigueur, et par fidélité aux sacrifices de nos vaillants Chouhada et aux valeurs de notre Glorieuse Révolution, qu'Allah nous aide", a-t-il ordonné.Le Général de corps d'Armée a, par la suite, supervisé la cérémonie de passation de l'emblème national.(APS)

CONJONCTURE

Marchés/pétrole/prix
  • Le Brent à 42,7 dollars
LONDRES, 13 juil 2020 (APS)- Les prix du pétrole cédaient du terrain lundidevant la perspective d'une hausse de la production des membres de l'Opep+ au mois d'août et l'avancée de la pandémie de Covid-19, notamment aux Etats-Unis.En début d'après-midi, le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en septembre valait 42,70 dollars à Londres, en baisse de 1,25% par rapport à la clôture de vendredi.A New York, le baril américain de WTI pour le mois d'août abandonnait 1,58%, à 39,91 dollars."Le pétrole commence la semaine dans le rouge car l'offre des membres de l'Opep+ devrait augmenter à partir du mois d'août, tandis que le nombre de cas de Covid-19 aux Etats-Unis et dans d'autres pays interroge sur le rythme de la reprise de la demande mondiale", a estimé Louise Dickson, analyste de Rystad Energy.Les 13 membres de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) et leurs 10 partenaires, rassemblés sous le terme Opep+, se retrouvent en milieu de semaine par webcams interposées pour évaluer, comme il est prévu chaque mois, "les conditions du marché de l'énergie, les niveaux de production et de conformité" à l'accord en vigueur, selon l'organisation.L'Opep+ s'est engagée en avril à réduire sa production de 9,7 millions de barils par jour (mbj) en mai et juin et a reconduit cet effort au mois de juillet.La hausse de la production doit ensuite se faire de manière progressive: la coupe ne sera plus que de 7,7 mbj d'août jusqu'à décembre, puis de 5,8 mbj de janvier 2021 à avril 2022.Les observateurs et acteurs de marchés essayent d'anticiper l'appréciation, par l'Opep et ses alliés, de la vitesse de la reprise économique qui peut influer sur la marche programmée des coupes.Les cours risquent par conséquent "d'être très volatils cette semaine car le marché est sujet à plusieurs rumeurs" autour de cette réunion, a expliqué Naeem Aslam, d'Avatrade.Ils suivent aussi de près l'évolution de la pandémie: si une étude montrant une relative efficacité de l'anti-viral remdesivir pour combattre le Covid-19 a soutenu les cours vendredi, les chiffres de contaminations aux Etats-Unis, premier consommateur d'or noir, ont plutôt tendance à les plomber lundi. (APS)Marchés/changes
  • L'euro se stabilise face au dollar dans un marché confiant
LONDRES, 13 juil 2020 (APS)- L'euro se stabilisait lundi face au dollar,après avoir démarré la séance en hausse, tiré par l'optimisme ambiant.L'euro prenait 0,07% face au billet vert lundi matin, à 1,1308 dollar.Quelques heures plus tôt, il avait semblé vouloir gagner du terrain tandis que les bourses asiatiques ont démarré la semaine en nette hausse.Le dollar étant généralement considéré comme une valeur refuge, il a tendance à s'affaisser lorsque l'optimisme gagne les investisseurs. Ceux-ci préférant se diriger vers des actifs plus risqués."L'économie de la Chine est en train de récupérer du choc Covid-19 et les indicateurs ont récemment signalé que la croissance allait probablement encore accélérer", a expliqué Lee Hardman, analyste pour MUFG, afin de justifier l'optimisme des marchés.Le chiffre de la croissance au deuxième trimestre est attendu jeudi, et il devrait revenir en terrain positif après une chute de 6,8% au premier trimestre.Vendredi dernier, les investisseurs avaient réagi à une étude montrant une relative efficacité de l'anti-viral remdesivir pour combattre le Covid-19."L'optimisme prudent (...) est en partie éclipsé par l'augmentation du nombre de cas, particulièrement aux Etats-Unis", a toutefois fait remarquer Fiona Cincotta, analyste pour City Index.Les Etats-Unis, qui sont de loin le pays le plus lourdement touché par la pandémie, ont recensé dimanche 59.747 nouvelles contaminations en 24 heures, selon le bilan quotidien de l'université Johns Hopkins. Le nombre de cas confirmés s'établit à 3.301.820 et le nombre de décès à 135.171.Un responsable du ministère de la Santé à Washington a estimé dimanche qu'un reconfinement dans certains grands Etats du sud particulièrement touchés n'était pas exclu.(APS)