Source(s): Compétition
Date de publication: 19/07/2020 | Auteur(s): Administrator | Tags: Divers | Visites: 13

ALGERIE

Présidence/médias Le Président Tebboune accorde une entrevue à des responsables de médias nationaux
  • ALGER, 19 juil 2020 (APS)- Le Président de la République, M. Abdelmadjid
Tebboune a accordé une entrevue à des responsables de médias nationaux lorsde laquelle il a abordé nombre de questions internes et régionales, indiquedimanche un communiqué de la Présidence de la République"Le Président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune a accordé, dans lecadre de ses rencontres périodiques régulières avec la presse nationale,une entrevue à des responsables de médias nationaux lors de laquelle il aabordé nombre de questions internes et régionales", lit-on dans le communiqué.L’entrevue sera diffusée ce dimanche à 21h00 sur les chaines télévisuelleset radiophoniques nationales, a précisé la même source. (APS)Algérie/méditerranée/jeux/infrastructures
  • Stade de 40.000 places d'Oran : la cadence des travaux avance d'une manière"appréciable" (ministres)
ORAN, 19 juil 2020 (APS) - Les travaux de réalisation du nouveau staded'Oran de 40.000 places avancent d'une cadence"appréciable" et "trèssatisfaisante", ont estimé dimanche à Oran, les ministres de l'Habitat, del'Urbanisme et de la Ville, Kamel Nasri, et de la Jeunesse et des Sports, Sid Ali Khaldi."La cadence des travaux avancent d'une manière très appréciable. Il s'agitd'un équipement sportif qui fait la fierté du sport algérien", à déclaré M.Nasri à la presse en marge de sa visite au stade en question.Le ministre s'est, en outre, félicité du règlement de la quasi-totalitédes problèmes techniques, financiers et contractuels, "ayant permisjustement cette avancée considérable des chantiers du stade" qui abritera,entre autres, les cérémonies d'ouverture et de clôture des jeuxméditerranéens prévus dans la capitale de l'ouest en 2022.Il s'est dit, aussi,"confiant" quant aux capacités du pays d'organiser uneépreuve méditerranéenne "de premier ordre", avec à la clé "une bonnemoisson de médails des athlètes algériens".Même son de cloche pour le ministre de la jeunesse et des sports qui a misen exergue la valeur de cette nouvelle infrastructure relevant d'un grandcomplexe sportif en cours de réalisation."Cet ouvrage vient renforcer le parc des infrastructures sportivesalgérien, à même d'offrir au pays les opportunités d'organiser à l'avenirdes manifestations sportives internationales d'envergure", a-t-il dit.M. Khaldi a néanmoins insisté sur la nécessité de livrer le stade, dont letaux d'avancement des travaux est estimé à 92%, ainsi que les structurescomplémentaires du complexe sportif (salle OMS, stade d'athlétisme etCentre nautique), dont le taux d'avancement a atteint les 40%, "dans lesdélais impartis", ajoutant que ces installations "doivent subir des testsen accueillant des compétitions internationales au moins une année avant lerendez-vous méditerranéen".Les deux ministres se sont engagés au passage à régler "tout problèmerisquant d'entraver la bonne marche des travaux", à l'image de laréalisation de la piste d'athlétisme du stade de football, dont les travauxsont gelés à cause des difficultés rencontrées dans l'importation de lamatière première nécessaire de Suisse, en raison des dispositions deprévention contre la propagation de la pandémie de coronavirus.Ce n'est pas le cas pour le terrain en gazon naturel qui est désormaisopérationnel, et dont la qualité a été vanté par les deux ministres.Pour sa part, Salima Souakri, secrétaire d'Etat chargée du sport d'elite,qui a accompagné les deux Ministres dans cette visite de travail etd'inspection à Oran, a assuré que son département, en coordination avec leministère de la jeunesse et des sports, "mettra tout en eouvre pour assureraux athlètes algériens la meilleure préparation possible afin de réussirdes performances de taille lors de la 19e édition des jeux méditerranéens". Outre le complexe olympique, la délégation ministérielle, en compagnie desautorités locales, s'est enquis de l'avancement des travaux des chantiersdu village méditerranéen, situé à quelques kilomètres du complexe olympique.Sur place, des instructions fermes ont été données par les représentantsdu gouvernement pour accélérer la cadence des travaux de cette importanteinfrastructure de près de 5.000 lits. Ce site sera le lieu de résidence desathlètes concernés par l'évènement, et devrait être livré en 2021.(APS)Technologie/pôles/création
  • Enseignement supérieur-industrie : signature lundi de conventions relatives à la création de pôles technologiques
ALGER, 19 juil 2020 (APS) - Le ministre de l'Enseignement supérieur et dela Recherche scientifique, Abdelbaki Benziane, en compagnie du ministre del'Industrie, Ferhat Ait Ali Braham, présidera lundi à Alger une cérémoniede signature de protocoles de conventions relatives à la création de pôlestechnologiques en coopération avec le secteur de l'industrie, indiquedimanche le ministère dans un communiqué.La cérémonie de signature se tiendra en présence de plusieurs membres dugouvernement au siège du ministère de l'Enseignement supérieur, précise la même source."La création d'un pôle technologique repose sur une dynamique d'innovationbasée sur la mise en forme d'un réseau afin de favoriser la circulation desidées, l'échange de compétences, l'accès et la pratique des nouvellestechnologies au plus grand nombre d'acteurs locaux", explique la même source.Pour le ministère, la politique des pôles technologiques permet aussi de"renforcer" la compétitivité de l'économie nationale et "développe"également la croissance et l'emploi, de même qu'elle "encourage" lepartenariat entre les entreprises, les établissements d'enseignementsupérieur et de recherche scientifique et les agences ou les organismes de recherche.A cette occasion, et dans le cadre de la lutte contre le coronavirus(Covid-19), il sera procédé à la présentation de modèles industriels issusde la recherche scientifique en coopération avec le secteur industriel,conclut le communiqué.(APS)Santé/nomination
  • Pr Ismaïl Mesbah prend ses nouvelles fonctions de ministre délégué chargé de la Réforme hospitalière
ALGER, 19 juil 2020 (APS) -Le professeur Ismaïl Mesbah a pris sesnouvelles fonctions de ministre délégué chargé de la Réforme hospitalière,dimanche à Alger, lors d'une cérémonie présidée par le ministre de laSanté, de la Population et de la Réforme hospitalière, AbderrahmaneBenbouzid, indique un communiqué du ministère.Au cours de cette cérémonie, qui s'est déroulée au siège du ministère dela Santé en présence de l'ensemble des cadres de l'administration centrale,il a été également procédé à l'installation de Abdelhak Saïhi dans sesnouvelles fonctions de secrétaire général du ministère, ajoute la même source.Pour rappel, Pr Mesbah, qui a été nommé jeudi dernier par le président dela République, Abdelmadjid Tebboune, dans ses nouvelles fonctions, estspécialiste en infectiologie et exerçait au niveau de l'Etablissementhospitalier des maladies infectieuses El-Hadi Flici (ex El-Kettar) à Alger.Il a également assuré plusieurs fonctions supérieures dans le secteur de la santé.M. Saïhi a également occupé plusieurs postes supérieurs durant son longparcours professionnel.Dans une brève allocution à cette occasion, M. Benbouzid a relevé que lesecteur de la santé vient d'être renforcé par la nomination de ces deuxcompétences, lesquelles "vont certainement conjuguer leurs efforts dans uneperspective d'amélioration de la santé par la garantie d'un service publicde qualité et la protection de tous les citoyens, notamment en cettepériode d'évolution dangereuse que connait la pandémie du Covid-19".(APS)

MAGHREB ARABE

Tunisie/politique/gouvernement/partis/candidats
  • Kaïs Saied fixe un ultimatum pour la désignation d'un candidat à la présidence du gouvernement
TUNIS, 19 juil 2020 (APS)- Le président tunisien, Kaïs Saïed, a annoncéavoir fixé un ultimatum pour les partis politiques, coalitions et blocsparlementaires, pour désigner leurs candidats pour le poste de chef degouvernement, selon un communiqué de la présidence tunisienne."Le président de la République, Kaïs Saïed, a entamé des consultations surle choix du personnage le plus approprié afin de le charger à former ungouvernement", a précisé la même source.Elle a rappelé que le chef de l'Etat tunisien avait adressé jeudi deslettres aux chefs des partis politiques, des coalitions et des blocsparlementaires pour proposer des noms de candidats à la primature,conformément à l’article 89 de la Constitution tunisienne.Dans une déclaration vendredi à l'agence officielle TAP, un responsable àla présidence de la République tunisienne a assuré que jeudi 23 juillet estla date limite de réception des propositions.Mercredi dernier, le chef du gouvernement, Elyes Fakhfakh, avait présentéofficiellement sa démission au président Saïed, quelques heures avant ledépôt, au parlement, d'une pétition de censure à son encontre. Une décisionqu'il a affirmé avoir prise dans "l’intérêt national et afin d’éviter aupays davantage des conflits entre les institutions de l’Etat et enconsécration du principe de moralisation de la vie politique".Fakhfakh a expliqué avoir choisi de démissionner ouvrant ainsi auPrésident Saïed "une nouvelle voie pour une sortie de crise", soulignantson engagement à continuer à assumer pleinement ses responsabilités.Choisi en février pour diriger un gouvernement de coalition, Fakhfakh, quiest sous le coup d'une enquête judiciaire pour conflit d'intérêt, estaccusé depuis fin juin de ne pas avoir cédé la gestion de ses parts dansune entreprise d'assainissement ayant remporté des marchés publics ces derniers mois.Le président tunisien a 10 jours pour nommer une personnalité la plus apteà former un gouvernement, qui aura elle-même un mois afin de convaincre lamajorité absolue des députés d'approuver son équipe.(APS)

AFRIQUE

Mali/CEDEAO/politique/crise/médiation
  • Crise au Mali : la CEDEAO tente une nouvelle médiation
BAMAKO, 19 juil 2020 (APS) û La Communauté économique des Etats del’Afrique de l’ouest (CEDEAO) a décidé de prolonger sa mission de bonsoffices au Mali après l'échec de sa première médiation pour rapprocher lespositions du gouvernement et du mouvement de contestation.Le Mouvement du 5 juin-rassemblement des forces patriotiques (M5-RFP) quidemande le départ du président Ibrahim Boubacar Keita a rejeté samedi leplan de sortie de crise, proposé par les émissaires de cette organisationintergouvernementale, poussant cette dernière à prolonger de 24 heures sonséjour au Mali.Les tractations se poursuivent dimanche et des rencontres officielles et"discrètes" ont encore eu lieu samedi, rapportent des médias locaux.La délégation de la CEDEAO s’est rendue encore une fois samedi chez l’imamMahmoud Dicko, leader du mouvement de contestation du "5 juin".Les entretiens ont notamment porté sur le nom du futur chef dugouvernement malien."Rien d'officiel, mais les lignes pourraient bouger dans ce sens",affirment des observateurs de la scène politique malienneMama Koité Doumbia, présidente de la Plateforme des femmes leaders duMali, a conduit de son côté la délégation de femmes.Dans un communiqué repris dimanche par des médias locaux, le mouvement(M5-RFP) qui mène la contestation au Mali affirme que " les propositions desolutions de la mission de la CEDEAO ne correspondent pas aux aspirationset attentes exprimées par le M5-RFP "."Ces propositions sont les mêmes que celles antérieurement formulées parle président Ibrahim Boubacar Keïta, et rejetées par notre Mouvement",regrette le mouvement dans le même communiqué.La délégation de haut niveau de la CEDEAO a proposé au M5-RFP de fairepartie d’un gouvernement d’union nationale qui engagera notamment desréformes politiques et des poursuites contre les responsables des meurtreslors des manifestations du week-end du 11 juillet.La mission conduite par l'ancien président du Nigeria Goodluck Jonathan etcomposée de personnalités politiques et d'experts de pays membres de laCEDEAO a rencontré à Bamako les différents protagonistes de la crise avecl'objectif de faire évoluer le statut quo et rapprocher le gouvernement etles mouvements au c£ur de la contestation.Les dessous de la criseLes tensions qui secouent le Mali depuis le mois de juin ont dégénéré lorsde la troisième manifestation du mouvement le 10 juillet. Des violences ontéclaté et se sont poursuivies tout le weekend. Onze (11) personnes y ontperdu la vie et 158 autres ont été blessées, selon les données officielles.Ce mouvement de contestation est né après l’annonce des résultats desdernières législatives. L’opposition reproche à la Cour constitutionnelled’"avoir inversé une trentaine de résultats, dont une dizaine au profit duparti du Rassemblement pour le Mali (RPM)", le parti au pouvoir.Depuis, les différentes revendications portées par ce mouvement qui fédèreopposition, société civile, syndicats et religieux ont évolué en une seule,la démission du président Ibrahim Boubacar Keïta dit IBK et le départ du pouvoir en place.A cette exigence, la CEDEAO a opposé un refus en indiquant qu’elle n’avaitpas été mandatée pour demander la démission du président"." La délégation CEDEAO a aussi affirmé qu’aucune organisationinternationale ne soutiendra le mouvement M5-RFP dans sa démarche visant ladémission du chef de l’Etat", argumentant sa position par "les besoins destabilité, de la légalité et les risques à courir après le départ d’un président élu".A ce sujet, l'ancien porte-parole du gouvernement, Amadou Koita cité pardes médias, souligne que " La loi fondamentale stipule que la souverainetéappartient au peuple tout entier", précisant qu'"aucune fraction du peuple,aucun individu ne peut s'en attribuer l'exercice''.Pour le professeur Etienne Fakaba Cissoko, directeur du Centre deRecherches d'analyse politique et économique du Mali, "l'exigence dedémission adressée au président IBK n'est pas la solution".Pour autant, la contestation canalise les mécontentements dus à ladégradation de la situation sécuritaire, la crise économique et sociale,les soupçons de mal gouvernance alimentés par les scandales qui ont touchédifférentes institutions.De même, le coronavirus (Covid-19) a mis le monde à terre. Cette pandémiea des conséquences terribles qu'elles soient sanitaires, économiques ousociales et le Mali n’est pas en reste.Avec la désobéissance civile décrétée par le mouvement du M5, desentreprises sont à l'arrêt, les services sociaux de base sont perturbés etles services publics fonctionnent au ralenti. (APS)

MOYEN ORIENT

Syrie/politique/législatives
  • Le scrutin se déroule "dans le calme et aucune violation n’a été enregistrée" (Responsable)
DAMAS, 19 juil 2020 (APS) - Le membre de la Comité judiciaire suprême quisupervise les élections législatives en Syrie, le juge Mukhleis Qayssiya, aaffirmé dimanche que le scrutin se déroule dans le calme, soulignantqu'"aucune violation de la loi n’a été enregistrée" depuis l'ouverture des bureaux de vote.Dans une déclaration aux journalistes dans le centre médiatique, M.Qayssiya a indiqué que "le scrutin est continue jusqu’à 7h du soir et quela Comité judiciaire suprême peut la prolonger de cinq heuressupplémentaires selon les conditions de chaque centre et selon les contactsavec les sous-comités et les centres électoraux dans tous les gouvernorats".Il s'agit des troisièmes élections parlementaires depuis le début en 2011d'un conflit ayant fait plus de 380.000 morts et provoqué l'exode de millions de personnes.Plus de 7.000 bureaux de vote, ouverts depuis 07H00 (04H00 GMT) dans leszones gouvernementales, devraient fermer en principe à 19H00 (16H00 GMT),selon la Commission électorale. Pour la première fois, le scrutin sedéroule dans d'anciens bastions des groupes armés.Le parti Baas, au pouvoir depuis un demi-siècle, remporte généralementhaut la main ces législatives organisées tous les quatre ans pour élire 250 députés.Le président Bachar el-Assad et son épouse Asma ont voté à Damas, aannoncé la présidence syrienne en publiant des photos du couple.Initialement prévues en avril, les élections ont été retardées à deuxreprises en raison de la pandémie du nouveau coronavirus (Covid-19) qui acontaminé 496 personnes et fait 25 morts, selon les données officielles.Lors des législatives de 2016, le taux de participation avait été de57.56%.Les millions de Syriens vivant à l'étranger, dont une majorité de réfugiésayant fui le conflit, "ne pourront pas participer aux élections à moins derentrer pour voter", selon un membre de la commission électorale.Des bureaux de vote spécifiques ont été installés dans les différentesprovinces pour permettre aux déplacés de voter pour des candidats de leurrégion d'origine.(APS)

MONDE

Santé-virus-pandémie-épidémie
  • Le bilan de la pandémie de Covid-19 dans le monde à 11H00 GMT
PARIS, 19 juil 2020 (AFP) - La pandémie du nouveau coronavirus a faitau moins 601.822 morts dans le monde depuis que le bureau de l'OMS en Chine afait état de l'apparition de la maladie fin décembre, selon un bilan établi parl'AFP à partir de sources officielles dimanche à 11H00 GMT.Plus de 14.303.420 cas d'infection ont été officiellement diagnostiquésdans 196 pays et territoires depuis le début de l'épidémie, dont au moins7.810.200 sont aujourd'hui considérés comme guéris.Ce nombre de cas diagnostiqués ne reflète toutefois qu'une fraction dunombre réel de contaminations. Certains pays ne testent que les cas graves,d'autres utilisent les tests en priorité pour le traçage et nombre de payspauvres ne disposent que de capacités de dépistage limitées.Sur la journée de samedi, 5.237 nouveaux décès et 221.954 nouveaux cas ontété recensés dans le monde. Les pays qui ont enregistré le plus de nouveauxdécès dans leurs derniers bilans sont le Brésil avec 921 nouveaux morts, lesÉtats-Unis (832) et le Mexique (578).Les États-Unis sont le pays le plus touché tant en nombre de morts que decas, avec 140.120 décès pour 3.711.835 cas recensés, selon le comptage del'université Johns Hopkins. Au moins 1.122.720 personnes ont été déclarées guéries.Après les États-Unis, les pays les plus touchés sont le Brésil avec 78.772morts pour 2.074.860 cas, le Royaume-Uni avec 45.273 morts (294.066 cas), leMexique avec 38.888 morts (338.913 cas), et l'Italie avec 35.042 morts (244.216 cas).Parmi les pays les plus durement touchés, la Belgique est celui qui déplorele plus grand nombre de morts par rapport à sa population, avec 85 décès pour100.000 habitants, suivi par le Royaume-Uni (67), l'Espagne (61), l'Italie(58), et la Suède (56).La Chine (sans les territoires de Hong Kong et Macao) a officiellementdénombré un total de 83.660 cas (16 nouveaux entre samedi et dimanche), dont4.634 décès (0 nouveau), et 78.775 guérisons.L'Europe totalisait dimanche à 11H00 GMT 205.207 décès pour 2.938.771 cas,l'Amérique latine et les Caraïbes 160.866 décès (3.776.927 cas), les Etats-Uniset le Canada 149.002 décès (3.821.830 cas), l'Asie 48.998 décès (2.049.522cas), le Moyen-Orient 22.642 décès (999.405 cas), l'Afrique 14.956 décès(703.572 cas), et l'Océanie 151 décès (13.397 cas).Ce bilan a été réalisé à partir de données collectées par les bureaux del'AFP auprès des autorités nationales compétentes et des informations del'Organisation mondiale de la santé (OMS). En raison de corrections apportéespar les autorités ou de publications tardives des données, les chiffresd'augmentation sur 24h peuvent ne pas correspondre exactement à ceux publiés la veille.