Source(s): La Nation
Date de publication: 27/07/2020 | Auteur(s): Administrator | Tags: Divers | Visites: 23

ALGERIE

Présidence/Conseil/réunion/agriculture
  • Agriculture : examen de la feuille de route pour la relance et le développement du secteur (Conseil des ministres)
ALGER, 27 juil 2020 (APS) -La feuille de route pour la relance et ledéveloppement du secteur de l’agriculture et du développement rural a été examinée lors de la réunion du Conseil des ministres présidée par le président de la République, Abdelmadjid Tebboune, qui a ordonné la mise en place en "extrême urgence" d'un institut au niveau d’une université du Sud du pays spécialisé dans l’agriculture saharienne.Le Conseil des ministres a entendu dimanche une communication concernant la feuille de route pour la relance et le développement des activités du secteur de l’agriculture et du développement rural dans laquelle sont déclinées, à travers un échéancier précis, les différentes actions du programme prioritaire dont l’échéance s’étale entre le 2ème semestre 2020 et la fin de l’année 2021, ainsi que les actions transversales à caractèrecontinu du programme à moyen terme 2020-2024, a indiqué un communiqué de la présidence de la République.Intervenant à l’issue de la présentation faite par le ministre de l’Agriculture, le président de la République a tenu à faire part de sa satisfaction quant à la prise en charge de l’ensemble des programmes envisagés, non sans insister sur le besoin indispensable de l’augmentation de la production, synonyme de sécurité alimentaire et d’allégement de lafacture d’importation."La mise en £uvre du programme présenté doit passer nécessairement par une réorganisation adéquate des structures du ministère de l’Agriculture, aussi bien au plan national, régional que local. Celle-ci passe aussi par la création d’offices et de structures qui permette une synergie avec les agriculteurs", a souligné le chef de l’Etat.Parmi les filières inscrites comme une priorité et sur lesquelles l’action doit être orientée, M.Tebboune a cité les oléagineux, le maïs, les produits sucriers, ainsi que les filières particulières comme l’apiculture, le secteur de l’élevage et son pendant de production laitière.A cet effet, M. Tebboune a instruit le ministre de présenter, dans un délai d’un mois, un point de situation sur les programmes concernant l’ensemble de ces filières, en procédant à un ciblage approprié des zones de production dans les régions du Sud.Saluant à l’occasion le travail "colossal" accompli par les agriculteurs dans une conjoncture particulièrement "adverse", en assurant l’approvisionnement du marché en produits agricoles en "abondance" et à des niveaux de prix "acceptables", le président de la République a souligné, cependant, la nécessité de sortir du système des cycles de production irréguliers.Dans ce sillage, il a ordonné que soit finalisé, à brève échéance, le programme de réalisation des aires de stockage de produits agricoles pour permettre la nécessaire régulation du marché, tout en adressant une instruction particulière au ministre de l’Agriculture pour que soit encouragée l’installation d’usines de transformation des produits agricoles dans les zones de production.Le Président de la République a ordonné, en outre, au Premier ministre de prendre les dispositions, avec le ministre de l’Enseignement supérieur, en vue de mettre en place, en extrême urgence un institut spécialisé dans l’agriculture saharienne au niveau d’une université du Sud, en faisant appel, au besoin, à la coopération internationale avec les partenaires étrangers qui ont acquis une expérience avérée dans le domaine. (APS)Présidence/constitution/révision/mouture/comité
  • Révision constitutionnelle : le président Tebboune reçoit une délégation du Comité d'experts
ALGER, 27 juil 2020 (APS) - Le président de la République, AbdelmadjidTebboune, a reçu lundi une délégation du Comité d'experts chargé de la révision constitutionnelle à sa tête le Professeur Ahmed Laraba, indique un communiqué de la présidence de la République."Le président de la République, M.Abdelmadjid Tebboune, a reçu aujourd'hui une délégation du Comité d'experts chargé de la révision constitutionnelle à sa tête le Professeur Ahmed Laraba, qui lui a présenté un exposé sur les travaux du Comité et la méthode adoptée dans l'étude des propositions relatives à l'avant-projet de la mouture de la Constitution", précise lecommuniqué.Au nombre de près de 2500, ces propositions émanent de personnalités nationales, de leaders de partis politiques, de syndicats et de représentants de la société civile, ajoute le communiqué de la présidence de la République. (APS)Algérie/société/édification
  • La société civile appelée à jouer un rôle crucial dans l’édification de l’Algérie nouvelle
ALGER, 27 juil 2020 (APS) - La société civile est appelée à jouer un rôlecrucial et déterminant dans le projet d’édification de l’Algérie nouvelle prôné par le président de la République, Abdelmadjid Tebboune.Ce rôle important, dévolu à la société civile, a été, à maintes fois, réitéré par le président de la République, Abdelmadjid Tebboune, depuis son accession à la magistrature suprême du pays. Il n’a jamais cessé de rappeler, à l’occasion de ses sorties médiatiques, qu’il a été le candidat de la société civile.Cela traduit une forte volonté politique pour le changement, avait affirmé le Président de la République, insistant, pour ce faire, sur "le soutien et l’adhésion des citoyens".Pour le chef de l’Etat, il est, ainsi, impératif que la société civile reprenne les choses en main à l’effet d’insuffler un dynamisme à la société, encourageant, par la même occasion, la création d'un grand nombre d'associations civiles qui "£uvreront dans l'intérêt général etbénéficieront de subventions".Dans ce sens, M. Tebboune avait exhorté les différentes franges de la société civile à s’organiser dans le cadre d’associations qui activeront dans divers domaines, dont la santé et les nouvelles technologies.Déjà lors de sa campagne électorale pour la présidentielle de décembre 2019, M.Tebboune avait, dans "54 engagements", plaidé pour l'édification d'une société libre et active, à même de prendre ses responsabilités comme contre-pouvoir et un instrument d'action publique au service du citoyen et de la Nation.Il avait, alors, promis la mise en pratique d'une "feuille de route pour les jeunes" pour préparer ces derniers à assumer leurs responsabilités politique, sociale et économique.Joignant le geste à la parole et pour concrétiser l’importance qu’il accorde à la société civile, le chef de l’Etat a désigné M. Nazih Berramdane au poste de conseiller auprès du président de la République chargé du mouvement associatif et de la communauté nationale à l'étranger.Le président Tebboune confirme, ainsi, son engagement à consacrer le rôle du mouvement associatif dans la démocratie participative et l’édification d’une Algérie nouvelle et ce, à travers des facilitations notamment de la procédure d’octroi d’agrément qui faisait obstacle, par le passé, à l’activité des associations.De ce fait, il a été décidé de réduire la durée d’étude des dossiers de création d’une association à 10 jours, décision prise début juin dernier par le ministère de l’Intérieur et des Collectivités locales.Les effets positifs de ces mesures de facilitations se sont vite concrétisés sur le terrain, dans la mesure où plus de 2.600 associations ont été agréées en un mois à l’échelle nationale sur plus de 4.000 demandes d’agrément, selon M. Berramdane, qui avait rencontré samedi dernier à Oran des représentants d’associations.A cette occasion, il a indiqué que la nouvelle approche du Président de la République reposait sur la consultation de la société civile avec toutes ses composantes dans le but d’édifier la nouvelle Algérie "dans la transparence, l'intégration et l'implication du mouvement associatif".M. Berramdane a également indiqué que cette première réunion est le prélude d'une série d'autres qui se tiendront dans d'autres wilayas du pays.(APS)Economie/commerce/pandémie/mesures
  • Covid-19: l’ANCA se félicite des mesures d’accompagnement des opérateurs économiques
ALGER, 27 juil 2020 (APS)- L’Association nationale des commerçants etartisans (ANCA) s’est félicitée des mesures annoncées en Conseil des ministres tenu, dimanche, sous la présidence du Président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune pour accompagner les opérateurs économiques et artisans à l'effet de faire face aux répercussions socioéconomiques induites par la crise sanitaire."L’ANCA se félicite des mesures annoncées en Conseil des ministres qui répondent à ses revendications concernant le gel immédiat des charges financières et fiscales, l’évaluation des préjudices subis par les entreprises et les petits métiers, outre l'allocation d’une aide financière de 30.000 DA destinée aux petits métiers", lit-on dans un communiqué publié par l’association sur son compte Facebook.Par ailleurs, l’ANCA a mis l’accent, de nouveau, sur l’impératif respect des mesures de prévention contre la pandémie de la Covid-19.Le président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune avait instruit le Premier ministre, dans le cadre de l’accompagnement des opérateurs économiques, de procéder immédiatement au gel du paiement des charges financières et des obligations fiscales et parafiscales dues par les opérateurs économiques durant la période de confinement.Le chef de l’Etat a également instruit de procéder à une évaluation des préjudices subis et des manques à gagner enregistrés par les opérateurs économiques, en particulier en ce qui concerne les petites et moyennes entreprises et les petits métiers.Cette évaluation devra s’effectuer dans un cadre "transparent" et éviter les "fausses déclarations".Cette opération doit se faire sur la base d’une "évaluation rigoureuse" de la situation de chaque corporation pendant les quatre derniers mois,a-t-on souligné. (APS)Economie/reformes/pandémie/entreprises
  • Nécessité d'une exécution rapide des directives du Gouvernement en faveur des entreprises (CAPC)
ALGER, 27 juil 2020 (APS) -Le président de la confédération algérienne dupatronat citoyen (CAPC), Mohamed Samy Agli, a appelé lundi a une exécution rapide des directives du Gouvernement au niveau des banques et les administrations publiques en faveur des operateurs économiques, notamment, en cette période de crise sanitaire où des entreprises risquent de disparaitre."La volonté politique pour accompagner les operateurs économiques et les entreprises existe en haut niveau, mais le temps perdu par l'administration pour appliquer les décisions peut coûter cher aux entreprises et par ricochet à l'économie nationale et la trésorerie publique", a indiqué M. Agli sur les ondes de la Radio nationale.Le président de la CAPC (ex Forum des chefs d'entreprises-FCE) a, par conséquent, appelé les banques et les administrations publiques à "une exécution rapide" des directives du Gouvernement à leur niveau, estimant que "la bureaucratie entrave l'application des directives en faveur des entreprises au moment où certaines risquent même de disparaitre en raison de la crise sanitaire".Il a cité, dans ce sens, l'exemple du report du paiement des charges et impôt, sans pénalités de retard, décidé en faveur des entreprises pour une période de trois mois depuis avril, "alors que l'administration fiscale appelle déjà au paiement des différés du mois d'avril", appelant ainsi à une "extension de cette dérogation, car la trésorerie des entreprises,notamment les PME/TPE ne peut encore supporter ces charges".M. Agli a également appelé les banques à accompagner naturellement les operateurs économiques avec "des différés et des taux bonifiés" sans attendre "l'intervention des pouvoir publics", car "la situation sanitaire et ses incidences économiques nécessite la mobilisation de tout le monde et la prise de décisions exceptionnelles dans la conjoncture actuelle".A une question sur les instructions du président de la République, Abdelmadjid Tebboune, liées à l'établissement d'une évaluation "juste et réelle" des incidences de la pandémie du Covid-19 sur l'économie nationale, engagée par le Gouvernement, en coordination avec les partenaires sociaux et économiques, M. Agli, a expliqué qu'une prise de conscience collective s'impose sur cette réalité "amère" et la situation économique "compliquée"en conséquence de la pandémie.Il a, ainsi, salué les actions engagées par le président de la République et le Gouvernement, car, estime-t-il, "l'intérêt aujourd'hui est économique et aucun pays ne se développe sans une économie forte, donc, nous saluons cette volonté réelle des pouvoirs publics de porter secours à l'économie et prendre des décisions courageuses et urgentes qui s'adaptent avec la situation sanitaire".S'agissant de l'évaluation des incidences, le responsable estime que c'est "un préalable" qui doit être établit d'une manière "fiable", ajoutant qu'il est "très difficile" de se prononcer en terme de chiffres d'où la nécessité "du travail de concertation engagé par le Gouvernement avec les partenaires sociaux et économiques" afin de dresser un bilan de la situation.Il a, dans ce sens, rappelé que la situation économique algérienne est similaire à celle du monde entier, à cause de la pandémie du Covid-19, mais particulière, car "nous enchainons une seconde année difficile, après celle de 2019, quasi-blanche en terme de croissance avec le maintien d'un minimum de l'activité économique, en raison de la situation politique du pays à l'époque".A cet effet, il a tiré la sonnette d'alarme sur certains secteurs, comme le tourisme et le BTPH, affirmant qu'ils ont perdu jusqu'à 80% de leur chiffres d'affaires, une situation due à l'arrêt des projets pour le premier et la fermeture des frontières suite à la crise sanitaire pour lesecond.Dans ce sillage, il a insisté sur l'accompagnement de ces secteurs et d'autres pour "le maintien de l'activité économique pour un minimum de trésorerie et la préservation des postes d'emplois afin de maintenir le pouvoir d'achat qui est la locomotive de la croissance de l'économie nationale".==La reprise économique dépend de l'espoir de trouver un vaccin au Covid-19==S'agissant des perspectives, M. Agli a estimé "qu'il faudra dès maintenant penser à l'après crise, car, d'après les experts, un mois d'arrêt équivaut à six mois de travail après la reprise économique", ajoutant que celle-ci "dépend aussi de l'espoir de trouver un vaccin au Covid-19".A propos de la capacité des entreprises algériennes à supporter les conséquences de la crise sanitaire, il a rappelé que "les entreprises tiennent déjà quatre (4) mois avec leur trésorerie, mais cette situation est insoutenable notamment par les PME/TPE".Evoquant le fond de compensation, annoncé par le ministre des Finances en faveur des PME/TPE, M. Agli a salué cette initiative, précisant que ce fonds concerne une catégorie d'entreprises, tandis que "la situation nécessite un combat collectif où tout le monde doit y contribuer, Gouvernement, partenaires sociaux et acteurs économiques", car les grandsemployeurs ont besoin d'une reprise économique.En outre, M. Agli a appelé a profiter de la conjoncture actuelle et l'introduction de reformes économiques pour "sortir d'un modèle économique basé sur la rente pétrolière et les autorisations d'investissements qui génère des monopoles sur certains secteurs et aller vers un modèle économique fondé sur la cooccurrence loyale".Ces reformes doivent porter, selon lui, sur le rétablissement de la confiance entre l'administration et les operateurs, la reforme du système bancaire et fiscal, la digitalisation, la pénalisation de la bureaucratie qui nuit à l'économie nationale, l'amélioration du climat des affaires pour attirer les IDE et le drainage de l'argent de l'informel vers les circuits bancaires .Cela, pour permettre au pays "d'être un acteur économique important" qui devient "une obligation" dans le sillage de la concurrence économique entre les pays, souligne M. Agli qui affirme que les operateurs économiques sont alignés sur "beaucoup" de propositions qu'ils comptent remettre dans un seul document au Gouvernement lors de la prochaine tripartite. (APS)

CONJONCTURE

Pétrole/marchés/prix
  • Pétrole : le prix du Brent se stabilise à 43,29 dollars le baril
LONDRES, 27 juil 2020 (APS) - Les prix du pétrole étaient proches del'équilibre lundi avec un baril de Brent à Londres de 43,29 dollars en baisse de 0,12% par rapport à la clôture de vendredi.Vers 09H40 GMT (10H40 à Alger) , le prix du Brent à Londres valait 43,29 dollars le baril pour livraison en septembre, en baisse de 0,12% par rapport à la clôture de vendredi, tandis qu'à New York, le baril américain de WTI pour le même mois perdait lui aussi 0,12% à 41,24 dollars.Les prix du pétrole restent presque inchangés en ce début de semaine, ont souligné des analystes mettant en avant les effets de la pandémie sur la demande et des tensions entre les Etats-Unis et la Chine.La Chine a pris possession lundi du consulat américain de Chengdu (sud-ouest du pays), considérant cette mission diplomatique comme une "plaque tournante de l'espionnage et du vol de propriété intellectuelle".Cette décision constitue la réponse de Pékin à la fermeture forcée de son consulat de Houston par l'administration Trump, sur fond d'accusations d'espionnage.Sur le front de la pandémie, les signaux étaient mitigés avec un nombre de nouvelles contaminations quotidien aux Etats-Unis qui passe sous la barre des 60.000 pour la première fois depuis le 13 juillet, selon le comptage établi dimanche à 20h30 de l'université Johns Hopkins.La Chine a fait état également lundi de 61 nouveaux malades du Covid-19 en 24 heures, la plus importante augmentation journalière depuis mi-avril, après l'apparition de foyers d'infection dans trois provinces.La décision de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) d'alléger les réductions de production à 7,7 millions de barils par jour (mbj) à partir du mois d'août pèse également sur les cours, ont relevé par ailleurs des experts.Les coupes de production d'or noir de l'organisation et de ses alliés sont fixées à 9,6 mbj actuellement. (APS)Pétrole/Opep/marchés/prix
  • Pétrole: le prix moyen du panier de l’Opep se maintient à plus de 43 dollars
ALGER, 27 juil 2020 (APS) -Le prix du panier de l'Organisation des paysexportateurs de pétrole (Opep), constitué de prix de référence de 13 pétroles bruts, s’est maintenu à plus de 43 dollars, selon les données de l’Organisation publiées lundi sur son site web.Ce panier de référence de l'Opep (ORB), qui comprend le pétrole algérien (le Sahara Blend), s’est établi à 43,38 dollars le baril vendredi après avoir atteint 44,62 dollars jeudi dernier, a précisé la même source.Malgré ce recul, la valeur de l’ORB s’est améliorée par rapport aux niveaux enregistrés les précédents mois, sachant que sa première amélioration dans le contexte du Covid-19 et ses conséquences sur le marché pétrolier, a été enregistrée en juin dernier en s’établissant à 37,05 dollars/b .Les cours du pétrole brut algérien avaient atteint 40,48 dollars le baril en mois de juin dernier, selon le dernier rapport mensuel de l'Opep.Le Sahara Blend est établi en fonction des cours du Brent, brut de référence de la mer du Nord, côté sur le marché de Londres avec une prime additionnelle pour ses qualités physico-chimiques appréciées par les raffineurs.Pour ce lundi, le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en septembre a atteint dans la matinée 43,29 dollars à Londres, en baisse de 0,12% par rapport à la clôture de vendredi.Cette stabilité des prix de l'or noir autour de 43 et 44 dollars intervient dans un contexte d’événements d’ordre géopolitiques et l’évolution de la crise sanitaire du Covid-19 et d'autre part la poursuite des efforts de l'Opep et ses partenaires pour soutenir les cours du brut.Les pays de l’Opep et leurs alliés à leur tête la Russie qui avaient reconduit en juin dernier la première phase de baisse de production qui est de plus 9 millions de barils par jour (mbj) ont atteint 107 % en juin. Ils appliquent actuellement une baisse de production pétrolière de l’ordre de 9,6 millions de barils par jour.Pour ce qui est de mois d’août, il a été décidé de maintenir la réduction de production à 7,7 millions de barils par jour (mbj) .L’engagement continu de l’Organisation et ses partenaires en faveur de la Déclaration de coopération en soutien de la stabilité du marché pétrolier a été réaffirmé par l’Opep dans son dernier bulletin mensuel.C’est lors de la 170e réunion extraordinaire de la Conférence de l'OPEP tenue à Alger en septembre 2016, que la voie a été tracée pour la signature le 10 décembre 2016 de la Déclaration de coopération (DoC) entre l'Opep et les pays non-Opep visant à stabiliser les cours du brut. (APS)