
RÉPUBLIQUE ALGÉRIENNE DÉMOCRATIQUE ET POPULAIRE Services du Premier MinistreCellule de communicationRevue de la presse électroniquejournée du dimanche 02 août 2020

Incendies, manque de liquidités, coupures d’eau… : Tebboune ordonne l’ouverture d’une enquêtePar R. Hamadi 02 Août 2020 Le président de la République Abdelmadjid Tebboune a instruit ce dimanche le Premier ministre Abdelaziz Djerad d’ouvrir une enquête « dans l’immédiat » afin de déterminer les causes des « incidents enregistrés ces derniers jours et qui ont eu un impact négatif sur la vie des citoyens et sur l’économie nationale ».L’enquête vise à déterminer la cause des « incendies qui ont ravagé de vastes surfaces de forêts, le manque de liquidités dans certaines banques et bureaux de poste, l’arrêt de la station de dessalement de l’eau de mer de Fouka, ainsi que les coupures sans préavis d’eau et d’électricité dans certains quartiers de la capitale et d’autres grandes villes pendant les deux jours de l’Aïd el-Adha », précise un communiqué de la Présidence de la République.

Gharmit Bounouira extradé vers l’Algérie
L’adjudant-chef à la retraite Gharmit Bounouira, en fuite en Turquie, vient d’être extradé à l’Algérie, indique ce dimanche un communiqué des services de sécurité, cité par l’agence officielle.L’adjudant-chef Gharmit Bounouira, qui avait également occupé le poste du secrétaire de Gaïd Salah, comparaitra devant le tribunal militaire de Blida le lundi prochain, selon la même source.L’extradition de l’ex-militaire est intervenue sur ordre du chef de l’État Abdelmadjid Tebboune, et en collaboration entre les services de sécurité algériens et les services de sécurité turcs, a précisé le communiqué.

Procès Hamel : des ex-cadres citent de Saïd Bouteflika, Bedoui et Zoukh2 AOÛT 2020 À 14:46Plusieurs anciens cadres de l’administration poursuivis dans le cadre du procès de Abdelghani Hamel, ont évoqué, lors de l’audience, les ordres et les pressions des anciens haut responsables.Le directeur des Domaines de la wilaya de Tipasa Ali Bouamirirène, a catégoriquement nié les accusations portées à son encontre ; « dilapidation de deniers publics » et « abus de fonction ». Le prévenu a évoqué « d’énormes pressions ». Il a affirmé que c’est « en début 2016, sous le couvert de l’investissement, qu’a commencé la dilapidation organisée du foncier ».Il affirme avoir été déféré devant la commission sécuritaire de la wilaya après avoir été opposé aux décisions illégales. « Je faisais l’objet d’énormes pressions », a-t-il affirmé au juge dans des déclarations rapportées par El Watan. « J’avais reçu une lettre m’ordonnant de retirer les plaintes devant le tribunal, alors que j’avais engagé une procédure contre le wali de Tipasa, auprès du parquet de Tipasa » continu Ali Bouamirirène.Et d’ajouter « j’ai reçu une instruction du Premier ministre, sous le couvert du directeur général des Domaines, où il m’est demandé de retirer les plaintes contre les décisions de concession sur des terres agricoles ou des ZET (zones d’extension touristiques). Lors de son audition, Bouamirirène ne cesse d’évoquer « la guerre menée » contre sa personne à cause de ces terrains, dont celui octroyé aux enfants de Hamel, à Magtaâ Kheira, pour la réalisation d’une unité de production de médicaments.Questionné à propos du logement social accordé à Chafik Hamel, l’ex-directeur de l’OPGI de Hussein Dey, à Alger, Mohamed Rehaimia, également poursuivi pour « dilapidation de deniers public » et « abus de fonction » a évoqué les ordres du wali d’Alger, Abdelkader Zoukh. « L’Opgi ne donne pas de logements. Nous avons reçu un ordre du wali d’Alger, Abdelkader Zoukh, pour affecter un logement à Hamel. Nous n’avons fait qu’exécuter cet ordre ».Djelloul Hamrat de l’Agerfa poursuivi lui aussi pour « abus de fonction », « dilapidation de deniers publics » et « d’indus avantages », a évoqué les instructions du Wali Zoukh concernant Chahinez Hamel, fille du principal mis en cause.Concernant le terrain de Bab Ezzouar affecté à Chahinez Hamel, et les redevances de 150 millions de dinars qu’elle n’avait pas payées, malgré la mise en demeure, le juge lui a demandé « pourquoi ne lui avez-vous pas retiré la concession ? », il a répondu que « l’ex-wali d’Alger, Abdelkader Zoukh, nous a instruit de ne pas l’inquiéter. L’instruction ne la concerne pas elle uniquement, mais aussi Mahieddine Tahkout ».C’est au tour de l’ex wali de Tipasa, Moussa Ghelai, également poursuivi pour les mêmes motifs. Le juge l’interroge sur 7 décisions signées, malgré leur annulation par le tribunal administratif. « L’ex-ministre de l’Intérieur, Noureddine Bedoui, m’avait appelé pour avoir des explications sur l’affaire du fils Hamel. Il me demande de la régler en me précisant qu’il s’agissait d’une instruction du Premier ministre », a-t-il déclaré.Il ajoute de surcroit que « même Saïd Bouteflika m’a contacté par téléphone pour me dire de trouver une solution à l’affaire AMC, la société du fils de Hamel et lui restituer la parcelle de terrain ».
Algérie : Qui est François Gouyette, nouvel ambassadeur de France ?02-08-2020
Algérie – Le gouvernement français nomme François Gouyette, nouvel ambassadeur de France en Algérie. Un diplomate ayant entrepris un parcours professionnel singulier. En effet, depuis sa mise au service de l’Etat français en 1981, François Gouyette, nommé récemment ambassadeur de France en Algérie, n’a pas cessé d’accumuler cette fonction un peu partout sur le territoire arabe et maghrébin. L’ami des Arabes, comme l’appelleraient certains, François Gouyette est d’une grande renommée; de par ses prouesses politiques au sein du monde arabe et maghrébin.Par ailleurs, sa nomination en tant qu’ambassadeur de France en Algérie, mercredi passé, 29 juillet 2020; est en attente de ratification auprès de l’Etat algérien. Rappelons par la même occasion, que François Gouyette a succédé à Xavier Driencourt admis à la retraite par limite d’âge, après trois (3) années de service.François Gouyette : Ce qu’il faut savoir sur le nouveau médiateur entre la France et l’Algérie ?Après le départ à la retraite de Xavier Driencourt, le gouvernement français a placé François Gouyette comme successeur à ce poste d’ambassadeur. Une décision caractérisée par une perspective de réconciliation, et de
consolidation des relations franco-algériennes; a-t-il indiqué un proche du nouvel ambassadeur.Ayant préalablement occupé le poste d’ambassadeur dans divers pays du Maghreb et du Moyen-Orient, M. Gouyette dispose d’un profil de plénipotentiaire chevronné. Notamment d’un réseau dense dans l’establishment français; a souligné la même source.En sus, sa fine connaissance du Maghreb vient de son père, Maurice Gouyette, qui a vécu en région kabyle; à Béjaïa plus exactement. Sans oublier l’expertise acquise grâce à son cursus universitaire, et parcours professionnel qui lui ont permis; d’accumuler le poste de représentant de l’Etat français depuis 1981; a rapporté
TSA.Notons à cet effet, qu’en 2001 il a été installé en tant qu’ambassadeur à Abu Dhabi, puis chargé du processus méditerranéen en 2005. Par la suite redirigé vers la Libye en 200, pour atterrir en Tunisie en 2012, puis reconduit vers la péninsule arabique (l’Arabie Saoudite) en 2016. Et au final, nommé en Algérie, le 29 juillet 2020.
Comment les femmes profitent elles de l’intensification des échanges commerciaux dans le monde ? (Rapport)02-08-2020Les échanges commerciaux contribuent à combler l’écart de salaires entre hommes et femmes, tout en créant de meilleurs emplois pour celles-ci, a conclu un rapport de la Banque Mondiale, publié le 30 juillet sur son site.Intitulé “Les femmes et le commerce : le rôle du commerce dans la promotion de la parité des droits pour les femmes”, le document met en évidence plusieurs aspects essentiels.Selon la même source, les pays, généralement, ouverts aux échanges internationaux se développent plus vite, innovent, affichent une productivité supérieure et offrent des revenus plus élevés et davantage de débouchés à leur population. La part des échanges internationaux dans le PIB est en outre corrélée à un niveau d’égalité entre les sexes plus élevé.Ce nouveau rapport, préparé en collaboration avec l’Organisation mondiale du commerce, utilise un nouvel ensemble de données ventilées par sexe pour mener une analyse approfondie et inédite de l’incidence du commerce extérieur sur la situation des femmes. Cette série de données constituée par le Groupe de la Banque mondiale permet aux chercheurs de comprendre comment les femmes travaillent, dans quel secteur elles sont employées, combien elles gagnent et si elles participent de près ou de loin au commerce mondial. Les résultats de cette analyse aident les pouvoirs publics à cerner la manière dont leurs politiques commerciales affectent différemment les femmes et les hommes.« Au cours des 30 dernières années, le commerce a été le moteur de la réduction de la pauvreté. Le rapport montre que, si les bonnes politiques sont mises en place, il peut également être un moteur de réduction des écarts entre les sexes, explique Mari Pangestu, directrice générale de la Banque mondiale pour les politiques de développement et les partenariats. Le commerce a le pouvoir de renforcer le rôle des femmes dans l’économie et d’atténuer les disparités avec les hommes en leur offrant des possibilités d’emploi plus nombreuses et de meilleure qualité. Exploiter ce potentiel sera encore plus important dans un monde post-COVID. »Ainsi, explique le rapport, les entreprises intégrées aux chaînes de valeur mondiales emploient un pourcentage plus élevé de femmes (33 %) que les entreprises qui n’en font pas partie (24 %). En outre, lorsque les pays s’ouvrent au commerce, la part des salaires des femmes dans le secteur manufacturier augmente de 5,8 points de pourcentage en moyenne. Quand les femmes travaillent dans des secteurs fortement exportateurs, elles ont davantage de chances d’occuper un emploi formel, ce qui signifie plus d’avantages sociaux, une meilleure formation et une plus grande sécurité d’emploi.Le rapport souligne également l’importance de lutter contre les discriminations à l’encontre des femmes dans le cadre des politiques commerciales. Si aucun pays n’impose ouvertement des modes de fixation des prix en fonction du sexe, les préjugés implicites peuvent déboucher sur des « taxes roses » économiquement préjudiciables aux femmes. Selon l’étude, les produits spécifiquement consommés par les femmes sont vendus plus cher que ceux destinés aux hommes. Dans le secteur de l’habillement par exemple, les prix des articles pour femmes sont globalement supérieurs de 2,77 milliards de dollars à ceux des vêtements pour hommes, un écart qui a augmenté d’environ 11 % en termes réels entre 2006 et 2016. De telles disparités concernent les consommatrices du monde entier.Le document suggère enfin que “des politiques ciblées peuvent aider les femmes à tirer le plus grand parti des avantages du commerce. Il s’agit notamment de supprimer les barrières commerciales qui entravent la participation des femmes aux marchés internationaux et d’améliorer leur accès à l’éducation, aux services financiers et aux technologies numériques.” Et de conclure : “Il appartient ainsi aux gouvernements de concevoir des mesures de facilitation des échanges qui éliminent les obstacles spécifiques aux femmes. À savoir notamment remédier à la lourdeur des contraintes douanières, au manque d’accès aux crédits commerciaux et aux risques d’extorsion ou de harcèlement physique aux frontières auxquels les femmes sont confrontées.
justice : l’UNOA plaide pour les droits de la défense02-08-2020Sollicité par le Collectif des avocats du Hirak, l’Union nationale des ordres des avocats (UNOA) rappelle que les droits de la défense sont un « droit sacré pour les citoyens et non un privilège pour l’avocat », dans un communiqué rendu public ce dimanche 02 aout 2020.L’UNAO précise que « les droits de la défense doivent être respectés en toutes circonstances et sans exception, quelle que soit la nature des dossiers et des personnes jugées ». Elle signale notamment que le droit de la défense garanti par la Constitution est « Sur cette base, le refus de certaines autorités judiciaires de reporter l’affaire en première session à la demande des avocats pour préparer la défense est une violation explicite des droits de la défense conformément à l’article 351 du Code de procédure pénale » a souligné l’UNOA. Pour cette dernière « le respect des règles d’un procès équitable exige le respect des droits de la défense, car il est déraisonnable de renvoyer le dossier devant la Cours avant la fin de la période d’appel. Ce qui est une violation du principe de la souveraineté de la loi.Dans ce sillage, l’Union nationale des ordres des avocats fait référence à son communiqué du 26 mars 2020, où elle a souligné son refus de la gestion administrative de la justice quelle que soit la nature des dossiers et des personnes jugées. Elle a aussi rappelé sa revendication du respect de la présomption d’innocence stipulée dans une Constitution, et l’assurance des procès équitables qui doivent se faire dans les calme sans précipitation pour assurer la préservation des droits et des libertés. L’UNAO avait notamment dénoncé en mars le fait que des demandes de renvoi d’audiences, dans le but de travailler sur le dossier et préparer la défense, ont été refusé !Rappelons que plusieurs détenus d’opinion dont l’ancien détenu Karim Tabbou et l’activiste incarcéré Zoheir Keddam ont été jugés sans bénéficier entièrement de leurs droits, le 24 mars 2020, et le 23 juin 2020, respectivement. Les deux militants cités ont vu leurs procès se dérouler sans la présence de leurs avocats qui avaient demandé le renvoi afin de préparer la défense. Les avocats s’étaient indigné après les deux incidents.
Port de Béjaïa : Plus de 400 millions DA de pertes après 12 jours de grève02-08-2020Le bras de fer entre la direction de l’Entreprise portuaire de Béjaïa (EPB) et
les travailleurs en grève illimitée depuis le 20 juillet se poursuit. Les conséquences sur le port se chiffrent en centaines de millions de dinars de pertes.Ce mouvement de grève a paralysé toutes les activités de marchandises du port, et seule l’activité du port pétrolier est assurée par le traitement des bateaux transportant le gaz et le pétrole. Selon le PDG de l’EPB, Halim Kasmi, l’entreprise a enregistré durant les 12 jours de grève (jusqu’à hier), plus de 400 millions DA.Pour rappel, la grève des employés de l’EPB a été initiée par la section syndicale, avec le soutien de l’union locale UGTA, qui exigent le départ du PDG Halim Kasmi. Le conseil syndical dénonce l' »instabilité de l’entreprise », le « harcèlement des travailleurs par le PDG afin de les obliger à signer une convention portant sur la contribution des œuvres sociales à la prime d’intéressement annuel » et « l’absence de dialogue dans les décisions entreprises par la direction ».« J’ai appelé au dialogue et non à la grève et au débrayage intempestif qui pénalisent l’entreprise, le développement régional et la situation des travailleurs », a indiqué le PDG de l’EPB en rappelant que c’est le 5ème débrayage depuis son installation à la tête de l’entreprise en septembre 2019. « C’est une prise d’otages organisée par certaines personnes qui ont confisqué la vérité aux travailleurs », a-t-il dénoncé dans une déclaration au journal
El Moudjahid de ce dimanche 2 août 2020.Le Port enregistre des pertes de 40 millions de dinars par jour« Nous avons tenu deux réunions sans aucun résultat, ils demandent uniquement mon départ », a ajouté Halim Kasmi. « Avec cette grève illimitée, nous enregistrons une perte de 40 millions de dinars par jour, soit plus de 400 millions de dinars à ce jour, 12ème jour de grève, et des surestaries de 700.000 dollars en facturations de fret », a-t-il précisé.Selon le PDG de l’EPB, ce n’est pas au conseil syndical d’exiger son départ, ce n’est pas une revendication sociale. « Je suis sous contrat pour atteindre les objectifs fixés par le groupe et c’est seulement aux responsable de la tutelle et du groupe de juger mes résultats et seul le conseil d’administration peut décider de mon sort », a-t-il dit« Donc, les revendications énumérées sont fausses. Les portes du dialogue sont ouvertes mais ces gens refusent de s’asseoir autour d’une table pour discuter dans un cadre légal et organisé. Certes, la discipline de travail que j’ai instaurée dérange ces gens », a-t-il expliqué.Selon Halim Kasmi, « contrairement à ce qu’avancent les grévistes sur la situation du port qui sollicitent une commission d’enquête sur sa gestion, je dirai que toute commission est la bienvenue car
le port de Béjaïa va bien et les indicateurs affichés sont éloquents« .Le PDG de l’EPB s’est, par ailleurs, expliqué sur le « harcèlement fait par le PDG de les obliger à signer une convention portant sur la contribution des œuvres sociales à la prime d’intéressement annuel », qui le lui reproche le syndicat.A ce propos, Halim Kasmi a indiqué : « Le 3 juin dernier, l’assemblée générale a fait un effort pour octroyer une prime d’encouragement aux travailleurs malgré les résultats avec une baisse de 51% par rapport à l’année précédente. L’AG a fixé la somme à 175.000 DA brut, soit 146.000 DA net. Les ouvriers voulaient plus que cela. La somme a été augmentée a 220.000 DA par travailleur. J’ai demandé à ce que les œuvres sociales participent à hauteurs de 20.000 DA par travailleur et l’entreprise avec une somme supplémentaire de 75.000 DA pour attendre les 220.000 DA souhaités. Mais lors de la réunion du 5 juin dernier, les membres du comité de participation et du syndicat se sont reniés et ont refusé de signer le procès-verbal de réunion en rejetant les décisions prises. J’ai pris la décision de ne pas pénaliser les travailleurs de cette prime et j’ai procédé a son versement. Les conditions de travail des travailleurs ont été nettement améliorées avec une meilleure grille de salaires et chaque mois un trophée et décerné au meilleur ouvrier ».Le port « consigné jusqu’à nouvel ordre »Pour le PDG de l’EPB, « cette grève qui intervient dans une situation sanitaire exceptionnelle due à la pandémie de coronavirus porte un grand préjudice à l’entreprise qui a déjà enregistré des cas confirmés », mais « toutes les mesures barrières ont été mises en place en multipliant les actions de prévention et de sensibilisation en collaboration avec les services de la direction de la santé ».Selon lui, « il a ainsi été mis à la disposition des employés tous les moyens de protection nécessaires (bavettes, gel hydro alcoolique, savon, désinfection périodique des bureaux, locaux et des navires) », aussi « un dispositif a été mis en place par la DSP sur les opérations de pilotage et de traitement des navires afin de s’assurer de l’admissibilité des navires ne présentant aucun risque sanitaire pour le personnel du port et autres auxiliaires et prévoir éventuellement l’isolement des navires suspects ».Pour rappel, en raison de ce débrayage,
le port de Béjaïa a été « consigné jusqu’à nouvel ordre », a indiqué, la semaine passée, l’EPB dans une note datée en demandant aux usagers de cette infrastructure portuaire de dérouter leurs navires vers d’autres ports algériens. L’entreprise a ajouté qu’elle continuera à assurer ses services pour les navires transportant des produits stratégiques (hydrocarbures, gaz, animaux vivants…).

Une émission de l’ENTV défend Didier Raoult contre les lobbys du médicament (Vidéo)
1 août 2020 14:39DIA-01 août 2020: L’émission de décryptages de l’ENTV « Khabaya El Iaalam« (Les dessous des médias) continue de faire parler d’elle. Après avoir attaqué facebook, Twitter, Instagram et les fakenews, voilà qu’elle s’attaque aux médias français et américains pour défendre le professeur français Didier Raoult, qui avait prôné le traitement à la Chloroquine pour lutter contre le Coronavirus.Ce short programme de 15mn, conçu et présenté par une ancienne présentatrice du JT de 20h de la télévision publique Amina Ben Abd Rabo, et produite en exécutif par une entreprise privée spécialisée dans la création digitale: Wamda Créative, se présente ainsi comme l’arme médiatique qui marche sur les traces de la politique du gouvernement algérien.Seulement voilà, cet épisode prend la défense d’un professionnel de la santé française. Au lieu de porter assistance aux professeurs algériens qui défendent la création scientifique algérienne à travers le monde, cette émission qui ne sera sûrement pas regardée en France, en raison de son choix linguistique, porte assistance à un éminent professeur français qui est déjà assez médiatisé.Sentant le piège et pour se disculper, la présentatrice précise à la fin de son sujet que ce n’est pas une émission en faveur de Didier Raoult, mais pour dénoncer les campagnes anti……Didier Raoult, des lobbys du médicament!Amel Bouchaib