Date de publication: 22/07/2020 | Auteur(s): Administrator | Tags: Divers | Visites: 8

RÉPUBLIQUE ALGÉRIENNE DÉMOCRATIQUE ET POPULAIRE Services du Premier MinistreCellule de communicationRevue de la presse électroniquematinée du mercredi 22 juillet 2020
Algérie : Abdelmadjid Chikhi, un intransigeant face à Benjamin Stora – Jeune Afrique
21 juillet 2020 à 17h28 | Par Rania Hamdi Conseiller chargé des archives et de la mémoire auprès de la présidence, Abdelmadjid Chikhi a été désigné par Alger dimanche 19 juillet pour rétablir la vérité sur la période coloniale avec son binôme français, l’historien Benjamin Stora.Sa nomination symbolise la volonté affichée des deux pays de jouer la carte de l’apaisement. Peu connu des générations post-indépendance, Abdelmadjid Chikhi a la réputation d’un conservateur, intransigeant sur le principe de la souveraineté nationale et la restitution de la quasi-totalité des archives et reliques détenues par la France. Le binôme de l’historien français Benjamin Stora est par exemple un fervent partisan de l’abrogation du texte de loi française préconisant la protection du secret de défense nationale.Ex-combattant de la Guerre de libération nationale (1954-1962), il fait partie de ceux qui déplorent l’absence d’une approche strictement algérienne dans la transcription de l’Histoire, reprochant aux « historiens algériens laïques » d’avoir retracé l’histoire de l’Algérie en « adoptant l’approche du colonisateur ». Et regrette que les écrits en arabe de Mebarek el Mili (1889-1945), membre de l’association des oulémas musulmans algériens, et ceux de Cheikh Abderrahmane el Djilali (1908-2010) historien et sociologue versé dans le fiqh (sciences du droit islamique), n’aient pas été assez pris en considération dans ce travail de mémoire.
Intransigeant
Nommé le 29 avril conseiller en charge des archives nationales et de la mémoire nationale auprès du président Abdelmadjid Tebboune, Chikhi s’est violemment attaqué à la France neuf jours plus tard. Sur les ondes de la radio nationale, il a accusé Paris « de livrer une lutte acharnée contre les composantes de l’identité nationale », à savoir la langue arabe, l’islam et les coutumes et traditions ancestrales.Sur les négociations entre les deux parties pour la récupération des archives temporairement suspendues du fait de la pandémie de coronavirus, là encore, il a émis des doutes sur la volonté politique de la France de faire aboutir ces pourparlers.À la veille de la célébration du 58e anniversaire de l’Indépendance, début juillet, ce natif de Batna est de nouveau monté au créneau, en précisant que « la génération actuelle et celles qui lui succéderont demeureront attachées à la demande de la restitution de toutes les archives nationales détenues par la France et se rapportant à plusieurs périodes de notre histoire ».
« Le plus informé »
Abdelmadjid Chikhi a toutefois apprécié, selon son entourage, le geste de Paris consistant à remettre, début juillet, les crânes des 24 combattants algériens tués au début de la colonisation française. Mais il souhaite davantage de gages de la part de la France. En particulier sur le dossier des essais nucléaires français dans le sud algérien, et sur  celui des « disparus » pendant la guerre d’indépendance – plus de 2 200 – selon les autorités algériennes. Surtout, Alger attend des excuses de la France pour sa colonisation de l’Algérie.Il faut affronter ces événements douloureux pour repartir sur des relations profitables aux deux pays. »« Nous souhaitons que les deux historiens accomplissent leur travail dans la vérité, la sérénité et l’apaisement pour régler ces problèmes qui enveniment nos relations politiques, le climat des affaires et la bonne entente. Il faut affronter ces événements douloureux pour repartir sur des relations profitables aux deux pays, notamment au niveau économique », avait plaidé dimanche 19 juillet le président Tebboune, lors de son entretien avec des représentants de journaux nationaux, diffusé dans la soirée sur les chaines de télévision algériennes.Le chef de l’État a défendu son choix, estimant que Chikhi est « le plus informé » des dossiers devant être traités par les deux parties, particulièrement en raison de son expérience à la direction générale des Archives nationales. Abdelmadjid Tebboune a aussi rappelé avoir convenu avec le président Macron que les deux pays travailleront dans la sérénité, « maintenant que les choses sont devenues presque claires et sans crispation aucune. »
Commission mémorielle franco-algérienne? Silence français, mais Alger persiste et signe
Tarek Hafid . Sputnik France21.07.2020URL courteDans le sillage du rapatriement des restes mortuaires de résistants algériens, le Président algérien Abdelmadjid Tebboune a annoncé la création d’une instance officielle mixte pour le travail mémoriel conduite, côté français, par l’historien Benjamin Stora. L’expert français affirme n’avoir jamais entendu parler de cette «commission mixte».Le Président algérien Abdelmadjid Tebboune a visiblement une longueur d’avance sur son homologue français en matière de gestion de la très sensible question de la mémoire commune aux deux pays. Peut-être même un peu trop d’avance.En effet, lors d’une interview accordée le 13 juillet 2020 à l’Opinion, le chef de l’État algérien annonçait qu’une commission mixte (franco-algérienne) verrait le jour pour entamer un travail mémoriel. Dans la foulée, Abdelmadjid Tebboune évoquait la désignation de Benjamin Stora, historien français originaire de Constantine, par le Président Emmanuel Macron pour effectuer «ce travail mémoriel du côté français».«Nous avons évoqué cette question (de la mémoire) avec le président Macron. Il est au fait des événements qui ont marqué notre histoire commune. L’historien Benjamin Stora a été désigné pour accomplir ce travail mémoriel du côté français. Il est sincère et connaît l’Algérie et son passé, de la période d’occupation jusqu’à aujourd’hui. Nous allons nommer son homologue algérien dans les 72 heures. Ces deux personnalités travailleront directement sous notre tutelle respective. Nous souhaitons qu’ils accomplissent leur tâche dans la vérité, la sérénité et l’apaisement pour régler ces problèmes qui enveniment nos relations politiques, le climat des affaires et la bonne entente», a affirmé Abdelmadjid Tebboune au média français.
«Pas de commission mixte»
Côté français, aucune réaction officielle sur cette initiative. Le 15 juillet dernier, Benjamin Stora répondait sur sa page Facebook à un commentaire sur une éventuelle participation à l’écriture de cette histoire commune avec d’autres historiens:«Il s'agit de notes personnelles de réflexion que je dois remettre prochainement, à la demande de la présidence française, sur la colonisation et la guerre d'indépendance algérienne. Il n'y a donc pas, à ma connaissance, de commission mixte d'historiens sur ces questions d'histoire mise en place par les États».Dans sa réponse, l’expert français laisse clairement entendre que son vis-à-vis est l’Élysée et qu’il n’a pas été approché pour travailler dans le cadre d’une initiative entre les deux pays.Dimanche 19 juillet, le Président Tebboune est revenu sur le sujet lors d’une rencontre télévisée avec deux journalistes algériens. Il a annoncé la désignation d’Abdelmadjid Chikhi, conseiller auprès de la Présidence de la République, chargé des archives nationales et de la mémoire nationale en qualité de représentant de l'Algérie pour mener le travail en cours avec l'État français sur les dossiers inhérents à la mémoire nationale et à la récupération des archives nationales.Abdelmadjid Chikhi, qui occupe le poste de directeur général des Archives nationales depuis plusieurs années, est, selon le Président algérien, «le plus informé» pour mener cette mission.
Lettre de mission
Pour Alger, le cadre est définitivement posé et les experts n’ont plus qu’à commencer à travailler. Mais la situation ne semble pas aussi claire de l’autre côté de la Méditerranée. Contacté par Sputnik, Benjamin Stora a affirmé avoir vu «l’information» relative à la désignation de celui qui est censé être son vis-à-vis, signifiant au passage que celui-ci est combattant de l’Armée de libération nationale (l’ALN), qui mena de 1954 à 1962 la lutte armée pour l’indépendance de l'Algérie.«Je viens de voir cette information sur la désignation d’un haut fonctionnaire algérien pour les questions mémorielles, ancien combattant de l'ALN. Pour ma part, je suis toujours dans l’attente de "la lettre de mission" signée du Président de la République française, pour définir les conditions d’écriture sur ce travail mémoriel. Mais je n’ai jamais entendu parler de commission mixte», a-t-il précisé en réponse à un courriel de Sputnik.Le silence de l’Élysée à propos de cette initiative est plutôt étrange. L’annonce du Président Tebboune sur le lancement de ce cadre de travail mémoriel est intervenue à la suite de l’entretien téléphonique qu’il a eu avec le Président Macron le jeudi 9 juillet, soit quelques jours après le rapatriement des restes mortuaires de résistants algériens qui avaient lutté contre l’invasion française au XIXe siècle. Lors de cet entretien, les deux chefs d’État avaient évoqué la nécessité de «travailler à la réconciliation des mémoires des peuples des deux pays». Donc l’intention d’instituer ce cadre est un acte conjoint.Le passé colonial en Algérie étant un sujet très sensible en France, du fait de l’existence de groupes de pression dans différentes strates de la société et au sein du monde politique, il est possible qu’une telle initiative place Emmanuel Macron dans une situation inconfortable.L’Algérie aurait le soutien Russe concernant la Libye !(Colonel Bendjenna)21-07-2020Dans une déclaration à Radio M, le colonel à la retraite, Omar Bendjenna a expliqué, qu’il est probable que la Russie soutienne la position de l’Algérie concernant la crise en Libye. Sa déclaration intervient au moment où le ministre des Affaires étrangères algérien, Sabri Boukdoum entame une visite de travail en Russie à l’invitation de son homologue russe, Sergueï Lavrov ce mardi 21 juillet 2020.Cette visite permettra selon un communiqué du ministère « d’examiner diverses questions régionales et internationales d’intérêt commun, notamment la situation dans la région, en particulier en Libye, au Mali et en Syrie, ainsi que les moyens de promouvoir la paix et la sécurité internationales par des approches politiques constructives fondées sur la légalité internationale et dans le respect de la volonté et de la souveraineté des peuples concernés ».A cet effet, Le colonel à la retraite, Omar Bendjenna, s’attend à ce que la Russie soutienne la position algérienne dans la résolution de la crise en Libye. Il a souligné à Radio M que « la Russie est un grand pays qui a une parole en Libye ». Il signale notamment que l’Algérie est à la recherche du soutien d’un pays fort pour appuyer sa position basée sur une approche politique. Afin que les parties du conflit en Libye reviennent à la table du dialogue ».L’expert en sécurité confirme que l’Algérie mesure le danger d’une intervention étrangère en Libye, qui vit « un état d’instabilité effrayant dans un contexte de division entre le gouvernement d’accord national dirigé par Fayez al-Sarraj et les forces du maréchal Haftar, ainsi que les ambitions occidentales qui se sont intensifiées vis-à-vis ce pays pétrolier ».« L’intervention turque en Libye est devenue réelle sur le terrain. Une réalité qui menace la sécurité et la stabilité de l’Algérie, qui partage des frontières terrestres avec la Libye » a signalé l’expert en sécurité.Par ailleurs, le parlement égyptien a donné hier lundi son autorisation au président Abdel Fattah al Sissi pour déclencher une éventuelle opération militaire en Libye en approuvant le déploiement de forces armées à l’étranger pour combattre les « groupes terroristes » et les « milices ». Abdel Fattah al Sissi a prévenu jeudi que l’Egypte ne resterait pas passive en cas d’initiative susceptible de constituer une menace directe contre sa propre sécurité ou celle de la Libye.De son côté le Chef de l’Etat algérien, Abdelmadjid Tebboune s’est prononcé contre les tentatives de transférer des armes aux tribus libyennes pour éviter un scénario à la somalienne dans le pays voisin. « Au cours des dernières 24 heures, j’ai observé plusieurs tentatives d’imposer le port d’armes aux tribus libyennes. C’est une situation dangereuse qui pourrait pousser la Libye à la même situation qu’en Somalie », a déclaré Tebboune lors d’un entretien accordé à la presse nationale.
ENTRETIEN – Dr Lyes Merabet : "Le test PCR n'est disponible ni pour les malades ni pour le personnel" - Algerie360
21-07-2020
Dr Lyes Merabet, président du Syndicat national des praticiens de santé publique (SNPSP), est revenu dans cet entretien sur la gestion de la crise du coronavirus (Covid-19) en Algérie.
Comment expliquez-vous l’augmentation des contaminations parmi le personnel soignant ?
Premièrement, on est dans une situation où on recense officiellement plus de 600 cas de coronavirus par jour. Les 600 cas sont ceux qu’ils sont diagnostiqués par PCR. Alors que plus de 50 % ce sont des cas qui sont diagnostiqués par les scanners médicaux.On est dans une situation d’ascension par rapport à la courbe épidémique donc le personnel de santé est plus exposé au covid-19 qu’il y a quelques mois.Le deuxième facteur, c’est le manque de moyens de protection il y a des structures où le minimum du matériel n’existe pas. Dans les grandes villes les moyens sont dispensés mais en quantité insuffisante pour couvrir réellement les besoins.Pour le troisième facteur, c’est la fatigue qui est due au rythme soutenu. Les membres du personnel soignant sont fatigués car ils sont sous pression au niveau professionnel et par rapport à leurs vies de famille. Beaucoup ne rentre pas chez eux. Surtout lorsqu’on a une importante charge de travail.
Plusieurs praticiens de santé ont déploré un retard des résultats de dépistages au coronavirus. Confirmez vous cela ?
Déjà il faudrait qu’il soit disponible. Nous on dénonce le fait que le test PCR n’est disponible ni pour les malades ni pour les professionnels de la santé.Et quand il (test PCR, ndlr) est disponible, les résultats arrivent au bout de 10 à 14 jours ! Ca n’a aucun sens surtout pour les enquêtes épidémiologiques.On le sait très bien, c’est les enquêtes épidémiologiques sur le terrain qui vont nous guider pour casser la chaine de transmission et pour intervenir rapidement. Donc lorsqu’on reçoit les résultats avec un retard de plus de 10 jours, ça sert à rien. Je pense qu’on est vraiment à côté de la plaque par rapport aux enquêtes.
Que pensez-vous des dernières décisions prises par l’Etat dans le cadre de la lutte contre le coronavirus ?
Le confinement n’a jamais été mis en place en Algérie. Moi je le considère comme un couvre-feu. C’est vrai il y avait un confinement général à Blida durant le mois de mars dernier. Ça a fonctionné et ça a donné des résultats.Si on avait élargi le confinement autour de la wilaya de Blida (les wilayas limitrophes, ndlr), je pense qu’on aurait eu un meilleur résultat. Moi et mon syndicat, nous l’avons proposé.Entretien réalisé par Massin AmrouniCovid-19 et Aïd-el-adha : les recommandations du Dr Fourar .Société  Par: Younès Djama 21 Juil. 2020 à 19:30Le porte-parole du comité de surveillance de l’épidémie de Covid-19, Dr Djamel Fourar, livre ses recommandations aux Algériens pour éviter d’être contaminé au coronavirus à l’occasion de l’Aïd-el-Adha.« Pendant cette fête, les citoyens doivent être conscients du risque qu’ils prennent s’ils n’appliquent pas les mesures barrières qui vont amener à diminuer le nombre des contaminations et par là même la transmission de ce virus », recommande Dr Fourar.À l’occasion de l’Aïd-el-Adha qui sera célébré en Arabie saoudite le 31 juillet, Dr Fourar rappelle les mesures à respecter et les gestes à éviter. « Les mesures barrières durant tout le processus de cette fête consistent en la distanciation sociale, le port du masque obligatoire pendant le sacrifice du mouton, ne pas s’échanger les outils qui servent dans l’acte d’abattage du mouton ».Dr Fourar recommande carrément d’interdire les visites familiales « qui peuvent être une source de contamination et de reprise de l’épidémie ». « J’espère que la population sera consciente qu’elle a un rôle à jouer dans l’arrêt de la transmission du virus et même la fin de l’épidémie », a-t-il conclu.L’Algérie fait face depuis fin juin à une hausse des cas de contamination au coronavirus, avec 587 nouvelles infections recensées ces dernières 24G, ce qui porte le total à 24278 cas, dont 1100 morts depuis le début de l’épidémie.Coronavirus en Algérie : « La contagiosité a augmenté »Par: Rédaction 21 Juil. 2020 à 19:21Devant l’augmentation du nombre de cas positifs de Covid-19 en Algérie, Dr Mohamed Bekkat Berkani, membre du comité scientifique du ministère de la Santé, livre quelques recommandations aux citoyens pour stopper la propagation du virus qui, dit-il, « a augmenté de contagiosité ».« En dehors du port du masque, il est demandé aussi d’observer la distanciation physique, de s’éloigner à distance raisonnable les uns des autres, mais aussi essayer de ne pas sortir de l’espace public s’il n’y a pas nécessité, se laver les mains avec le gel hydro alcoolique ou du savon liquide et préserver l’ensemble de l’environnement pour arrêter la circulation du virus », recommande-t-il.Louisa Hanoune sera devant le juge d’instruction dimanche prochain ! 21-07-2020La secrétaire générale du Parti des travailleurs (PT), Louisa Hanoune et son camarade du parti, Djeloul Djoudi, comparaîtront dimanche prochain devant le juge d’instruction à propos d’une plainte déposée par l’ancienne ministre de la Culture, Nadia Labidi en 2015, a révélé la cheffe du parti d’extrême gauche lors de son discours d’ouverture à la réunion du secrétariat général du bureau politique du PT.Nadia Labidi avait déposé une plainte pour une « affaire de diffamation », contre la secrétaire générale du PT, Louisa Hanoune qui l’avait accusé de « mauvaise gestion » de son secteur et d’être au centre de « conflit d’intérêts ».L’ancienne ministre a décidé de relancer la procédure judiciaire auprès du tribunal de Sidi M’hamed, à Alger, après la démission de Louisa Hanoune de son mandat de députée à la première chambre parlementaire en mois de mai 2019.Rappelons que Louisa Hanoune a été condamnée par le tribunal militaire de Blida à trois ans de prison dont 9 mois ferme. Elle a quitté la prison le 10 février 2020.Après le scandale du fuel frelaté, Sonatrach reprend ses livraisons de carburant au Liban 21-07-2020La filiale du Groupe Sonatrach, Sonatrach Petroleum Corporation « SPC Londres », a repris ses livraisons de carburants au Liban après un arrêt de plusieurs mois, a indiqué la presse libanaise.La même source a noté qu’un communiqué de l’Electricité du Liban (EDL), a annoncé que la SPC Londres a livré le 12 juillet dernier, une cargaison de 25 000 tonnes de fuel, suivie d’une autre cargaison de 50 000 tonnes de carburant, deux jours après.Cette reprise des livraisons de Sonatrach au Liban, intervient après le scandale qui s’est déclenché autour du fuel livré par la filiale de la compagnie pétrolière nationale, considéré par les autorités libanaise de « défectueux ».L’affaire a été ainsi, saisie par la justice libanaise qui a ordonné la mise sous séquestre de deux navires de Sonatrach. Une action qui a obligé la compagnie nationale à bloquer la livraison du fuel, provoquant ainsi une pénurie dans l’approvisionnement des centraux électriques du pays, et obligeant les autorités du Liban à rationnaliser l’alimentation en électricité.Il est à rappeler aussi, que dans cette même affaire, la justice libanaise a lancé des poursuites contre plusieurs sociétés dont Sonatrach et son représentant au Liban.