Source(s): La Nation
Date de publication: 04/07/2020 | Auteur(s): Administrator | Tags: Divers | Visites: 11

Algérie : le président Tebboune à la conquête de la diaspora – Jeune Afrique
04 juillet 2020 Par Hamdi Baala Martelé par Abdelmadjid Tebboune dès le début de sa campagne électorale, le discours en faveur de l’implication de la diaspora se concrétise aujourd’hui par une opération séduction des élites expatriées. Objectif : les encourager à revenir et à mettre leurs compétences au service du pays.Elias Zerhouni, médecin algéro-américain, spécialiste de la radiologie, est l’une des compétences algériennes les plus reconnues à l’étranger. Cet ancien directeur du National Institute of Health américain, nommé sous la présidence de George W. Bush, est, depuis le 13 juin, conseiller spécial de l’Agence nationale de sécurité sanitaire (ANSS), fraîchement créée par le président Abdelmadjid Tebboune.Cette nomination s’inscrit dans le cadre de l’opération de charme menée par le nouvel exécutif pour conquérir le cœur des membres les plus compétents de la diaspora. Ces derniers, longtemps exclus du développement du pays, via des règlements, voire un amendement de la Constitution, représentent désormais un enjeu, aussi bien politique qu’économique, pour la nouvelle mandature.La présidence de l’agence sanitaire a, elle, été confiée à un autre expatrié, le Dr Kamel Sanhadji, chercheur de renom dans la lutte contre le sida, directeur du service de recherche à l’hôpital Édouard-Herriot, à Lyon, en France, et qui, selon le communiqué d’El Mouradia, fera office de « conseiller scientifique » du président en matière de santé.
Opération de charme
Mais l’opération séduction ne vise pas que les médecins. Les élites algériennes établies à l’étranger se comptent par milliers – 25 000, à en croire les chiffres officiels – et travaillent dans tous les domaines, ou presque. Pour que l’Algérie puisse profiter de leur expérience, le chef de l’État a promis de déblayer le terrain. À commencer par la Constitution.
الإعلام الفرنسي يتطاول على رفات الشهداء
3 يوليو، 2020 - 23:45ف .سميرتطاول الاعلام الفرنسي على أرواح الشهداء الدين تم إسترجاع جماجمهم ، حيث وصفتهم قناة فرانس 24 على انهم متمردين تم قتلهم ابان حقبة الاستعمارالاعلام الفرنسي يخاطب العالم بلغة المستعمر في محاولة لتغليظ الراي العام العالمي على ان ما حدث من جرائم في الجزائر خلال ال 130 سنة  لا حدث ، وكان فرنسا المجرمة البارحة هيا نفسها اليوم لم تغير لا من مواقفها ولا نيتها إتجاه الجزائر و شعبها
هكذا علقت الصحافة الدولية على استرجاع الجزائر رفات المقاومة الشعبية
2020/07/03رفات شهداء المقاومة الشعبيةالقدس العربي ( لندن ):روسيا اليوم ( روسيا ):الجزيرة ( قطر ) :الشرق الأوسط ( لندن ) : العربية ( السعودية ) :اليوم السابع ( مصر ) :France 24 فرنسا:MEY لندن CGTN ( الصين ):
هكذا وصفت الرئاسة الفرنسية استرجاع الجزائر لرفات المقاومة الشعبية
2020/07/03وصفت الرئاسة الفرنسية اليوم الجمعة استرجاع الجزائر لجماجم 24 من قادة المقاومة الشعبية للاستعمار الفرنسي والتي كانت محفوظة لأكثر من قرن ونصف بمتحف الإنسان بباريس بمبادرة “صداقة وتبصر”. وصرحت الرئاسة الفرنسية لوكالة فرانس برس بأن “هذه العملية تدخل في إطار مبادرة صداقة وتبصر إزاء كل جراح تاريخنا”. وأضافت الرئاسة الفرنسية أن “هذا هو معنى العمل الذي باشره رئيس الجمهورية (الفرنسي) مع الجزائر والذي سيتواصل في كنف احترام الجميع من أجل مصالحة ذاكرتي الشعبين الفرنسي والجزائري”.Pourquoi les archives de la guerre d’Algérie restent inaccessibles ?04-07-2020L’Assemblée populaire nationale (APN) et le Conseil de la nation ont adopté, en juin dernier, le projet de loi instituant le 8 mai comme Journée nationale de la mémoire. En ce vendredi 3 juillet, l’Algérie a rapatrié, dans un avion de l’ANP, vingt-quatre crânes de résistants algériens tombés au champ d’honneur durant l’occupation.La restitution des archives nationales détenues par la France constitue l’une des principales revendications de l’Algérie. Le dossier de la mémoire comprend, entre autres, les disparus de la Guerre de libération, l’indemnisation des victimes des essais nucléaires et la récupération de l’ensemble des crânes des résistants algériens exposés au Muséum national d’histoire naturelle de Paris.Ce vendredi marque une petite mais significative avancée dans la question de la mémoire entre l’Algérie et la France, puisque le pays a pu récupérer les restes mortuaires de premiers héros ayant affronté l’armée coloniale. Il s’agit des crânes de vingt-quatre combattants rapatriés à bord d’un avion de l’ANP. De nombreux observateurs pensent que ce rapatriement marque le dégel des relations diplomatiques entre les deux pays.
Ces Français qui réclament l’accès aux archives
De nombreux Français, dont des historiens et des juristes, et des associations réclament l’accès immédiat aux archives relatives à la Guerre de libération nationale. C’est notamment le cas de l’association Josette et Maurice Audin qui exige que les documents anciens relatifs à la période 1940-1970 de la France coloniale soient “librement communicables”.Cependant, un obstacle majeur se dresse devant l’ouverture des archives classées secrètes. Il s’agit de l’article 63 de l’Instruction générale interministérielle n° 1300 (IGI 1300), relatif au secret de la défense.Les parties qui plaident pour l’accès aux archives ont formulé des demandes d’abrogation de cet article au Premier ministère français, regrettant une situation qui, “sous le prétexte abusif de la nécessité de protection du secret de la défense, a pour conséquence une complexification absurde et une restriction sans précédent de l’accès aux archives publiques de la période 1940-1970”.Des pays européens refusent d’ouvrir leurs frontières aux Algériens04-07-2020L’Allemagne, la République tchèque et la Hongrie ont refusé, ce jeudi 2 juillet, d’ouvrir les frontières de leurs pays aux ressortissants algériens. En effet, ces trois pays ont exclu l’Algérie de la liste des pays jugés sûrs par l’Union européenne.Le gouvernement fédéral allemand a décidé de retirer quatre pays, dont l’Algérie, de la liste des Etats dont la situation épidémiologique liée à la maladie de la Covid-19 est jugée suffisamment sûre pour la reprise des voyages vers l’Europe. Les pays exclus sont donc l’Algérie, le Maroc, le Rwanda et la Serbie.La République tchèque, quant à elle, n’a retenu que huit pays hors UE dans la liste de ceux dont les ressortissants sont autorisés à entrer sur son territoire. La République tchèque n’ouvrira ses frontières qu’à l’Australie, le Canada, le Japon, le Monténégro, la Nouvelle-Zélande, la Serbie, la Corée du Sud et la Thaïlande. Reste à découvrir, en revanche, les décisions des autres pays européens qui n’ont pas encore publié leurs listes propres.De son côté, la Hongrie s’est montrée plus sélective. Le pays n’a autorisé l’accès à son territoire qu’à la Serbie. Les autres Etats, dont l’Algérie, sont exclus. Le Premier ministre hongrois, Viktor Orban, a déclaré ce jeudi : « Pour le moment, nous ne pouvons pas accéder à la demande de l’UE (…) parce que cela irait à l’encontre des intérêts sanitaires du peuple hongrois ».
L’Algérie ne répond pas aux critères de l’Union européenne
Il faut dire que bien que l’Algérie fasse partie de la liste définitive des pays pour lesquels les frontières de l’Europe ont été ouvertes, elle ne répond pas à certaines exigences de l’Union européenne.En effet, l’Union européenne a mis en place certaines exigences auxquelles doivent répondre les pays afin de leur rouvrir ses frontières. Ces pays devront répondre à des critères épidémiologiques clairs et stricts. Ils doivent être dans une situation épidémiologique semblable ou meilleure que celle de l’Europe. L’Union européenne a fixé la barre à un taux de nouveaux cas de Covid-19 inférieur ou égal sur les 14 derniers jours à 16 pour 100 000 habitants.La situation épidémiologique en Algérie se détériore de plus en plus. Le pays connaît une nouvelle hausse de cas positifs ces derniers jours. L’Algérie ne répond donc pas à ce critère épidémiologique, qui est la condition pour pouvoir voyager en Europe.
L’ouverture des frontières de l’UE est conditionnée
Par ailleurs, l’ouverture des frontières européennes est conditionnée par la réciprocité avec les pays qui seront autorisés à voyager en Europe. Or, l’Algérie, qui maintient ses frontières fermées pour tous les pays étrangers, se retrouve ainsi de fait exclue des mesures d’ouverture des frontières de l’Europe.Pour rappel, les pays de l’Union européenne avaient convenu de rouvrir, dès le mercredi 1er juillet, les frontières extérieures de l’espace Schengen aux voyageurs d’une liste de 15 pays, dont l’Algérie. Selon un communiqué officiel de l’UE, les ressortissants de ces 15 pays, dont les Algériens, sont officiellement autorisés à voyager en Europe.L’UE, dont les frontières extérieures ont été fermées dans le cadre de la lutte contre le coronavirus, a autorisé, à compter donc de mercredi, les voyages d’agrément et d’affaires en provenance de 15 pays jugés « sûrs ». Il s’agit de l’Algérie, de l’Australie, du Canada, de la Géorgie, du Japon, du Monténégro, du Maroc, de la Nouvelle-Zélande, du Rwanda, de la Serbie, de la Corée du Sud, de la Thaïlande, de la Tunisie, de la Chine et de l’Uruguay.La Banque Mondiale classe l’Algérie parmi les pays à revenu inférieur en 2020-202104-07-2020L’Algérie est désormais classée dans la catégorie des pays « à revenu intermédiaire inférieur » pour la période 2020-2021 avec un PIB par habitant évalué à 3970 dollars en 2019, alors qu’elle appartenait jusque-là à la catégorie « revenu intermédiaire supérieur », équivalant à un PIB par habitant de 4060 dollars en 2018, a indiqué samedi le groupe Banque Mondiale (BM).Selon la même source, « le chiffre du PIB par habitant pour 2018 a été révisé à la baisse ; il s’établit à 840 dollars au lieu de 1560 dollars. L’Algérie, au même titre que l’Indonésie, Maurice, le Népal, le Sri Lanka et la Roumanie, étaient très proches de leurs seuils respectifs l’année dernière.Par ailleurs, l’institution de Bretton Woods explique que la classification se fonde sur le PIB de l’année précédente (2019 dans le cas présent). Par conséquent, les chiffres utilisés pour cette actualisation ne reflètent pas encore l’impact de la pandémie de COVID-19.La BM répartit les économies du monde en quatre groupes : faible revenu, revenu intermédiaire de la tranche inférieure, revenu intermédiaire de la tranche supérieure et revenu élevé. Cette classification est actualisée chaque année le 1er juillet. Elle repose sur le PIB par habitant de l’année précédente (2019 dans le cas présent) en dollars courants, selon la méthode dite « de l’Atlas » (a) pour le lissage des fluctuations de taux de change.Deux facteurs déterminent l’évolution de la classification des pays :
  1. le RNB par habitant, qui évolue en fonction de la croissance du revenu du pays concerné, de l’inflation, des taux de change et de la démographie, sachant en outre qu’il peut aussi changer à la suite des révisions apportées aux données et aux méthodes de comptabilité nationale (les nouvelles données relatives au PIB par habitant pour 2019 sont disponibles ici).
  2. pour que les seuils de classification des revenus restent fixes en termes réels, ils sont ajustés chaque année en fonction de l’inflation. Nous utilisons pour cela le déflateur du droit de tirage spécial (DTS), qui est une moyenne pondérée des déflateurs du PIB de la Chine, du Japon, du Royaume-Uni, des États-Unis et de la zone euro.
L’Algérie ne renoncera pas à sa demande de restitution de ses archives détenues par la France (Abdelmadjid Chikhi)04-07-2020M. Abdelmadjid Chikhi, conseiller auprès du Président de la République, chargé des archives nationales et de la mémoire nationale, a réaffirmé vendredi que l’Algérie “ne renoncera pas à sa demande de restitution de ses archives détenues par la France”.Dans une déclaration à l’APS, à la veille de la célébration du 58e anniversaire du recouvrement de la souveraineté nationale, M. Chikhi a précisé que “la génération actuelle et celles qui lui succèderont demeureront attachées à la demande de restitution de toutes les archives nationales détenues par la France et se rapportant à plusieurs périodes de notre histoire”, estimant qu’”il n’y a pas chez la partie française de réelle volonté de clore ce dossier définitivement”.Selon lui, les responsables français en charge des négociations sur ce dossier n’ont pas de pouvoir décisionnel en la matière.Rappelant que toutes les lois et législations internationales stipulaient clairement que “les archives appartiennent au territoire dans lequel elles ont été produites”, le responsable des Archives nationales a dit que “la France tente de se dérober à ces textes internationaux en promulguant des lois de contournement”.La loi promulguée par la France en 2006 en est une parfaite illustration, puisqu’elle dispose que “les archives font partie du domaine public” et qu’elles sont, par conséquent, “inaliénables et imprescriptibles”, a estimé M. Chikhi, qui a été nommé récemment conseiller auprès du président de la République en charge des archives nationales et de la mémoire nationale.Il a également cité la décision de disperser les archives algériennes détenues par la France dans d’autres centres “à l’insu de l’Algérie”.Pour M. Chikhi, cette mesure constitue “une violation du principe de non rétroactivité des lois”, d’autant que le dossier des archives “fait l”objet de négociations et n’a pas été tranché définitivement”, rappelant à l’occasion que les discussions entre l’Algérie et la France concernant ce dossier “sont à l’arrêt depuis trois ans, soit depuis le limogeage du directeur des archives françaises, une institution qui n’a pas actuellement de responsable à sa tête”.Il a indiqué dans ce contexte que la Grande commission mixte algéro-française pourrait se réunir ce mois-ci et aura entre autres dossiers à examiner, celui de la récupération des archives nationales.Des associations, des historiens et des juristes avaient demandé aux autorités françaises “l’accès immédiat” aux archives notamment celles inhérentes à la Guerre de libération nationale, à travers l’abrogation du texte de loi préconisant la protection du secret de défense nationale.Dans une démarche qualifiée d’inédite, ces parties avaient appelé, dans une déclaration rendue publique, à l’abrogation de l’article 63 de l’instruction générale interministérielle n 1300 (IGI 1300) portant protection du secret de la défense nationale”, déplorant que l’application de cette instruction se soit “considérablement durcie ces derniers mois, à la demande du secrétariat général de la Défense et de la Sécurité Nationale”.“Alors que le Président français Emmanuel Macron appelle à un débat sur le passé colonial de notre pays, l’accès aux archives permettant un examen informe et contradictoire de ces questions est aujourd’hui entravé”, lit-on dans la déclaration.L’ex-directeur de Schlumberger répond à ceux qui l’accusent de «salir» Sonatrach04-07-2020Par Nabil D. – L’expert qui a mis en garde contre l’achat par Sonatrach de la raffinerie d’Augusta a répondu à ceux qui l’accusent de «mener une campagne de dénigrement systématique» contre le groupe pétrolier algérien par «intérêt», en affirmant avoir passé quatre ans à élaborer sa thèse PhD sur la démonopolisation du secteur des hydrocarbures algérien. «Démonopoliser ne signifie pas automatiquement privatiser. Dans la conclusion, j’ai préconisé la création d’une Sonatrach-bis pour promouvoir la concurrence et forcer Sonatrach à améliorer sa performance et son mode de gestion», explique l’ancien directeur général de la filiale nord-africaine de Schlumberger.Hocine-Nasser Bouabsa rappelle qu’il faisait partie du «cercle restreint des 50 top-managers de Schlumberger Group au niveau mondial» et que sa position de numéro deux «reportait directement au président de la région South-Europe, Middle-East & North-Africa». «J’avais mon bureau à Alger, Rome, Rabat et Tunis. J’ai connu Sonatrach de l’intérieur. Une compagnie où régnaient le clanisme et la corruption, à l’image du système de gouvernance de Bouteflika. Ses compétences étaient frustrées et déclassées par le système de cooptation», écrit-il, en précisant qu’à Alger, où il a résidé comme «expatrié», il a connu à Schlumberger et à Sonatrach des Algériennes et Algériens «honorables», qui «ne défendaient non pas seulement leur gagne-pain mais aussi les intérêts de leur pays». «Dommage qu’ils étaient très minoritaires», regrette-t-il.Bouabsa, qui aurait pu épargner à l’Algérie plusieurs milliards de dollars s’il avait été écouté lorsqu’il avait lancé le signal d’alarme dans Algeriepatriotique, explique qu’il aurait pu joindre le comité directoire de Schlumberger, puisque deux membres du directoire l’ont convié à Paris pour lui faire une proposition «que tout carriériste aurait accepté volontiers, mais pas moi». «J’ai préféré quitter Schlumberger – les termes de confidentialité ne me permettent pas d’évoquer les raisons – la tête haute et avec tous les égards financiers – prime de départ conséquente – digne d’un manager qui a réussi sa mission, pour être à côté de mes enfants qui réclamaient avec plus d’insistance la présence de leur père, ce dont il avait droit», confie-t-il.L’ancien cadre de la multinationale spécialisée dans les services et les équipements pétroliers ajoute qu’avec la prime de départ conséquente qu’il a perçue, il a créé Sonnergy GmbH en 2006. «Après trois ans, cette startup a pu accumuler la compétence et le savoir-faire qui lui ont permis de gagner la confiance d’investisseurs qui étaient prêts à investir 300 millions de dollars dans une usine de Polysilicium – le feedstock de l’industrie photovoltaïque – en Algérie», explique-t-il. Sonnergy fut aussi shortlistée par le groupe Sonelgaz parmi trois sociétés allemandes pour la construction de l’usine photovoltaïque de Rouiba pour un coût de 200 millions d’euros, insiste-t-il, en expliquant que faute de pouvoir s’accommoder du «système des requins, de la prédation et de la dilapidation des deniers de l’Etat», il a préféré se retirer de la «jungle d’affaires algérienne» et se concentrer sur ses activités en Allemagne.S’agissant du projet Desertec, Hocine-Nasser Bouabsa rappelle qu’il en est un des premiers initiateurs et qu’il a quitté la fondation éponyme «après que le comité de pilotage a choisi Cevital comme membre de l’initiative industrielle au lieu d’Algerian Energy Company, filiale de Sonatrach et Sonelgaz, que j’ai personnellement recommandée», a-t-il affirmé, en notant qu’il est contre l’initiative industrielle Desertec DII «qui se focalise exclusivement sur les intérêts des grandes multinationales». «Le gouvernement algérien a bien fait de vouloir recadrer l’action de DII, le gouvernement français a, quant à lui, son propre agenda», a-t-il fait remarquer, en estimant qu’«on ne doit pas perdre de vue le développement des technologies de l’hydrogène solaire qui sont en train de gagner du terrain».«Je n’ai jamais participé à une campagne de dénigrement contre Sonatrach, d’autant plus que je connais l’importance de cette entreprise qui fait nourrir des dizaines de millions d’Algériens. Par contre, j’ai usé, et j’userai, de mon droit d’Algérien libre pour critiquer les errances et les carences de gestion de cette entreprise hautement stratégique pour le peuple algérien», a conclu Hocine-Nasser Bouabsa qui s’oppose à l’exploitation du gaz de schiste au Sahara, «non pas seulement en raison des dangers environnementaux irréversibles qu’elle peut provoquer, mais surtout parce qu’il est temps que l’Algérie divorce du système de la rente pétrolière pour s’engager définitivement dans la logique de la création de la richesse par le travail et l’intelligence», a-t-il conclu.N. D.
بنك الجزائر يعلن عن إصدار نماذج نقود جديدة
بقلم ياسين باباسي/نسرين محفوف04-07-2020
أعلن اليوم السبت، بنك الجزائر، عن إصدار نماذج نقود جديدة ورقية ومعدنية.
وأوضح بنك الجزائر أن الأمر يتعلق بورقة نقدية من فئة 2000 دينار وأخرى معدنية.وأشار بنك الجزائر أن الورقة النقدية من فئة 2000 دج تحمل صورة مجموعة الستة التاريخية التي فجرت الثورة التحريرية.للإشارة، كشفت وزارة المالية، عن طرح كتلة نقدية جديدة في السوق الوطنية اليوم السبت بمصاحبة الأوراق النقدية المتداولة حاليا، وذلك بمناسبة الذكرى الـ 58 للاستقلال.ومن المنتظر أن تكون لهذه الخطوة تأثير إيجابي على الاقتصاد الوطني.