
Frontières Union Européen : L’Algérie maintenue dans la liste des « pays sûrs » - Algerie360
15-07-2020
L’Algérie figure toujours dans la liste des « pays sûrs » dont l’accès est autorisé au sein de l’Union européenne.
Selon l’agence Reuters, l’
Algérie a été maintenue, lors de la mise à jour bimensuelle effectuée mardi 14 juillet, dans la liste réduite à 13 au lieu de 15 pays admis à l’UE. La Tunisie et le Maroc y figurent également, tandis que la Serbie et le Monténégro ont été retirés.La même source affirme l’insistance de la France sur le fait de retirer l’Algérie de la liste lors des discussions qui ont eu lieu entre les membres de l’Union concernant les pays admis. Néanmoins, la France a annoncé qu’elle adopterait des mesures visant à exclure l’Algérie de la liste des pays autorités sur son territoire.Pour l’heure, une majorité des pays membres de l’UE maintiennent l’Algérie et le Maroc dans la liste des pays sûrs, en vue du nombre de cas de contaminations au virus du Covid-19 qui demeure, selon eux, encore relativement bas dans chacun des pays.Pour rappel, les 13 pays figurant dans la liste des pays sûrs de l’Union européenne sont : l’Algérie, l’Australie, le Canada, la Chine, la Géorgie, le Japon, le Maroc, la Nouvelle-Zélande, le Rwanda, la Corée du Sud, la Thaïlande, la Tunisie et l’Uruguay.

Salah Laouar critique la décision du dé-confinement en juin dernier
Amir HaniDIA-15 juillet 2020: Le président du syndicat des médecins généralistes, Salah Laouar, s’en est pris aux décisions du gouvernement en matière de gestion de la pandémie du Coronavirus. Ce praticien qui exerce dans le secteur public a critiqué la levée du confinement total pour certaines wilayas et le dé-confinement partiel le mois de juin dernier. Il a ainsi estimé que le dé-confinement ne signifie pas la fin de la pandémie.Or, pour les Algériens le dé-confinement était synonyme de la fin de la pandémie d’où l’explosion du nombre des nouvelles contaminations.

L’Algérie fait face à une « deuxième vague de la pandémie de Covid-19 »Par: Younès Djama 15 Juil. 2020 à 08:18L’Algérie connaît bel et bien une « deuxième vague » de la pandémie de Covid-19, estime le pneumologue Pr Salim Nafti, qui alerte sur le fait que le virus est devenu plus contaminant.« Nous sommes actuellement dans une période assez difficile de la pandémie du coronavirus. Nous venons de dépasser les 500 cas diagnostiqués durant ces 24 dernières heures. On parle de rebond et de recrudescence… mais, je m’excuse, c’est une deuxième vague comme cela a été observé un peu partout dans le monde. Ce qui se passe ailleurs se passe aussi chez nous », affirme, catégorique, Pr Nafti dans une déclaration à TSA.L’Algérie a franchi le cap des
500 nouveaux cas quotidiens hier mardi, avec 527 nouvelles infections recensées, ce qui porte le total à 20.212 cas confirmés depuis le début de l’épidémie.Selon le Pr Nafti, cette deuxième vague est la conséquence du relâchement de la population suite au déconfinement partiel. « Il a fallu un petit déconfinement pour laisser les gens prendre les transports en commun et la réouverture des commerces » pour qu’il y ait une augmentation de la contagiosité, a-t-il regretté.« De plus, ce virus est apparemment devenu plus contagieux. Aujourd’hui, on parle de super contaminants, c’est-à-dire des personnes qui contaminent 20 personnes dans les 24 à 48 heures, alors qu’avant ça ne dépassait pas 3 cas. Ceci explique le nombre effarant des cas dont il faudra bien sûr s’occuper », fait observer le pneumologue.
Application des mesures sanitaires : faire preuve de rigueur
Si Pr Salim Nafti salue les mesures prises par les autorités pour endiguer la pandémie, mais « pour qu’elles soient efficaces, ces mesures doivent être appliquées avec beaucoup plus de rigueur ».Selon lui, la rigueur suppose de sanctionner « tous ceux qui ne respectent pas les consignes sanitaires pour casser la chaîne de transmission et la propagation du virus au sein de la population ».« La rigueur s’impose par la force de la loi à tous les niveaux », juge Pr Nafti qui insiste fortement sur le port du masque ». Pr Nafti signale toutefois que certains masques vendus sur le marché ne répondent pas aux normes en plus de leur cherté.« Il faudra que l’Etat et la société civile contribuent pour permettre à la population dans sa majorité d’être protégée. Sinon, nous irons encore une fois vers une nouvelle recrudescence et à ce moment-là ça va être le drame auquel nous ne pourrions pas faire face », prévient ce spécialiste des maladies respiratoires.
« On a fait payer un lourd tribut au corps médical »
L’ex-chef du service pneumo-phtisiologie du CHU Mustapha prévient que si les mesures barrières, en particulier le port du masque, ne sont pas respectées, les structures de santé vont être davantage dépassées.« Nos confrères, qui sont déjà dans un état de burnout assez considérable, sont épuisés et n’ont pas pris de congé depuis plus de 3 mois. Il faut dire qu’on a fait payer un lourd tribut au corps médical durant cette pandémie, le nombre de médecins et de paramédicaux touchés est très élevé », signale Pr Nafti. « Je ne suis pas pessimiste et je ne noircis pas la situation, mais je dis que la situation est sérieuse », conclut-il.
Document. Décès provoqués par le COVID-19 : l’est algérien inquiète et fait peur, très peur15-07-2020L’est algérien inquiète particulièrement les autorités sanitaires algériens en raison de l’augmentation vertigineuse du nombre des décès provoqués par la pandémie du COVID-19. C’est du moins ce nous apprend un rapport scientifique officiel et très approfondi de l’Institut National de la Santé Publique (INSP) obtenu par Algérie Part. L’INSP est l’un des rares organismes publics en Algérie qui publie des données scientifiques très fiables sur la situation épidémiologique qui prévaut dans notre pays. Et pour cause, l’Institut National de la Santé Publique a pour objet de réaliser des travaux d’étude et de recherche en santé publique permettant de fournir au ministère de la santé les instruments scientifiques et techniques nécessaires au développement des programmes d’action sanitaire et de promotion de la santé publique et à leur coordination intra et intersectoriel.Dans son dernier bulletin sur la situation sanitaire du pays datant du 11 juillet, l’INSP note une augmentation inquiétante et très élevée du taux de mortalité lié au COVID-19 dans les wilayas de l’est du pays. Selon les données de l’INSP, au cours des sept derniers jours, la région Est enregistre une hausse du nombre de nouveaux décès durant la semaine du 28 juin au 04 juillet, 17 décès ont été notifiés versus 24 décès la dernière semaine,soit une augmentation de 41,2 % du nombre des décès en une semaine ! C’est tout simplement énorme.Fort heureusement, au niveau de la région Centre, la hausse enregistrée est moins importante avec 19 décès pour la dernière semaine, soit une augmentation de 11,8 %. Et Dieu merci, les deux autres régions observent une baisse du nombre de décès et des taux d’accroissement. Au cours de la dernière semaine, l’Ouest notifie 5 décès avec un recul de -37,5 % concernant le taux de mortalité et le Sud rapporte 10 nouveaux décès avec une diminution de 16,7 % de la mortalité liée au COVID-19.C’est donc l’est algérien qui connaît en ce moment une situation alarmante à cause du nombre des décès élevé. Au cours du dernier mois, la région Est déclare quotidiennement au moins 01 décès par jour et au maximum 07 décès. A noter que durant la journéedu 27 juin, tous les décès déclarés (07) provenaient de la région Est.Au niveau de la région Centre, le nombre de décès déclarés a varié entre 0 et 5, durant le dernier mois. Le rapport de l’INSP souligne enfin qu’au cours de la dernière semaine, on note que la région Est enregistre le plus grand nombre de nouveaux décès diagnostiqués positifs au COVID-19 à la suite d’un test de dépistage PCR+ (24), soit 41 % de l’ensemble des décès, suivie du Centre avec 33 % des décès, du Sud (17 %) et de l’Ouest (9 %).
COVID-19 : le nombre des décès en Algérie a augmenté de plus de 35 % en un seul mois15-07-2020Le nombre des morts évolue de façon alarmante et rapide en Algérie. Le taux d’augmentation des morts liés au COVID-19 démontre que la pandémie est en pleine expansion sur le territoire algérien et rien ne semble pouvoir la ralentir. Preuve en est, au 11 juillet, le nombre de décès cumulés enregistré à cette date est de 1 004. Le 11 juin, ce nombre était de 741, soit un taux d’augmentation de 35,5 %, nous apprend ainsi un rapport scientifique très approfondi de l’Institut National de la Santé Publique (INSP). L’INSP est l’un des rares organismes publics en Algérie qui publie des données scientifiques très fiables sur la situation épidémiologique qui prévaut dans notre pays. Et pour cause, l’Institut National de la Santé Publique a pour objet de réaliser des travaux d’étude et de recherche en santé publique permettant de fournir au ministère de la santé les instruments scientifiques et techniques nécessaires au développement des programmes d’action sanitaire et de promotion de la santé publique et à leur coordination intra et intersectoriel.Dans son dernier bulletin sur la situation sanitaire du pays datant du 11 juillet, l’INSP note une augmentation inquiétante et très élevée du taux de mortalité lié au COVID-19 dans plusieurs régions du pays.Selon les données de l’INSP, au 11 juillet, le taux de mortalité national est de 2,36 décès pour 100 000 habitants, il était de 2,22 au 04 juillet. Le taux d’augmentation de la mortalité entre ces deux dates, soit en à peine une une semaine est de 6,31 %. La région Centre enregistre le plus grand nombre de décès (497) et le plus fort taux de mortalité avec 3,24 décès pour 100 000 habitants. Les quatre wilayas qui notifient des taux de mortalité supérieurs au taux de leur région sont Blida (10,17), Tipaza (5,59), Alger(4,35) et Bordj Bou Arreridj (3,98).La région Sud observe le deuxième taux de mortalité avec 2,27 décès pour 100 000 habitants. Ce sont Ouargla (3,89), El Oued (2,93), Tamanrasset (2,88) et Ghardaïa (2,78) qui enregistrent la mortalité la plus importante de la région. La région Est regroupe plus du quart des décès, soit un taux de mortalité de 2,04 décès pour 100 000 habitants. Cinq wilayas déclarent des taux de mortalité plus élevés que celui de leur région : Sétif (4,12),M’Sila (2,78), Oum El Bouaghi (2,53), Annaba (2,27) et Constantine (2,17).La région Ouest enregistre le nombre le plus faible de décès (115) et le taux de mortalité le plus bas (1,32 décès pour 100 000 habitants). Les plus forts taux sont retrouvés à Sidi Bel Abbès (2,71), Tiaret (2,19), Tissemsilt (2,01) et Oran (1,46). Sur tout le territoire algérien, il n’y a que deux wilayas qui n’ont pas notifié un décès lié au COVID-19 depuis le début de l’épidémie à la fin du mois de février dernier. Il s’agit des wilayas de Illizi et Saïda. Mais il convient de noter qu’en Algérie, les décès sont enregistrés officiellement dans la catégorie du COVID-19 lorsqu’ils sont notifiés à la suite d’un test de dépistage PCR+. Or, en l’indisponibilité de tests de dépistage dans plusieurs régions en Algérie faussent malheureusement les statistiques officielles et les rend caduques par rapport à la réalité sanitaire du pays

Les Tahkout, Sellal et Ouyahia lourdement condamnésPar: S. L. 15 Juil. 2020 à 11:24Le tribunal de Sidi M’hamed à Alger a rendu ce mercredi 15 juillet son verdict dans le procès de l’affaire de l’homme d’affaires Mahieddine Tahkout.Le principal accusé, Mahieddine Tahkout, a été condamné à une peine de 16 ans de prison ferme, son fils Bilal à 7 ans, ses frères Hamid et Rachid à 7 ans également et son autre frère Nacer à 3 ans de prison.Les cinq prévenus devront en outre s’acquitter d’une amende de 8 millions DA chacun, avec saisie de tous leurs biens et de tous leurs comptes bancaires. Les sociétés de la famille, jugées en tant que personne morale, sont condamnées à une amende de 32 millions DA.Le tribunal a aussi prononcé de lourdes peines à l’encontre des anciens responsables impliqués. Ahmed Ouyahia et Abdelmalek Sellal, déjà condamnés dans de nombreuses autres affaires, ont écopé chacun de 10 ans de prison ferme, tandis que les anciens ministres Amar Ghoul et Youcef Yousfi ont été condamnés respectivement à 3 ans de prison ferme et à 2 ans dont une année ferme.L’autre ancien ministre Abdelghani Zaâlane est acquitté. Zaâlane avait déjà été acquitté en décembre 2019 dans une autre affaire, celle des usines d’assemblage de véhicules et du financement occulte de la campagne électorale de Abdelaziz Bouteflika. Enfin, Abdeslam Bouchouareb, en fuite? est condamné par contumace à 20 ans de prison. C’est la quatrième fois qu’il écope d’une telle peine.
Rationalisation des dépenses à la Sonatrach : les recommandations d’un expert algérien15-07-2020Le dernier Conseil des Ministres présidé par le président de Tebboune a été marqué par l’examen de la situation au niveau du groupe pétrolier algérien Sonatrach. Une situation peu reluisante et une stagnation manifeste depuis des décennies, liée à des schémas de production dépassés, ayant causé des pertes énormes, selon le président Tebboune. Ce dernier insistera sur ce plan, sur la nécessité de relancer des activités de prospection des réserves non exploitées à travers des études précises et documentées.Le fait nouveau et digne d’être pris en considération est cette exigence exprimée par le président Tebboune, concernant l’élaboration d’un audit profond au niveau de la Sonatrach pour évaluer son patrimoine et la nécessité d’opérer une rationalisation des dépenses.Le président Tebboune insistera, en cette occasion à la nécessité de réduire du nombre de ses représentations à l’étranger, la diminution des postes de responsabilités qui ne sont pas liés au rendement ou à la rentabilité de l’entreprise, et le passage d’une gestion qui date d’une époque révolue vers une comptabilité analytique saine.Sur ce registre, le président Tebboune mettra le doigt sur la plaie qui fait saigner Sonatrach, par certains courtiers et rentiers, qui ont par voie de conséquence, mis le fleuron industriel de l’Algérie sous leur tutelle.En vue de relancer le débat sur ce sujet, Algérie54 prendra contact avec l’expert algérien en énergie et en bourse, Nouredine Legheliel, qui de son côté saluera cette décision prise par le président Tebboune, qui arrivera en temps opportun pour rationaliser les dépenses du géant pétrolier algérien. Pour Nouredine Legheliel, le président Tebboune, est le second président algérien après le Feu Boumediene à prendre une telle décision allant dans le sens de préserver l’argent public.Pour rappel, Nouredine Legheliel avait à maintes reprises, via des médias nationaux appelé à l’élaboration d’un vaste plan d’épargne et de rationalisation des dépenses pour une période de trois ans.Le plan en question prévoyait de s’attaquer aux dépenses et plus particulièrement à celles qui sont en dehors de l’activité pétrolière amont et aval et lancer un audit sur certains contrats signés avec des entreprises privées et publiques sous-traitantes avec Sonatrach.Nouredine Legheliel propsera , le recours à un bureau d’audit financier international, comme Ernest & Young ou Pricewater, pour le contrôle et la certification de son rapport financier annuel.Sonatrach ne devrait plus être soumise aux impératifs politiques. Le rôle du gouvernement algérien est de percevoir sa fiscalité annuelle, suivre de très près l’évolution des résultats de cette entreprise et exiger performances et rentabilité financière. Par contre, le gouvernement devrait donner plus d’autonomie aux responsables de cette compagnie, une grande liberté pour les prises de décision et pour les initiatives individuelles de ses dirigeants, insiste notre interlocuteur.Pour lui, il est nécessaire de créer un bureau d’études stratégiques dont la mission serait de suivre de près l’évolution des cours du pétrole, du gaz naturel ainsi que le cours du dollar américain. Ce bureau devra fournir à Sonatrach un rapport mensuel contenant analyse et prévisions.la Sonatrach devrait suivre une strategie de Hedging du prix cad une couverture contre les risques des baisses des prix du baril de petrole . Le Mexique qui s est montré reticent á l accord survenu le 12 Avril entre les pays Opep et les pays non Opep avait dejas vendu son petrole á decouvert au Mois de Janvier 2020 avec un moyenne de prix de 49 dollars .Il faut lier l’augmentation du prix de l’essence à la pompe au taux d’inflation annuel, nous ne sommes plus dans les années 1960 ou 1970.L’expert algérien mettra l’accent sur l’impératif de créer un fonds pour encourager et faciliter le retour des cadres de Sonatrach partis travailler à l’étranger, car l’expertise de ces cadres est très précieuse en ces temps où Sonatrach paye le prix fort pour l’expertise des étrangers. Un conseil d’expertise regroupant les anciens PDG de Sonatrach et les anciens ministres de l’Energie serait souhaitable, préconise-t-il .Il faudrait aussi penser à créer une banque et une compagnie d’assurances. Les travailleurs de Sonatrach seront leurs premiers clients, en attendant que les services de ces deux institutions financières soient, par la suite, élargis au grand public.Il est préconisé, par ailleurs, l’établissement de liens de coopération avec une banque d’affaires de renommée mondiale. Une banque ayant un prestige et un poids sur les marchés financiers et pétroliers internationaux. Morgan Stanley, Goldman Sachs ou Deutsche Bank répondent à ce critère. Cette banque assistera Sonatrach dans ses transactions financières à l’étranger.Enfin, le directeur financier de Sonatrach devrait avoir des pouvoirs plus élargis. La première mission de ce directeur, c’est de fixer des objectifs à atteindre en matière de performance, en tenant compte, bien sûr, de la corrélation positive qui existe entre les bénéfices de Sonatrach et l’évolution des cours du Brent et du gaz.La stratégie classique consiste en une réévaluation totale des actifs de Sonatrach . Pour l année 2020 et á cause de la pandemie COV-19 il est necessaire de reduire les investissements ( les CAPEX ) chose que les majors du petrole ont dejas fait . Amélioration des ratios financiers de Sonatrach – à travers une rationalisation des dépenses.Il faut avoir le courage et la détermination nécessaires pour s’attaquer au résultat hors exploitation, qui est devenu avec le temps un vrai fardeau pour les résultats de Sonatrach, conclut Nouredine Legheliel
Plusieurs établissements de jeunes prochainement réceptionnés à Alger15-07-2020Trois établissements de jeunes ayant récemment fait l’objet d’un programme de réaménagement sous l’égide de la Direction de la jeunesse, des sports et des loisirs d’Alger seront réceptionnés le 20 août prochain à l’occasion du double anniversaire du 20 août 1955/1956, a appris l’APS. Il s’agit de la maison de jeunes de Bachdjerrah, de la maison de jeunes de Hassiba Ben Bouali à Belouizdad et de la maison de jeunes d’Aïn Benian.Une enveloppe de cinq milliards de centimes a été allouée à ces trois projets dans le cadre du Fonds de wilaya de promotion des initiatives de la jeunesse et des pratiques sportives.La Direction de la jeunesse, des sports et des loisirs prépare un autre programme pour la réhabilitation, dès septembre prochain, de 10 maisons de jeunes supplémentaires réparties sur plusieurs communes d’Alger, à l’instar de Rouiba, Mohammadia et El Madania.Par ailleurs, trois piscines semi olympiques seront réceptionnées avant la fin de l’année en cours dans les communes de Douéra, Aïn Taya et Réghaïa.La maison de jeunes virtuelle de la wilaya d’Alger dont les activités se poursuivent depuis le mois d’avril dernier jusqu’à ce jour compte 60 associations, 17 ligues de jeunesse et 70 établissements pour jeunes, 13.000 adhérents y sont inscrits et bénéficient de programmes encadrés par 80 animateurs dans divers domaines, à travers la présentation d’émissions et de rencontres interactives en direct.Le service des activités des jeunes auprès de cette direction prépare des journées de sensibilisation sur la protection des forêts des risques d’incendies, en collaboration avec la Ligue de Jeunesse pour la préservation de l’environnement (LJPE) et la direction des forêts et de la ceinture verte de la wilaya d’Alger. Des jeune se rendront dans certaines forêts de proximité, à l’instar de la forêt de Baïnem, de Oued Smar et de Bir Mourad Raïs pour appeler les citoyens à «faire preuve de responsabilité et à respecter les règles d’hygiène».R. S.

البنك الإفريقي للتنمية يعيّن الجزائري رباح أرزقي كبير الخبراء الاقتصاديين — النهار أونلاين
بقلم معين تيت
15-07-2020
عيّن البنك الإفريقي للتنمية، أمس الأربعاء، الدكتور رباح أرزقي في منصب كبير الخبراء الاقتصاديين ونائبا لرئيس قسم الحوكمة الاقتصادية وإدارة المعرفة.
وحسب وكالة الأنباء الجزائرية نقلا عن الصفحة الرسمية للمؤسسة الإفريقية في موقع “الفايسبوك”، فسيشغل الدكتور رباح أرزقي منصبه بدءًا من الفاتح أكتوبر 2020.ويشغل الدكتور رباح أرزقي منذ عام 2017، منصب كبير الخبراء الاقتصاديين لمنطقة الشرق الأوسط وشمال إفريقيا في البنك الدولي.
وقاد رباحي أرزقي عملية لتطوير مقاربة خاصة بالبنك تحت مسمى “مونشوت” للشرق الأوسط وإفريقيا، تمكّن من التحصل على اتصال كامل بالأنترنت وخدمات الدفع الرقمي.ونوّه البنك الإفريقي بخدمة رباح أرزقي قائلا:”لقد كان بطل الأجندة الخاصة بالمنافسة العادلة والبيانات الشفافة لتمكين الشباب في المنطقة وتحرير قدراته”.
للإشارة، فقد عمل الدكتور أرزقي في صندوق النقد الدولي من 2006 إلى 2017 كخبير اقتصادي، ثم رقيّ إلى منصب رئيس وحدة المنتوجات القاعدية والبيئة في قسم الأبحاث.كما قاد عملية صياغة وتنفيذ استجابة صندوق النقد الدولي السريعة للانهيار التاريخي لأسعار النفط الذي بدأ في عام 2014 وقدم مشورات للسلطات حول العالم بشأن سياسات التخفيف من المخاطر.ويعدّ رباح أرزقي أستاذا باحثا في مدرسة الحكومة “كينيدي” في جامعة “هارفارد” بأمريكا، وهو باحث مشارك في جامعة “أوكسفورد” ببريطانيا وباحث في شبكة البحث العالمية المستقلة “CESifo”.

الافسيو يثمن قرارات الانعاش الاقتصادي والاجتماعي
15-07-2020
أكد رئيس منتدى رؤساء المؤسسات محمد سامي عقلي ان القرارات المتضمنة في مخطط عمل الحكومة الرامي لانعاش الاقتصاد الوطني ستعود بالفائدة على الاقتصاد الوطني، مشيرا أنها كفيلة بإحداث حركية في دواليب الاقتصاد الوطني المتضرر من تراجع عائدات النفط وتفشي فيروس كورونا. واضاف المتحدث أن المنتدى لمس إرادة ورغبة لدى الحكومة لتنشيط الاقتصاد الوطني لافتا إلى أهمية النقطة المتعلقة بالتقليل التقليل من الاستيراد وترشيد النفقات. موضحا أن الوضعية الوبائية أظهرت أنه بدون اقتصاد متنوع وقوي لا يمكننا الصمود، مشيرا إلى أن أكثر من 90 بالمئة من النسيج الاقتصادي الجزائري هو عبارة عن مؤسسات ذات حجم صغير أو متوسط لا يمكنها من مواجهة أزمات مشابهة.
وفي سياق ذي صلة، إعتبر عقلي أن البيروقراطية تعد من النقاط السوداء التي تعيق تطور الاقتصاد الجزائري وأن منتدى رؤساء المؤسسات لمس إرادة لدى الحكومة لتجاوز هذه العقبة من أمام المستثمرين.
Cahier des charges de l’importation de voitures : Début de la fin de la crise15-07-2020
Algérie – Le président de l’Association des concessionnaires automobiles multimarques (ACAM), Youcef Nebbache, estime que la publication du cahier des charges de l’importation de voitures, ainsi que celui du montage automobile marque le commencement de la résolution de la crise.
Dans une déclaration au site web d’information de l’ENTV, Youcef Nebbache a affirmé que la décision de publier le cahier des charges qui encadrera le processus d’importation de voitures neuves
avant le 22 juillet courant, indique les prémisses d’une solution à la crise. Celle-ci a touché de nombreux postes d’emploi ; et a coûté cher au Trésor public.Le constat est pareil, selon les mêmes propos, quant au cahier des charges censé régir l’activité ; dans le secteur du montage automobile en Algérie. Lui aussi constitue un début qui permettra un nouveau départ. Ce dernier instaurera la rupture avec les mésaventures passées dans le secteur. C’est en tout cas ce l’on peut saisir des dires du premier responsable de l’ACAM.L’intervenant a assuré avec appui que la décision ci-dessus mentionnée serait une nouvelle occasion ; pour tous les concessionnaires du domaine de se relever à nouveau ; au sein du secteur automobile dans notre pays. La période traversée n’a pas été favorable à cette catégorie d’opérateurs économiques ; ni aux salariés qu’ils employaient ; ni encore au client qui, la majeure partie du temps, ne parvenait pas à être satisfait en la matière.
Cahier des charges du montage automobile : Aller vers une réelle fabrication nationale de voitures
Le cahier de charges vient donc après plusieurs mois de stagnation ; a noté Youcef Nebbache. Ce passage à vide a causé des soucis financiers ; à de nombreux concessionnaires automobiles nationaux. Cette récession a en outre renvoyé de nombreux jeunes au chômage. C’est un peu l’effet dominos qu’a provoqué le recul d’activités en question ; arrive-t-on à déduire des propos qu’on vient d’évoquer.Tout ce chamboulement a engendré le chaos sur le marché automobile algérien. Ce bouleversement né dudit chaos a par conséquent conduit à une hausse des prix des véhicules. Telle évolution malencontreuse des choses a grandement contribué à l’exacerbation du citoyen. Celui-ci a vu son pouvoir d’achat fléchir horriblement.Enfin, le président de l’Association nationale des concessionnaires automobiles multimarques a déclaré à la même source ; que la révision du cahier des charges pour l’assemblage des voitures est très avantageuse. Le montage automobile tiendrait compte du
taux d’intégration nationale. Il s’agit ainsi d’une occasion de construire une industrie mécanique forte. Une construction automobile qui garantira aux Algériens une voiture à un prix raisonnable. C’est sur ce que conclu l’orateur.