Source(s): El Moudjahid
Date de publication: 21/07/2020 | Auteur(s): Administrator | Tags: Divers | Visites: 11

الإتحاد الإفريقي يثني على الرئاسيات الجزائرية الأخيرة

الكاتب: عماد. د

21-07-2020

هنأ مجلس السلم والأمن للاتحاد الإفريقي عقب اجتماعه الـ935، الجزائر وجميع الدول الأعضاء، التي نجحت في تنظيم انتخابات رئاسية وتشريعية سلمية من سبتمبر 2019 إلى غاية جوان 2020.

وحسب وكالة الأنباء الجزائرية نقلا عن بيان اجتماع المجلس في “أديس أبابا”، فقد هنأ الاتحاد الإفريقي الدول الأعضاء التي نجحت في تنظيم انتخابات رئاسية وتشريعية سلمية من سبتمبر 2019 إلى جوان 2020.

وخصّ الاتحاد الإفريقي تهانيه الجزائر وبوتسوانا وبورندي والكاميرون وجزر القمر وغينيا وغينيا-بيساو ومالي ومالاوي وجزر موريس والموزمبيق وناميبيا والطوغو وتونس

وقد خصّص اجتماع مجلس السلم والأمن الذي عقد في 9 جويلية الجاري للانتخابات في إفريقيا خلال الفترة الممتدة بين سبتمبر إلى ديسمبر 2019 ومن جانفي إلى جوان 2020.

وثمّن الاتحاد الإفريقي المساهمة المعتبرة للانتخابات ذات المصداقية والحرة والنزيهة في الوقاية من النزاعات وتعزيز السلم وترقية وتعزيز الديمقراطية في إفريقيا في سياق تحقيق طموحات أجندة 2063 وخريطة الطريق الرئيسية للاتحاد الإفريقي حول الإجراءات العملية لإسكات الأسلحة في إفريقيا.

Réforme fiscale en Algérie : le bon constat établi, en attendant les actesPar: Ryad H. 21 Juil. 2020 L’Algérie veut  réformer sa fiscalité pour une meilleure équité dans le paiement des impôts. Le Premier ministre Abdelaziz Djerad pointe du doigt le secteur informel qui brasse des sommes colossales sans faire profiter l’État.Le Premier ministre Abdelaziz Djerad a plaidé hier lundi 20 juillet pour une meilleure équité dans le paiement des impôts. Intervenant aux assises nationales sur la réforme fiscale, Djerad a mis le doigt sur la plaie par laquelle saigne depuis des décennies l’économie nationale : le marché informel qui brasse des sommes colossales chaque année sans en faire profiter l’État.L’absence d’équité fait penser aux commerçants et industriels qui activent dans la légalité et qui non seulement doivent faire face à une concurrence déloyale de la sphère informelle mais supportent seuls toute la charge fiscale.Les mots utilisés par le Premier ministre à l’égard de la sphère informelle  sont forts : « un préjudice pour la conformité fiscale » ou encore « un obstacle à la bonne marche de l’économie nationale ». D’où la nécessité, selon lui d’ « un système fiscal en accord avec la nouvelle vision économique du pays ».Plusieurs économistes ont situé ces dernières années la part de l’informel dans l’économie nationale à des proportions très élevées, et en mai dernier, le président Abdelmadjid Tebboune avait placé la plaie dans une fourchette de 7 000 à 10 000 milliards Da.Les opérateurs économiques et les spécialistes qui n’ont eu de cesse de réclamer une lutte sérieuse contre la sphère informelle donc une meilleure justice fiscale, devraient croiser les doigts pour que les déclarations de Djerad ne restent pas au stade de professions de foi.La réforme fiscale et l’éradication de l’informel ont pris ces dernières années des allures d’Arlésienne : elle a été tant attendue sans jamais venir.Même quand elles sont confrontées à de mauvaises passes financières, les autorités ont toujours opté pour la facilité, en exerçant une pression supplémentaire sur l’assiette fiscale existante au lieu de l’élargir.Résultat : les opérateurs qui paient leurs impôts sont saignés et affaiblis, alors que le secteur informel continue de prospérer et de se renforcer, dans l’impunité totale.C’était le cas lors de l’élaboration de toutes les lois de finances de ces dernières années. Les impôts et taxes existants, donc aux mécanismes de perception bien huilés, sont plus faciles à majorer.Cette pression fiscale continue s’est abattue sur les salariés, dont les contributions sont retenues à la source, et les entreprises. Une étude de l’année 2017 du cabinet spécialisé (PwC) en partenariat avec la Banque mondiale avait conclu qu’en Algérie, entre taxes, impôts et charges sociales, l’entreprise était taxée à 65,6% (contre pour 60% en Tunisie, 49% au Maroc, 32% en Libye et une moyenne mondiale de 46,6%).Entre la fiscalité pétrolière et la fiscalité ordinaire faite des contributions chaque fois augmentées des entreprises et des travailleurs déclarés, l’État a trouvé son compte et on n’a pas assisté à de sérieuses tentatives d’élargir l’assiette pour trouver de nouvelles ressources.Les économistes concèdent qu’il n’est pas toujours facile de dénicher de nouvelles assiettes fiscales, mais dans le cas de l’Algérie la tâche ne devrait pas être insurmontable.Il s’agit de prélever la part de l’État sur une partie de 40 à 45% de son économie. À la fin de l’année passée, lorsque la nouvelle loi de finances prévoyait de soumettre les professions libérales au régime fiscal déclaratif au lieu de l’IFU (impôt forfaitaire unique), le président de l’ordre des médecins a eu ce cri de colère : « La fraude fiscale est ailleurs ».Maintenant que les plus hautes autorités du pays partagent le constat, il est attendu d’elles d’agir, et vite. Les principaux indicateurs ne sont pas au mieux, les perspectives peu rassurantes et le tissu économique légal est déjà suffisamment obéré pour supporter une pression fiscale supplémentaire.L’Algérie prévoit une chute de dix milliards de dollars de ses revenus pétroliersPar: Ali Idir 21 Juil. 2020 L’Algérie prévoit une chute de ses recettes en provenance des hydrocarbures de l’ordre de dix milliards de dollars en 2020, rapporte ce mardi l’agence Reuters qui cite le ministre de l’Énergie Abdelmadjid Attar.Le ministre a indiqué que les revenus provenant du pétrole et du gaz naturel devraient s’établir à 23 milliards de dollars en 2020, contre 33 milliards l’année auparavant, en 2019.M. Attar a également précisé que la nouvelle loi sur les hydrocarbures devrait être publiée avant septembre, ajoutant que les investisseurs internationaux attendaient sa mise en place avant de décider à venir ou non en Algérie.Le président Tebboune a affirmé ce dimanche que l’État est déterminé à réduire l’incidence des hydrocarbures sur l’économie nationale à 20 % d’ici fin 2021.« L’économie ne peut demeurer dépendante des hydrocarbures (…). Il est impératif de la libérer, de rechercher et d’explorer des ressources alternatives où la ressource humaine sera la base du véritable décollage de l’économie nationale », a-t-il soutenu.La mort suspecte d’Akram, un jeune algérien de 29 ans, fait trembler toute la Belgique21-07-2020Grande émotion en Belgique depuis lundi dernier à la suite de la mort dans des conditions très suspectes d’un jeune ressortissant algérien, appelé Akram, et âgé de 29 ans. Les médias et les réseaux sociaux belges parlent d’une bavure policière qui aurait été à l’origine de la mort du jeune Akram.  Une enquête a été ouverte sur les circonstances de ce ressortissant Algérien de 29 ans, transporté à l’hôpital après son interpellation dimanche en Belgique à Anvers, a indiqué la police et du parquet de la ville flamandeAkram, dont l’interpellation a été filmée et circule sur les réseaux sociaux, se comportait de façon agressive dans un café dimanche à la mi-journée, a déclaré à l’AFP un porte-parole de la police d’Anvers, Sven Lommaert. Selon ce porte-parole, il essayait de frapper des gens, était très agité. Quand les policiers sont arrivés sur place, ils ont constaté qu’il était blessé à la tête et semblait sous l’influence de produits stupéfiants, a-t-il dit.Les policiers ont maîtrisé l’homme, le mettant à terre et lui passant des menottes, et appelé les services de secours, qui sont arrivés une douzaine de minutes plus tard, a précisé le porte-parole. Quand ces services médicaux sont arrivés, l’homme ne réagissait plus, selon la même source. Les ambulanciers l’ont réanimé et transporté dans un état critique à l’hôpital, où malgré une intervention, il est décédé entre 21 h et 22 h, selon cette source. Le parquet belge a précisé avoir ouvert une enquête sur les circonstances exactes de l’arrestation et de la mort de cet homme, qui selon la police résidait à Bruxelles.Sur les images diffusées sur Twitter, un homme est vu allongé ventre au sol, maintenu par des policiers devant la terrasse d’un café. Elles sont souvent partagées avec le mot-clé « murderinantwerp » (meurtre à Anvers) et « justiceforAkram » (justice pour Akram), dans un contexte de sensibilité accrue de l’opinion publique à la suite de la mort en mai aux États-Unis, de George Floyd, un Noir mort asphyxié par un policier blanc lors de son arrestation.De son côté, l’ambassadeur d’Algérie à Bruxelles a réagi suite à la mort d’Akram après une intervention policière à Anvers. «Pour le moment, il est difficile de se prononcer sur l’intervention des agents de police ainsi que sur les conditions exactes dans lesquelles s’est déroulée l’arrestation de notre jeune compatriote Akram», a indiqué Amar Belani, dans une déclaration rendue publique lundi soir. “Une enquête judiciaire a été ouverte par le parquet pour déterminer les causes exactes du décès, ainsi que les circonstances dans lesquelles cette intervention policière est intervenue. Des contacts sont en cours avec le ministère public pour obtenir les premières informations officielles à ce sujet”, a ajouté l’ambassadeur d’Algérie en Belgique. “Bien entendu, nous suivrons de très près les développements de cette tragique affaire qui a fortement ému les membres de notre communauté et bien au-delà, car certains éléments doivent être clarifiés le plus tôt possible”, a-t-il souligné enfin.

بالصور.. النار تلتهم المرآب الرئيسي لمؤسّسة النقل الحضري”إيتوزا” بخروبة

2020/07/21

الكاتب: عماد الدين . د

تمكنت مصالح الحماية المدنية من إخماد حريق في المرآب الرئيسي لمؤسّسة النقل الحضري”إيتوزا” بخروبة بالجزائر العاصمة .وحسب مصادر مطلعة الحادث خلف احتراق حافلتين، فيما تم انقاذ 95 حافلة.

من جهتها، قامت مصالح الأمن بتطويق المكان، أين تم فتح تحقيق لمعرفة ملابسات الحادث.

Lotfi Nezzar et son épouse condamnés par contumace à six ans de prison ferme21-07-2020Lotfi Nezzar, fils du général en retraite Khaled Nezzar, (tous les deux en fuite à l’étranger) a été condamné par contumace à six (6) ans de prison ferme assortie d’une amende de 6 millions DA et d’un mandat d’arrêt international. Le verdict du procès a été rendu lundi par la chambre correctionnelle près le tribunal de Sidi M’hamed à Alger. Chahinez, l’épouse de Lotfi Nezzar (en fuite à l’étranger) a écopé de la même peine, rapporte le journal El Moudjahid.Jugés par le moyen de visio-conférence, plusieurs autres accusés en détention provisoire ont été condamnés dans le cadre de cette affaire dite « la Porsche Marcan ». Il s’agit, selon la même source, de « Djamel Ch., directeur des moyens généraux de la société SLC, dont le propriétaire est Lotfi Nezzar et qui a été condamné à 2 ans de prison ferme assortie d’une amende de 500 000 DA alors que Zohir B et Omar G, agents administratifs, ont écopé d’une peine de 18 mois de prison ferme et d’une amende de 100 000 DA. Ils sont poursuivis pour abus de fonction, faux et usage de faux ». Quant au policier Hakim Z, il a bénéficié de la relaxe.« Les faits remontent au 19 septembre dernier lorsque Djamel Ch. est interpellé à bord d’un véhicule de marque Porsche Marcan sur le Tariq Ibn Ziad au port d’Alger à destination de Marseille, soupçonné de tentative de transfert illégal de devises », rappelle le journal, ajoutant que lors de son audition, il déclare avoir été contacté par Lotfi Nezzar (en fuite) via WhatsApp pour récupérer le véhicule au nom de l’épouse de Lotfi, mais qui a été vendu à Djamel Ch., suite à la falsification de l’acte de vente par Omar G ».« Ce dernier a été mis en cause après « l’expertise AFIS menée par la police qui a permis l’identification de son empreinte sur le document ». L’enquête judiciaire a fait ressortir que le véhicule en question appartient à la société SPA SMART LINK COM SLC, qui fait l’objet d’une enquête liée au blanchiment d’argent », précise-t-on de même source.Poursuivis pour complot et atteinte à l’ordre public punis par les articles 77 et 78 du Code pénal et 284 du Code de la justice militaire. Lotfi Nezzar et son père ont été condamnés, le 25 Septembre dernier, à 20 ans de prison ferme par le tribunal militaire de Blida. Ils font objet d’un mandat d’arrêt international.