Date de publication: 26/07/2020 | Auteur(s): Administrator | Tags: Divers | Visites: 10

الجزائرية للأخبار
رسالة تهدئة قوية من مانويل ماكرون للجزائر - الجزائرية للأخبار
26-07-2020صباح فلوحيفسر  قرار الرئيس الفرنسي مانويل ماكرون بتعيين مؤرخ  معروف بالتعاطف مع القضايا  الجزائرية مسؤولا عن ملف الذاكرة  مع الجزائر  برسالة  التهدئة القوية  الموجهة من  فرنسا   الى الجزائر ، يأتي هذا بعد تقارب جزائري فرنسي  تميز بالإتصالات  بين الرئيس تبون و الرئيس ماكرون،  الإصرار الفرنسي على تلطيف الأجواء  مع الجزائر يبدوا مفوعا  بتطورات مهمة  في أكثر من صعيد بشكل خاص في ما يتعلق بالتقارب الصيني الجزائري،  و الوضع في ليبيا، الفرنسيون يدركون الآن أن  الجزائر بدات بالفعل في مغادرة  مربع النفوذ الفرنسي،  و هذا  يفسر تسارع الأحداث  منذ تسليم جماجم شهداء المقاومات الشعبية    .و كشفت وكالة الأنباء الفرنسية  في بيان لها    عن اتخاذ الرئيس الفرنسي “ايمانويل ماكرون”  قرار يقضي بتعين المؤرخ  “ستورا بنجامان” كمشرف حول ملف الذاكرة وحرب الجزائر ، وجاء هذا حسب قصر الاليزيه  لتحقيق المصالحة والمقاربة بين الشعبيين الفرنسي و الجزائري ، موضحاً أن هذه المهمة التي من المنتظر أن تظهر نتائجها مع نهاية العام الجاري  ستكون  لكشف الحقيقة من جهة ومن جهة اخرى كبداية لبناء علاقة مثمرة مبنية على الشراكة والتعاون وحسن التفاهم .
Laïcité, rempart contre les extrémismes
Samedi 25 juillet 2020 - 22:19
La laïcité est la séparation de la religion de l’État, excluant ainsi la religion de l'exercice du pouvoir politique ou administratif et garantissant une école publique laïque.
Dans les pays dits musulmans, cette laïcité est déclarée inadaptable et incompatible car l'islam est religion de paix, de tolérance et du pardon. Bizarrerie sémantique, inconséquence philosophique et contradiction religieuse!Belle argumentation sournoise pour refuser promptement, sans appel, un concept assurant la liberté de culte, la tolérance de la différence religieuse, le vivre-ensemble.Puisque l'islam est religion de paix, de tolérance et de pardon, pourquoi refuser alors une laïcité qui ne va que dans le sens de ce triptyque coranique: paix, tolérance et pardon?Une laïcité qui n'a pour finalité que de faire s'accepter des croyants de différentes religions dans le respect mutuel, assurant ainsi librement l'exercice de tout culte.Les religieux dans leurs différences, les non-religieux, les agnostiques se côtoieront dans la tolérance, dans l'entente et dans le respect total: à la limite, dans l'au-delà chacun répondra de ses faits et méfaits, dira la raison.Pourtant, lorsque la religion investit le champs politique, elle devient un instrument politico-religieux pour régenter la société selon le bon vouloir de ceux qui sont au pouvoir.Et ceci, c'est-à-dire ce totalitarisme, avec tous les interdits et les injustices qu'il fait subir, n'est pas inconnu de ceux qui crient que la laïcité est péché: curieusement, ils le combattent des années durant.Nous voilà dans le cœur du problème: combattre les conséquences en défendant les causes.En effet, lorsque la religion est celle de l’État, ce qui est inconcevable du fait qu'un État ne peut avoir une foi, la religion devient donc un pouvoir exercé par des personnes qui auront à appliquer les règles islamiques comme les conçoivent leurs orientations politico-économiques.Et c'est ainsi que l'islam deviendra un outil politique pour les causes des puissants plutôt que de rester dans sa sphère initiale, celle de rapproche l'humain de Dieu.Un redoutable outil politique pour interdire la différence, pour persécuter les libertés et diaboliser la pensée.Mais ceux qui disent que la laïcité est Kofr, péché, se sont-ils demandés pourquoi Dieu ne nous a pas créés tous croyants, tous musulmans?Comment déclarer qu'un pays est religieux alors que la foi est personnelle, alors que croire ou pas en dieu est une affaire individuelle, alors que dieu lui-même ne l'a pas fait depuis l'avènement des trois religions monolithiques.C'est bien simple, l'humanité a devancé toutes le religions.Les dictatures se sont servies de la religion pour s'imposer, pour sévir, et, pire encore, pour durer et s'éterniser.Les exemples sont nombreux: les régimes autoritaires, instables, injustes, despotiques sont des régimes qui ont inscrit la religion dans leurs constitutions.La laïcité libère et protège la religion, par voie de conséquence, elle libère et protège le citoyen.
POLITIQUE
Tribunal de Sidi M’hamed: Louisa Hanoune entendue par le Juge d’Instruction
26-07-2020La secrétaire général du parti des travailleurs, Louisa Hanoune, a été entendue ce dimanche par le juge d’instruction près le tribunal de Sidi M’hamed dans le cadre d’une affaire déclenchée par l’ancienne ministre de la Culture, Nadia Labidi.Interrogée, ce dimanche, à l’issue de sa comparution devant le juge d’instruction, Louisa Hanoune a indiqué que cette affaire remonte à 2015 et est liée à des déclarations faites dans le cadre de son activité parlementaires.Le secrétaire national chargé de l’information et de la communication du parti des travailleurs, Djelloul Djoudi, a également été convoqué par le tribunal de Sidi M’hamed dans le cadre de la même affaire.Ce dernier a été convoqué par le tribunal d’El Harrach pour le 23 juillet. Le juge a décidé de reporté l’affaire au 24 septembre prochain, selon le concerné qui était également présent ce dimanche devant le tribunal de Sidi M’hamed.Vendredi, le parti des travailleurs a indiqué que l’ancienne ministre de la Culture a porté plainte, contre les deux anciens députés, Louisa Hanoun et Djelloul Djoudi pour des déclarations évoquant “les conflits d’intérêts pour les membres du gouvernement”.L\\'Algérie sous la loupeDes Algériens rapatriés de France souffrent des effets psychologiques du confinement26-07-2020Plus de 200 ressortissants algériens rapatriés récemment à partir de la ville de Toulouse souffriraient des effets psychologiques de ce qu’ils ont vécu en France. C’est ce qu’a fait savoir Hayet Mammeri, directrice locale du tourisme et de l’artisanat et du travail familial de la wilaya de Mostaganem, où sont placés en quarantaine ces rapatriés. Les 222 Algériens rapatriés de Toulouse « se sont montrés plus affectés par ce qu’ils ont vécu durant les mois passés, où ils sont restés bloqués en France », a-t-elle déclaré.La directrice Hayet Mammeri indique que cette situation a impliqué l’intervention des autorités locales afin de garantir une prise en charge psychologiques aux rapatriés. Ces derniers seront suivis durant leur séjour en quatorzaine dans l’hôtel réquisitionné à cet effet. Ces ressortissants algériens ont mal vécu leur blocage en France.Il faut noter qu’une fois arrivés en Algérie, les citoyens rapatriés sont soumis à la procédure de confinement de deux semaines dans des établissements hôteliers réquisitionnés par l’Etat. Ils sont conduits vers ces hôtels, lieu de leur confinement pendant 14 jours. Cette mesure entre dans le cadre des dispositions préventives contre la propagation du coronavirus.En effet, l’Algérie applique les mesures de quarantaine pour les ressortissants ayant séjourné dans une zone de circulation du virus. On parle plutôt de « quatorzaine », la durée d’isolement étant fixée à 14 jours. Les rapatriés sont pris en charge et encadrés par une équipe médicale et des psychologues.Pour rappel, les autorités algériennes avaient décidé d’engager une opération de rapatriement des citoyens algériens qui se sont retrouvés coincés à l’étranger au lendemain de la suspension des liaisons aériennes et maritimes, au mois de mars, en raison de la pandémie de coronavirus.Les concernés ont pour la plupart atterri dans un pays étranger il y a cinq mois, soit juste avant le confinement. Ils se sont retrouvés bloqués sans aucune possibilité de rejoindre le pays.logoIDE : seulement 36% des Algériens souhaitent avoir davantage d’investissements chinois26-07-2020A travers l’initiative de la « Route de la soie » à laquelle 17 pays de la région MENA se sont joints, la Chine a sensiblement augmenté son influence politique et économique dans cette région du monde.Cet état de fait s’est amplifié depuis l’apparition de la pandémie Covid-19, qui a permis au « dragon » d’accroître le niveau des aides accordées à certains pays dont l’Algérie.Cette « ouverture » est synthétisée par une étude que présente la plateforme « Arab Barometer » sur le niveau d’influence du soft power chinois sur douze pays faisant partie de la région de référence. Vis-à-vis de ce panel, l’analyse indique que la moitié de la population de neufs pays est en faveur d’une « de relations économiques plus solides avec la Chine ».Cette ferveur se manifeste essentiellement en Jordanie (70%), pays qui n’a pas encore rejoint l’initiative chinoise. Plus de six pays sur dix sont également favorables à des liens économiques plus solides, notamment en Libye (63%)et au Soudan (62%), qui, comme la Jordanie, ont connu des défis économiques importants ces dernières années.En revanche, le soutien à des relations économiques plus étroites avec la Chine est plus faible au Liban (42%) où il existe de fortes divisions sectaires.Avec un score de 36 % et malgré la « lune de miel » que vivent actuellement Pékin et Alger, l’Algérie ne figure pas parmi les pays les plus enclins à un renforcement des liens avec la Chine. Arab Barometer explique ce faible score par « des soupçons importants concernant tout investissement étranger ».Les investissements chinois sont bien perçus chez les élites de la région MENA S’agissant des investissements chinois, l’enquête a montré que ce sont les élites de la région qui s’en félicitent le plus. Les titulaires d’un diplôme universitaire sont, en moyenne, nettement plus favorables à des relations économiques plus étroites avec la Chine que les titulaires d’un diplôme secondaire ou moins. Cette différence est plus palpable au Maroc (+18 points), en Tunisie (+16), en Algérie (+15), en Irak (+14) et en Égypte (+12).D’un point de vue « générationnel », les opinions à l’égard de la Chine ne diffèrent pas beaucoup d’une génération à l’autre en région MENA. Les personnes de moins de 35 ans et celles de 35 ans ou plus n’affichent pas de différences constantes quant aux opinions sur la Chine, indique le sondage.Par ailleurs, les citoyens de la région MENA sont également favorables à une assistance étrangère accrue. Dans neuf parmi les onze où la question a été posée, la moitié des personnes sondées ou plus disent que l’aide étrangère de la Chine devrait augmenter, y compris 73% des Jordaniens, 68% des Soudanais, 65% des Yéménites et 60% des Palestiniens. Sauf que ce constat s’applique nettement moins à Algérie où une certaine réticence vis-à-vis de la coopération avec la chine est exprimée à travers cette enquête, car (62%) des personnes interrogées ne veulent plus d’aide de la Chine.Encore une fois, la notion du soutien a tendance à être plus appréciée en milieu universitaire.La Chine, puissance mondiale la plus appréciée en région MENA Globalement, les résultats de l’enquête montrent que Chine demeure une puissance respectée et admirée par les populations de la région de référence. les citoyens étant plus ouverts à des liens plus solides avec Pékin qu’avec Washington ou Moscou. En moyenne, les habitants de la région MENA sont plus susceptibles (+13 points) de favoriser des relations économiques plus étroites avec la Chine que les États-Unis.La popularité de la Chine s’étend pratiquement à tous les pays étudiés, avec des préférences nettement plus élevées au Yémen (+30 points), en Libye (+26) , Koweït (+19), Tunisie (+17), Palestine (+18), Iraq (+16), Jordanie (+13) et Algérie (+12). Ce n’est qu’en Égypte que ce ton est moins exacerbé (-8 points), en raison d’une « américanisation » de la notion de la coopération avec les pays étrangers, chez les personnes sondées.En conclusion, Arab Barometer considère qu’ « il est clair que la Chine a une opportunité importante à saisir dans la région, en partie à cause de son rôle de puissance historique non coloniale et de son émergence relativement récente.
Croissance négative et pertes énormes pour les entreprises : l’économie algérienne dans le rouge
26-07-2020Rien ne va plus pour l’économie algérienne. Tous les clignotons virent au rouge. En effet, après le bilan de la crise sanitaire et son impact sur les entreprises annoncé, la semaine dernière par le ministre des finances, l’ONS vient de livrer un nouvel indicateur sur la situation générale du pays.Il s’agit de la croissance économique. En effet, indique la même source, l’Algérie a enregistré une croissance économique négative de -3,9% au 1er trimestre 2020, contre une croissance positive (+1,3%) à la même période de 2019.Selon l’ONS, cette baisse conséquente a été aggravée par la crise sanitaire mondiale (Covid-19). De plus, le taux de croissance du Produit intérieur brut (PIB) hors hydrocarbures, a été de -1,5% sur les trois premiers mois de l’année en cours, contre +3,6% à la même période de l’année précédente, indiquent les données provisoires de l’ONS.Le premier trimestre de 2020 a été caractérisé, selon la même source, par des accroissements négatifs, notamment dans les secteurs des hydrocarbures, les services marchands (les transports et communications, le commerce, les services fournis aux entreprises et aux ménages, ainsi que les hôtels-cafés-restaurants) et les services non marchands (les affaires immobilières, les services financiers et les administrations publiques).Selon la même source, le secteur des hydrocarbures arrive en tête des secteurs les plus touchés par cette récession. Il a connu une croissance négative de (-13,4%), contre (-7,1%) à la même période de l’année dernière. Les prix des hydrocarbures ont connu de leur côté une forte diminution de 16,9%, ce qui implique une baisse nominale de 28% de la valeur ajoutée du secteur contre une diminution de 8% à la même période de l’année précédente.Les services marchands, indique aussi l’ONS, ont enregistré pour la première fois une baisse de (-2,8%) contre une hausse de (+5,0%) durant la même période de comparaison. Cette baisse de croissance s’explique, essentiellement, par des baisses de la valeur ajoutée des différents sous-secteurs.Il s’agit, notamment, des transport et communications (-4,8% contre +5,3%), hôtels, cafés et restaurants (-2,7% contre +5,5%), commerce (-1,5% contre +4,8%) et enfin les services fournis aux ménages (-1,8% contre +3,8%). Cette tendance a caractérisé, aussi les services non marchands avec une baisse de croissance de (-1,6%) contre (+1,8%), détaille l’Office.Cette baisse est due principalement à une baisse de 2% de la valeur ajoutée des administrations publiques contre une hausse de 1,7%. Le secteur de l’Industrie a également enregistré une croissance négative de (-0,5%) au 1er trimestre 2020 contre une performance de 4,9% à la même période de 2019.A l’exception des industries agro-alimentaires et des industries divers, l’ensemble des sous-secteurs sont affectés par des évolutions négatives de croissance.