Algérie: Tebboune présidera, mardi, une séance de travail sur l’élaboration du plan de relance socioéconomique06-07-2020Le Président de la République, Abdelmadjid Tebboune présidera, mardi, une séance de travail regroupant le Premier ministre et les membres du Gouvernement concernés par l’élaboration du plan national de relance socioéconomique, a indiqué la Présidence de la République lundi dans un communiqué.Cette séance de travail sera également l’occasion de débattre de “tous les aspects de la nouvelle approche socioéconomique en prévision de sa présentation pour adoption lors du prochain Conseil des ministres”, a conclu la même source.
Amir Dz interpellé et auditionné au commissariat de Nanterre à Paris06-07-2020L’activiste algérien Amiz Dz exilé en France a été interpellé ce lundi matin à Paris par la police française. Il a été conduit vers 12 H 30 à la brigade centrale de répression de la criminalité informatique affiliée à la Police judiciaire française (BCRCI). Amir Dz se trouve depuis le début de cet après-midi au niveau des locaux de cette brigade spécialisée situés à Nanterre dans la banlieue parisienne. Selon nos sources, Amiz Dz alias Boukhors fait l’objet de 4 plaintes déposés dont deux plaintes ont été déposées par des résidents algériens établis en France. Ces plaintes concernent la diffusion de photos et images privées dégradantes sur les réseaux sociaux. il s’agit donc d’une affaire purement pénale où Amir Dz est accusé d’avoir attenté à la vie privée et porté un préjudice à l’intimité d’autrui.Il est à signaler que d’après
l’article 226-1 du Code pénal, cette atteinte est le fait au moyen d’un procédé quelconque, de porter atteinte à l’intimité de la vie privée d’autrui en captant, enregistrant ou transmettant, sans le consentement de leur auteur, des paroles prononcées à titre privé ou confidentiel ou en fixant, enregistrant ou transmettant, sans le consentement de celle-ci, l’image d’une personne se trouvant dans un lieu privé. Il s’agit d’un crime puni en France qui peut coûter une sanction d’un an de prison et une amende de 45 000 euros lorsque c’est l’intimité de la vie privée qui a été atteinte.Pour l’heure, nous ignorons encore si Amiz Dz sera maintenu en garde-à-vue, mais selon nos sources, le Facebooker algérien sera auditionné pendant plusieurs heures par les enquêteurs de la BCRCI.
Situation sanitaire et COVID-19 : à Biskra, des citoyens manifestent devant la direction de la Santé de la wilaya06-07-2020Des dizaines de citoyens en colère ont manifesté ce lundi matin devant la direction de la santé de la wilaya pour protester vigoureusement contre les défaillances irrationnelles des autorités sanitaires face à la pandémie du COVID-19 qui fait des ravages au sein de la population de cette wilaya située à plus de 400 KM au sud-est de la capitale Alger. Pénurie d’oxygène médical, pénurie de lits d’hôpitaux, pénurie de kits de dépistage PCR et même pénurie de cercueils ! A Biskra, la situation sanitaire est plus qu’alarmante, elle est devenue catastrophique au cours de ces 48 dernières heures. Les morts se succèdent et les autorités sanitaires de la wilaya sont aux abonnés absents. Ce lundi, des dizaines de citoyens ont tenu un rassemblement pacifique pour réclamer des comptes à la direction de la santé de la wilaya tout en clamant la démission de son principal directeur incapable de répondre aux besoins alimentaires des patients atteints de COVID-19. “Dans nos hôpitaux, il n’y a même pas d’eau fraiche ni de lits propres”, s’indignent les habitants en colère qui craignent le décès de nombreux malades à cause des conditions catastrophiques d’hébergement dans les unités COVID-19 de leur wilaya en pleine canicule suffocante où les températures dépassent aisément les 42e degrés la journée.A Hakim-Saâdane, l’hôpital de référence de Biskra, plusieurs médecins et infirmiers contaminés au COVID-19 ont été mis en congé désertant ainsi le travail et laissant leurs collègues en infériorité face au nombre croissant des cas contaminés et souffrant quotidiennement des syndromes du COVID-19. Sur les 33 communes que compte la wilaya de Biskra, 20 sont touchées par l’épidémie et une dizaine de morts ont été déplorés depuis le début du mois de juin. Or, une déferlante vague de contamination a commencé depuis le début du mois de juillet faisant craindre des ravages au sein de cette région fragile et dépourvue d’infrastructures sanitaires dignes de ce nom.
Urgent : le dossier de Khaled Drareni transféré au tribunal correctionnel06-07-2020Le dossier du journaliste Khaled Drareni a été transféré ce lundi 06 juillet 2020 au tribunal correctionnel, ont annoncé des avocats. « Son procès sera programmé courant juillet » a estimé sa défense. Le journaliste est poursuivi pour « incitation à un rassemblement non armé » et « atteinte à l’unité nationale ». Il a été arrêté samedi 07 mars dernier alors qu’il couvrait une manifestation populaire à Alger.Il a été libéré et placé sous contrôle judiciaire le 10 mars après avoir passé trois nuits en grade-à-vue. Mais le 29 mars dernier, le tribunal de Sidi M’hamed a annulé la procédure du contrôle judiciaire et l’a mis sous mandat de dépôt.Notons, par ailleurs, que Samir Belarbi et Slimane Hamitouche, dont les affaires font partie du même dossier celui de que Khaled Drareni, ont été relâchés le 02 juillet par le tribunal de Sidi M’hemed, en attendant la date de leurs procès respectifs.
France : L’extrême droite s’en prend de nouveau à l’Algérie et au FLN06-07-2020Le délégué national du Rassemblement national, Jean Messiha, s’est attaqué avec virulence à l’Algérie et au Front de libération nationale, à l’occasion du 58e anniversaire de l’indépendance du pays. Le membre du parti de l’extrême droite française a accusé les combattants du FLN d’avoir commis des crimes contre l’humanité. Dans un tweet posté sur son compte officiel, le député d’origine égyptienne a également ironisé sur les ressortissants algériens établis en France.Jean Messiha, de son vrai nom Hossam Boutros-Messiha, a écrit à l’occasion de la Fête de l’indépendance de l’Algérie : « Le 5 juillet 1962 après une guerre où le FLN a multiplié les crimes contre l’Humanité, l’
Algérie devenait indépendante. Premier réflexe de millions d’Algériens ? Rejoindre leur ancienne métropole au lieu de rester bâtir leur pays. Après le divorce, la France a la garde des enfants ».Le
#5juillet1962 après une guerre où le
#FLN a multiplié les crimes contre l’Humanité,
#Algerie devenait indépendante.Premier réflexe de millions d’Algériens ?Rejoindre leur ancienne métropole au lieu de rester bâtir leur pays.Après le divorce, la France a la garde des enfantsCe n’est pas la première fois que l’extrême droite s’en prend à l’Algérie. La présidente du RN,
Marine Le Pen, s’est maintes fois attaquée à l’Algérie, appelant notamment à suspendre l’immigration en provenance de ce pays. La présidente du RN se sert souvent de l’actualité algérienne pour ses fins politiques.Cette année, l’Algérie a célébré sa Fête d’indépendance par l’enterrement solennel et officiel de 24 crânes de ses tout premiers résistants, tués au début de la colonisation française, au XIXe siècle. La restitution des restes humains par la
France a détendu les relations entre l’Algérie et l’ancienne puissance coloniale, marquées depuis l’indépendance, en 1962, par des polémiques récurrentes et des crispations.La question mémorielle reste au cœur des relations volatiles entre la
France et l’Algérie, alors que la France peine à solder son passé colonial.
#AlgerieLe Président Abdelmadjid Tebboune
@ALG_Presidency attend des « excuses » de la
#France.Nous aussi on attend des excuses pour les crimes affreux du
#FLN et des remerciements pour tout ce que la France a fait pour que l’Algérie sorte du Moyen-Age.
https://t.co/enRv73oBWgL’Algérie veut des excuses officielles de la France
L’Algérie demande toujours des excuses officielles de
Paris pour tourner la page du passé colonial et apaiser les relations conflictuelles entre les deux pays. Le président algérien,
Abdelmadjid Tebboune, avait dit, samedi, attendre des excuses de la France pour la colonisation de l’Algérie, estimant que son homologue Emmanuel Macron peut « apaiser la situation ».Abdelmadjid Tebboune avait déclaré : « On a déjà reçu des demi-excuses. Il faut faire un autre pas. On le souhaite ». Et d’ajouter, « Cela va permettre d’apaiser le climat et le rendre plus serein pour des relations économiques, pour des relations culturelles, pour des relations de voisinage », rappelant que plus de six millions d’Algériens vivent en France et qu’ils « peuvent emmener quelque chose là-bas et ici ».Le chef de l’Etat algérien estime « qu’avec le président
Emmanuel Macron, nous pouvons aller loin dans l’apaisement, dans le règlement du problème de la mémoire ». « C’est quelqu’un de très honnête, qui veut apaiser la situation (…) et permettre à nos relations de retrouver leur niveau naturel », a-t-il poursuivi, qualifiant le président français de « très sincère », « très propre du point de vue historique ».Pour rappel, lors d’une visite à
Alger en décembre 2017, le président français Emmanuel Macron s’était engagé à restituer les restes humains algériens entreposés au
Musée de l’Homme. Avant son élection à la tête de la République française, il avait qualifié, à Alger, la colonisation de l’Algérie de « crime contre l’humanité ».

توقيف المدير والطبيب المناوب بمستشفى وهران بعد حادث تبديل جثتين عن طريق الخطأ — النهار أونلاين
بقلم نسرين محفوف
06-07-2020
تم اليوم الاثنين، توقيف المدير والطبيب المناوب بمستشفى وهران، بعد حادث تبديل جثتين عن طريق الخطأ.
وجاء في بيان المستشفى، أنه تبعا للحادثة التي وقعت على مستوى مصلحة الطب الشرعي، والتي تم فيها تبديل جثتين عن طريق الخطأ بسبب الضغط الرهيب الذي تعيشه المؤسسة ومستخدميها الناجم عن تفشي جائحة كورونا عبر مختلف ربوع الوطن عامة والولاية خاصة.
وقد قررت إدارة المستشفى اتخاذ اجراءات ردعية، تتمثل في التوقيف التحفظي لمدير المناوبة والطبيب المناوب على مستوى مصلحة الطب الشرعي وعاملين بمصلحة حفظ الجثث.
وأشار بيان المستشفى أن الاجراء سيكون ساري المفعول ابتداء من اليوم الى غاية مثول المعنيين أمام اللجنة التأديبية.

L’ONS confirme : importante baisse de la production des hydrocarbures depuis le début de la pandémie du COVID-1906-07-2020Les révélations rapportées par Algérie Part ont été confirmées par l’Office National des Statistiques (ONS), l’organe officiel des statistiques en Algérie et affilié au ministère des Finances. Ainsi, l’ONS, dans son dernier rapport trimestrielle sur la production industrielle, a confirmé que durant le 1er trimestre 2020, le secteur de l’énergie a observé une baisse de 1,2% par rapport à la même période de l’année dernière, a indiqué l’ONS.Les Hydrocarbures ont reculé de 3,3%. Ce repli de la production s’explique, essentiellement, par une baisse de 3,9% de la branche “pétrole brut et gaz naturel” et une chute de 11,9% de celle de “liquéfaction du gaz naturel”, a expliqué ainsi l’ONS dans son dernier rapport. Ces données ne concernent que les mois de janvier, février et mars. En réalité, ces chutes dans le secteur des hydrocarbures sont beaucoup plus importantes depuis les mois d’avril et mai derniers, période durant laquelle la pandémie du COVID-19 a fortement impacté la situation économique en Algérie. Il faudra attendre le rapport de l’ONS sur le deuxième trimestre de l’année 2020 pour mesurer exactement l’ampleur de cette chute dans l’exploitation des hydrocarbures en Algérie.Néanmoins, d’autres secteurs ont connu des chutes encore plus vertigineuse à l’image des l’exploitation des mines où une baisse de production de 4,8% a été relevée par l’ONS. Cette tendance est perceptible, notamment au niveau des branches de l'”extraction de la pierre argile et sable” (-1,7%), l’extraction du sel (-10,7%) et celle du minerai de phosphates (-25,1%). Plusieurs autres secteurs ont subi des chutes inquiétantes de leur production. Nous y reviendrons dans une prochaine publication.Rappelons enfin que la rédaction d’Algérie Part avait révélé récemment que la production pétrolière a connu une chute historique entre le 26 juin et le 1er juillet. L’Algérie a produit à peine 700 mille barils de pétrole par jour. C’est la chute la plus brutale de toute l’histoire pétrolière de l’Algérie. Il faudra revenir jusqu’à 1966, soit 4 années après l’Indépendance du pays, pour retrouver de tels seuils de production, à savoir 763 mille barils par jour. C’est vous dire toute l’ampleur dramatique de cette chute historique de la production pétrolière par jour pour l’Algérie et notamment la Sonatrach.Selon nos investigations, en adéquation avec l’accord historique pour réduire la production des Etats membres de l’Opep + de près de 10 millions de barils par jour depuis le 1er mai, l’Algérie devait produire 820 mille barils de pétrole par jour. Mais en raison des divers problèmes de mauvaise gestion du pôle production et exploration de Sonatrach, cet objectif n’a jamais été atteint depuis l’arrivée de Toufik Hakkar à la tête de Sonatrach, à savoir au début du mois de février 2020.
Sonatrach: Grave détérioration des performances productives06-07-2020Le renouvellement des réserves et l’accroissement de la production de pétrole et de gaz naturel sont au centre des préoccupations du groupe Sonatrach qui craint de ne plus pouvoir tenir ses engagements commerciaux.Les premiers signes de déclin de la production de pétrole avaient commencé à poindre avec le recul de la production constatée en 2010 et qui s’est graduellement poursuivie les années suivantes pour tomber en mai 2020 à, à peine 720.000 baril/jour, soit le plus bas niveau enregistré depuis l’indépendance du pays. Pour information, Sonatrach produisait dans les années 70 et 80 plus de 1,4 millions de baril/jour en moyenne.Elle en produisait légèrement plus, durant la décennie noire (1,5 millions) et avait atteint des pics de production de 1,8 à 2 millions de barils/jour de 2005 à 2010 avant de commencer à décliner progressivement pour atteindre les niveaux exagérément bas de ces deux dernières années. L’année 2010 correspond au commencement des enquêtes sur de présumées affaires de corruption au sein du groupe Sonatrach qui connaitront leur apogée entre 2015 et 2017 avec les « affaires Sonatrach 1 et 2 » qui défrayeront la chronique plusieurs années durant et dont une partie de l’action judiciaire se poursuit aujourd’hui encore en Italie avec l’affaire Sonatrach-ENI.La chute de la production aggravée par une surconsommation intérieure, laisse de moins en moins de place aux exportations, au grand dam des acheteurs étrangers qui s’en plaignent en cherchant sans doute d’autres fournisseurs capables de les satisfaire. En appliquant la réduction des quotas de production (20%) imposée par l’OPEP à l’issue de sa réunion d’avril dernier et en tenant compte des quantités consommées localement (environ 40%), il ne reste effectivement pas grand-chose à exporter.La situation tourne véritablement au drame quand on sait que ces quantités résiduelles seront vendues à des prix qui n’excèdent guère 40 dollars le baril depuis le début de l’année en cours. A la Sonatrach on estime les pertes engendrées par ce déclin de la production de pétrole entre 5 et 6 millions de dollars par jour.Il y a donc vraiment de quoi s’inquiéter de cette baisse des performances productives et commerciales de notre industrie pétrolière qui intervient en pleine crise financière qui a, comme on le sait, porté un rude coup aux finances publiques, mais aussi et surtout, en pleine crise de gouvernance qui affecte le groupe Sonatrach devenu le terrain d’âpres luttes de leadership au sommet de sa hiérarchie. Une lutte qui s’est matérialisée par une valse de Présidents (5 PDG en l’espace en 2 années) et de vice présidents (les staffs ont été changés plusieurs fois) qui bloque toute dynamique de redressement.Pour redresser ses courbes d’exploration et d’exploitation qui déclinent de façon inquiétante, le groupe Sonatrach est effectivement obligé de découvrir et exploiter le plus rapidement possible, de nouveaux gisements d’hydrocarbures d’origine fossile et se lancer tout aussi vite, dans les énergies renouvelables qui viendront en appoint au conséquent déclin des énergies conventionnelles.Mais il ne faudra pas se faire d’illusions sur la capacité de remplacement à court et moyen termes des quantités manquantes, au moyen des énergies renouvelables. Les énergies fossiles conventionnelles continueront longtemps encore à constituer l’essentiel du potentiel énergétique algérien, car en dépit des prévisions d’une production additionnelle équivalente à 300 milliard M3 de gaz naturel et 300.000 barils/jour de pétrole que le solaire et l’éolien pourraient fournir à l’horizon 2030, l’essentiel de la production d’énergie continuera à provenir des hydrocarbures fossiles, qui en ont encore pour au minimum une vingtaine d’années.L’Algérie n’a donc pas d’autres choix que de poursuivre et accroître son programme d’exploration et d’exploitation pétrolières (pétrole et gaz de schistes y compris) pour mettre ces réserves exportables à la hauteur de ses engagements commerciaux. A défaut l’Algérie pourrait perdre, non seulement, ses clients mais, plus grave encore, son titre de pays pétrolier. L’investissement dans de nouveaux gisements vaut la chandelle car les experts estiment les réserves de pétrole techniquement récupérables sur ces nouveaux sites entre 4 et 5 millions de barils/jour, ce qui n’est pas négligeable. Mais pour ce faire il faudrait que le groupe Sonatrach soit doté d’une direction compétente et stable, en mesure d’engager des actions de redressement à tous les niveaux d’activités frappés de régression, depuis que la direction de compagnie fut confiée à des dirigeants qui n’avaient pas les compétences requises pour gérer une aussi importante compagnie.En dépit du caractère urgent de ses engagements commerciaux en matière de pétrole, le groupe Sonatrach ne devrait pas s’astreindre au seul développement de l’amont pétrolier, car l’aval est tout aussi déterminent pour l’avenir énergétique du pays. Les 4 projets de raffineries en cours, celle d’Augusta (Sud de l’Italie) récemment achetée à une firme américaine mais qui pour diverses raisons ne fonctionne toujours pas, les complexes de déshydrogénation du propane, de production de polypropylène et de méthanol d’Arzew, l’usine d’acide téréphtalique purifié et de polyéthylène téréphtalate de Skikda, le complexe de production d’éthylène dans la même zone, ainsi que le complexe de production de pneumatiques de Bouira devraient constituer des priorités managériales pour le Groupe Sonatrach qui, comme on le constate, a plus que jamais besoin d’être bien encadré pour enfin retrouver la stabilité et la compétitivité qui lui font actuellement défaut.
L’ANCA exige la réouverture de 50.000 restaurants et cafétérias06-07-2020L’Association nationale des commerçants et artisans (ANCA) a appelé, ce lundi 6 juillet 2020, à la réouverture de plus de 50.000 cafétérias et restaurants fermés depuis quatre mois, en raison de la propagation du coronavirus en Algérie.Dans un communiqué publié sur sa page Facebook, l’association qui s’est réunie aujourd’hui avec les représentants des propriétaires de cafétérias et des restaurants, exgige le retour à l’activité de ces commerces, dans le strict respect des mesures de prévention comme le port obligatoire du masque et de la distanciation sociale.Dans ce contexte, l’ANCA a mis en avant les dommages économiques subis par ces commerçants, notamment l’interruption de leurs sources de revenus et des moyens de subsistance de leurs salariés, les dettes locatives résultant d’une fermeture qui a duré plus de quatre mois – frais d’impôts, frais, etc.A cela viennent s’ajouter les effets négatifs sociaux et économiques comme le chômage, précise l’association, dans le même communiqué.