
Laghouat : un directeur d’hôpital décède du Covid-19Par:Rédaction12 Juil. 2020à 15:34Le directeur de l’hôpital mère et enfant de Laghouat Yazid Yousfi est décédé ce dimanche après avoir été infecté au coronavirus Covid-19, rapporte l’ENTV.Le défunt avait été transféré au service de réanimation de l’établissement hospitalier Hmida Ben Adjila dans la même ville il y a quatre jours, après avoir été confirmé positif au coronavirus.Le défunt était âgé de 59 ans et était diabétique, selon la même source.

Exclusif. Le Qatar s’apprête à débloquer 2 millions d’euros pour financer les relais médiatiques du Hirak
Skander Salhi-14:10 – juillet 12, 2020

Affaibli par une crise sanitaire qu’il peine à gérer, le régime algérien fera l’objet prochainement d’une campagne médiatique d’une rare violence. En effet, le Qatar s’apprête à débloquer en toute urgence deux millions d’euros pour financer des tournages et toute une rédaction à Paris appartenant à El-Magharibia d’Oussama Madani, le fils d’Abassi Madani, l’ex-leader du FIS mort le 24 avril 2019. Le Qatar a accepté de sortir le chéquier pour secourir le média d’Oussama Madani qui est totalement étouffé en France où les autorités françaises ont resserré l’étau afin de contraindre El Magharibia de quitter la France.Nous avons effectivement appris que les enquêteurs des Unions de Recouvrement des cotisations de Sécurité Sociale et d’Allocations Familiales sont des organismes privés chargés d’une mission de service public (URSSAF) ont débusqué de nombreuses irrégularités au sein d’El Magharibia à Paris avec le recrutement illicite de plusieurs employés sans s’acquitter de leurs déclarations sociales. Pour se faire plus discrète, El Maghariba s’est transformée en Awrass TV afin de pas éveiller la colère des autorités françaises qui ne voient pas du tout d’un bon oeil le développement des réseaux d’influence de l’ex-FIS algérien en France.A la suite des difficultés avec l’URSSAF, la télévision d’Oussama Madani risque d’être contrainte de quitter prochainement ses studios et locaux à Saint-Denis pour se réimplanter sous une autre forme entité afin d’échapper aux mailles du filet des autorités françaises. Or, pour ce faire, il lui faudra un nouveau budget conséquent que les deux millions du Qatar vont couvrir aisément.Selon nos sources, la monarchie du Qatar ne veut toujours pas abandonner ses protégés les héritiers d’Abassi Madani en raison des liens d’amitié qui unissaient l’ex-leader du FIS avec le père de l’ancien Emir du Qatar, le Cheikh Hamad ben Khalifa Al Thani. La monarchie qatarie veut toujours utiliser les anciens du FIS algérien son principal instrument de pression et de frappe diplomatique en Algérie, un pays avec lequel les relations sont plus au moins tendues depuis l’arrivée de Tebboune au pouvoir.Les relais médiatiques de l’ex-FIS veulent frapper les esprits et entretenir leur influence sur un Hirak moribond en ce moment avec les dégâts sanitaires de la pandémie du COVID-19. Mais les autorités françaises sont aux aguets et ne semblent pas vouloir leur permettre de s’épanouir facilement sur le territoire français.
LeD.G de la Radio Algérienne : la journée d’information sur le Covid-19 est une action de sensibilisation citoyenne12-07-2020«Nous sommes présents depuis l’annonce de la pandémie en Algérie en tant que vecteur d’information et de sensibilisation contre le Covid-19», a déclaré, dimanche, le D.G de la Radio Algérienne M. Djamel Senhadri.Intervenant au journal parlé, de 8 heures,de la chaine 1, à l’occasion du lancement de la journée ouverte sur le Covid-19, M. Senhadri a assuré que la Radio nationale demeure un levier sur le terrain au titre d’outil d’information et de suivi de l’évolution de la pandémie dans tous les secteurs d’activité et rester à l’écoute de la société à ce sujet».Dans cette optique, l’orateur assure qu’il a été décidé, ce dimanche, une journée ouverte d’information sur les ondes de toutes les chaines de la Radio nationale pour rappeler encore une fois par un langage simple et explicatif le danger de la propagation de la pandémie du Covid-19 et communiquer les moyens de s’y prémunir afin de stopper son progrès conformément aux instructions du président de la République quant au rôle de la Radio nationale.M. Senhadri a souligné que cette journée s’inscrit dans un plan d’action et d’accompagnement qui profite aux citoyens pour mieux comprendre les risques qu’ils encourent et leur rappeler continuellement les barrières préventives autant qu’il est nécessaire et cela suite à ce relâchement général et généralisé observé ces dernières semaines à travers toutes les wilayas alors que les chiffres alertent d’une menace réelle en perspective.L’orateur souligne que «même s’il y a des morts, à déplorer, il ne faut pas verser dans le catastrophisme et poursuivre parallèlement le travail qui est le notre: suivre, rapporter et informer afin de rester vigilants et alertes contre ce mal invisible maisvirulent.»

Faouzi Derrar : "le Covid-19 a subi une mutation génétique" - Algerie360
12-07-2020
Le Directeur de l’institut Pasteur à Alger, Faouzi Derrar estimé que la transmission du virus du Covid-19 est devenue plus rapide. Chose constatée au cours des derniers jours.
Cette vitesse de transmission du Covid-19, constatée ces derniers jours, revient selon Derrar au fait d’une mutation génétique du virus. D’ailleurs, le virus se transmet plus rapidement par rapport aux premiers jours de son apparition, a-t-il estimé dans une déclaration à la télévision nationale.Le Directeur de l’Institut Pasteur ajoute que l’Organisation Mondiale de la santé (OMS) avait, annoncé dernièrement,
la possibilité de transmission du virus par l’air, et sa capacité à y rester plus longtemps.Avec ces nouvelles révélations, le respect des mesures de prévention notamment le port du masque, est devenu désormais, plus que jamais indispensable, selon le même responsable.

Le FFS remet sur le tapis le projet de « reconstruction du consensus national »Par:Ryad Hamadi12 Juil. 2020à 14:36Le FFS a décidé de remette sur le tapis le projet de la «reconstruction du consensus national», qui a été abandonné par l’ancienne instance présidentielle au profit du Pacte de l’alternative démocratique (PAD).«L’instance présidentielle remettra au centre de notre action les résolutions du 5e congrès qui s’imposent à tous jusqu’au 6e congrès, notamment la reconstruction du consensus national», note un communiqué de la nouvelle instance présidentielle élue vendredi à l’issue de la tenue du congrès extraordinaire du parti.« L’Instance présidentielle tient à réaffirmer que le FFS est toujours ouvert à un dialogue sincère, transparent et inclusif avec tous les acteurs politiques et de la société civile sans exclusive, pour le règlement de la crise nationale multidimensionnelle», précise le texte.Cheval de bataille du parti depuis le cinquième congrès tenu en 2013, l’idée de la reconstruction du consensus national s’est heurtée à plusieurs obstacles et n’a pas pu aboutir.L’un des membres de l’ancienne instance présidentielle, Ali Laskri en l’occurrence, avait accusé un moment le pouvoir d’avoir entravé cette démarche du parti.Et dans la foulée du mouvement populaire, le FFS a décidé de rejoindre le PAD, ce qui n’a pas manqué de provoquer des divergences et des divisions au sein du parti.Outre la reconstruction du consensus national, la nouvelle direction se fixe comme objectif de rassembler le parti en perspective du congrès ordinaire qui aura lieu en 2021.«Nous mesurons la responsabilité qui est la nôtre dans un moment décisif de l’histoire de notre pays», affirme l’instance présidentielle, en affirmant sa «détermination à poursuivre cette dynamique de rassemblement dans la préparation du prochain congrès national ordinaire unitaire car le parti n’est fort que lorsqu’il est uni et que la démarche inclusive est l’unique voie pour rassembler le parti».
Plusde 1,5 million d’Algériens risquent de perdre leurs emplois : face à la pandémie, l’Algérie risque de ne pas tenir économiquement12-07-2020Au-delà du danger sanitaire, la pandémie du COVID-19 va provoquer des dégâts économiques majeurs en Algérie. De nombreuses entreprises algériennes ne peuvent d’ores et déjà plus résister à 4 mois de blocages des activités économiques. Plusieurs de ses entreprises ont commencé à “libérer leurs employés” à cause de l’asphyxie financière dont elles sont victimes. En 2020, il est prévu que le taux de chômage augmente en Algérie jusqu’à 13,7 %. Cela signifie concrètement qu’il y aura plus de 1.5 million de chômeurs en Algérie.U
ne étude de la Banque africaine de développement (BAD) publiée le 6 juillet 2020 tire la sonnette d’alarme et explique que l’Algérie fait partie des pays qui souffriront davantage des conséquences économiques de la paralysie provoquée par la pandémie du COVID-19. Le rapport de la principale institution financière africaine explique que l’Algérie accusera une récession qui peut aller de -4,4% à -5,4%. Cela signifie que notre pays va perdre plusieurs milliards de dollars puisque le Produit Intérieur Brut (PIB) de l’Algérie va continuer à chuter alors qu’il est en baisse depuis 2014.En effet, il faut savoir qu’en 2014, le PIB de l’Algérie dépassait les 213 milliards de dollars. Depuis 2019, il est d’à peine 169 milliards de dollars. Notre pays va donc s’appauvrir davantage en 2020 à cause de la pandémie du COVID-19. Et pour cause, une récession économique de 5 % pour l’Algérie signifie une perte sèche de deux années de travail pour notre pays qui enregistrait avant la pandémie du COVID-19 un taux de croissance moyen de 2 à 2,5 %. La perte sèche pour l’Algérie est évaluée à au moins 8.5 milliards de dollars. Des pertes considérables qui se rajoutent aux reculs des exportations en devises des hydrocarbures du pays puisque elles ont été durement touchées par le ralentissement de l’activité mondiale. Ces chutes des revenus en devises aggraveront les déséquilibres financiers de l’Etat algérien.Mais le pire à craindre est la perte des emplois pour les travailleurs algériens car au-delà des personnes qui sont en chômage depuis une longue durée, les salariés des entreprises qui réduiront leurs activités à cause de la récession économique du pays seront les premières victimes de la crise du COVID-19. Il y a officiellement 11 millions de travailleurs en Algérie. A ceux-là, il faut ajouter les algériens qui travaillent dans le secteur et marché informel et qui sont estimés à prés de 4 millions de personnes. Ce qui nous fait une masse de travailleurs estimée à 15 millions de personnes. Avec une récession économique de 5 %, cela signifie qu’au moins 1,5 million de travailleurs algériens risquent de perdre leurs emplois. C’est une véritable catastrophe sociale qui s’annonce donc en Algérie. Mais le gouvernement algérien ne semble prendre conscience de l’ampleur du danger pour la stabilité du pays.“L’économie algérienne continuera à être dépendante et vulnérable aux prix du pétrole et du gaz (96 % des recettes des exportations en 2017). La remontée du prix du baril observée depuis 2018 (à environ 70 US d) ne permet pas d’atteindre l’équilibre budgétaire (selon l’analyse faite par le FMI en 2017, il faudrait un baril à 90US d). Une nouvelle chute des prix du baril n’est pas à exclure du fait de la production américaine qui tend à augmenter”, note à ce propos la BAD dans ses Perspectives économiques en Afrique pour l’année 2020.“L’activité économique en 2019 et 2020 sera freinée par la forte baisse des dépenses publiques d’investissement et l’incertitude politique. À court terme, le principal défi est de continuer à assurer la stabilité des prix et faire face aux pressions inflationnistes dans un environnement de surplus substantiels et persistants de liquidités”, note enfin le rapport de la BAD. Les autorités algériennes sont prévenues : l’année 2020 sera pénible, très pénible sur le plan financier et économique.
Portd’Alger : Le trafic recule de près de 39% au 1er trimestre 202012-07-2020L’activité du port d’Alger a accusé une baisse aussi bien pour le mouvement de la navigation que pour le trafic marchandises, durant le premier trimestre 2020, en comparaison avec la même période de 2019, en raison de la chute des recettes pétrolières et la crise sanitaire mondiale, indique un bilan de l’Entreprise portuaire d’Alger (EPAL).Publié par le périodique d’information N124 de l’entreprise, le bilan montre «une régression du trafic des conteneurs et des hydrocarbures», avec des baisses de près de 39% du nombre des conteneurs traités, de près de 10%du trafic des marchandises et de près de 6% du nombre de navires accostés, par rapport au 1er trimestre 2019.L’EPAL a traité 80.164 conteneurs (20 pieds) au 1er trimestre 2020 contre une prévision de 133.730 conteneurs, soit un taux d’atteinte des objectifs de 60%, rapporte le bilan, précisant que ce trafic a connu une baisse notable de l’ordre de -38,87%, comparé à la même période de l’année 2019.Le trafic des marchandises a ainsi connu une baisse, l’objectif fixé pour cette activité, soit 3,15 millions de tonnes pour le 1er trimestre 2020, ayant été réalisé à hauteur de 82 %, marquant un recul de 9,75 %, en comparaison avec la même période de l’année précédente, pour s’établir à 2,57 millions de tonnes.Expliquant que cette baisse du trafic traité par l’entreprise est induite pat la diminution du trafic conteneur et hydrocarbures, le bilan a toutefois fait remarquer une hausse d’importation de certaines cargaisons homogènes, notamment les céréales, les produits métallurgiques et les matériaux de construction.Durant la même période, le port d’Alger a enregistré l’accostage de 428 navires, dont 385 opérants, soit 86% de l’objectif fixé et une baisse de 5,93% par rapport aux réalisations du 1er trimestre 2019.Cette régression a concerné particulièrement les navires Ro/Ro (transport de véhicules), butaniers, car-ferries et porte-conteneurs qui affichent pour le 1er trimestre 2020 des taux respectifs de – 56%, – 23%, – 21%, et – 9 % par rapport au même trimestre 2019.Le trafic des passagers au port d’Alger, avec 37.500 passagers prévus au 1er trimestre 2020, a réalisé 77% des objectifs fixés. Il est passé de 34.036 passagers au 1er trimestre 2019 à 29.051 passagers à la même période 2020, soit une régression de l’ordre de 14,65%, «due essentiellement aux mesures de confinement décrétées par tous les pays».Le trafic auto-passager a connu également une baisse de -15,98%, passant de 22.898 véhicules durant le 1er trimestre 2020 à 19.239 véhicules en 2020, soit 79% de l’objectif fixé, à savoir 24.500 véhicules.En matière de rendements portuaires, toujours en comparaison avec le 1er trimestre 2019, la durée d’attente moyenne globale en rade des navires a été légèrement améliorée, passant de 1,25 jour à 1.03 jour, soit -18%, grâce à la combinaison des variations des attentes des différents types de navires ayant touché le Port d’Alger.Cette amélioration de la durée d’attente en rade des navires est liée en grande partie à ceux des navires Ro/Ro (-65%), butaniers (-48%), porte-conteneurs (-33%) et céréaliers (-10%).Néanmoins, une tendance à la hausse a été enregistrée pour le séjour moyen à quai des navires traités par l’EPAL, passant de 3,21 jours au 1er trimestre 2019 à 3,43 jours 1er trimestre 2020, induite essentiellement par la hausse des séjours à quai des general-cargo transportant le fer, des navires des hydrocarbures et des porte-conteneurs.Or, le séjour des navires bétaillères et Ro/Ro a été réduit respectivement de -68% et -66%, selon le même bilan.
Algérie: Les avocats d’Ouyahia et Sellal qualifient le procès de « règlement de comptes »12-07-2020Les avocats d’Ahmed Ouyahia et de Abdelmalek Sellal clament l’innocence de leur clients dans l’affaire Cima Motors et dénoncent leur jugement trois fois pour les mêmes faits. La défense qualifie le procès de leurs mandants de “règlement de comptes” et de “procès politique”.Le procès pour corruption de Mahieddine Tahkout s’est déroulé samedi 11 juillet au
tribunal de Sidi M’hamed (
Alger). Les deux anciens ministres, cités dans cette affaire, étaient absents pour des raisons de santé. Ils ont été représentés par leurs avocats respectifs.D’emblée, l’avocat d’
Ahmed Ouyahia rappelle au juge que son mandant est jugé une troisième fois “pour les mêmes faits”. L’avocat explique que l’ordonnance accuse Ouyahia de s’être entendu avec Abdeslam Bouchouareb, l’ex-ministre de l’Industrie, “pour faire sa correspondance relative à la liste des opérateurs”. Or, Bouchouareb n’était plus ministre lorsque Ouyahia avait été nommé à la tête de l’exécutif. “Nous sommes devant un procès politique, un règlement de comptes”, a-t-il dénoncé.
Deux ex-Premiers ministres pour un procès d’une “grande importance”
Aussi, l’avocat souligne qu’Ahmed Ouyahia n’était pas chef du gouvernement lorsque Tahkout avait obtenu son agrément. Selon la défense, le juge s’est basé sur les mêmes faits, les mêmes documents sur la base desquels Ouyahia a été jugé en mars dernier. “Il a sacrifié sa vie privée. Sa politique est toujours maintenue. Rien de nouveau n’a été entrepris. Par son incarcération, l’
Algérie perd un véritable homme d’Etat. Viendra le jour où cette affaire
sera sur la place publique, et l’histoire le réhabilitera”, a déclare la défense.Quant à
Abdelmalek Sellal, il est accusé d’avoir donné, en sa qualité de président du Conseil national d’investissement (CNI), l’agrément à Cima Motors. La défense rappelle que l’ex-Premier ministre a établi cet agrément sur la base d’un cahier des charges considéré comme “illégal”. Cependant, selon les avocats, Renault avait bénéficié des mêmes avantages de ce même cahier des charges, mais “n’a pas été inquiété”.Les avocats de la défense estiment que la justice a ramené deux ex-Premiers ministres pour donner à l’affaire “
une grande importance“. Par ailleurs, ils se demandent pourquoi violer la loi qui dispose qu’un citoyen ne peut être poursuivi plusieurs fois pour les mêmes faits. “On jette les deux Premiers ministres en pâture et on donne une piètre image du pays”, ont-ils déploré.

سري للغاية الجزائر … حكاية والي ولاية مع الوزير الأول السابق نور الدين بدوي
12-07-2020ايمن خليلبادر والي ولاية موجود في المنصب منذ حركة ولاة الجمهورية الأخيرة، إلى تنفيذ تعليمات الوزير الأول السابق نور الدين بدوي بحذافيرها، والي الولاية الجنوبية الحالي ، الذي يبدوا أنه مؤمن ايمان راسخ باستمرارية الدولة الجزائرية، والزامية القرارات التنفيذية باشر عملية توقيع عقود ملكية اراضي وعقارات تنفيذا لقرارات الوزير الأول الأسبق، القاضية بتسوية وضعية العقارات الممنوحة من الدولة ولم تمنعه الأزمة الصحية التي تعيشها البلاد من تنفيذ قرارات الوزير الأول السابق، فهل يتعلق الأمر بحرص السيد الوالي على تطبيق القانون والقرارات فقط ؟.

منصف بوضربة: "قدّمنا خارطة طريق للحكومة لإعادة اطلاق الصناعة الجزائرية " — النهار أونلاين
بقلم معين تيت12-07-2020
كشف رئيس الجمعية الوطنية لمنتجي الخزف والسيراميك، منصف بوضربة، اليوم الأحد، عن تقديم خارطة طريق للحكومة من أجل إعادة إطلاق الصناعة الجزائرية.
وصرّح رئيس الجمعية الوطنية لمنتجي الخزف والسيراميك لـ”النهار أونلاين”، بأنه جرى استقبالهم على مستوى وزارة الصناعة من طرف اللجنة المشرفة على خطة الانطلاقة الاقتصادية والاجتماعية.مضيفا بأن ممثلي مهن السيراميك والبلاستيك والمواد الكيميائية قدّموا خارطة طريق لإعادة إطلاق الصناعة الجزائرية من جديد والمساهمة في إنعاش الاقتصاد الوطني .وهي خارطة الطريق – يضيف المتحدث – التي لاقت ترحيبا وقبولا من طرف لجنة وزارة الصناعة، بعدما شملت نقاطا هامة ومحورية تصبّ في إطار تنمية الصناعة الجزائرية.وأكد منصف بوضربة بأن المصنّعين طالبوا بضرورة اعتماد الضريبة بنسبة 0.5 على استيراد المواد الأولية عِوض نسبة 6 بالمئة المعمول بها حاليا.مضيفا بأن هذه النسبة تعدّ “عائقا” وتسبب مشاكل كبيرة للمصنّعين وتساهم في تعطيل عمليات تصدير المنتوجات الجزائرية نحو الخارج وعدم القدرة على المنافسة في الأسواق الدولية.وفي الأخير أكد ذات المتحدث، على أن خطوات الحكومة الجديدة من أجل البحث عن سبل إعادة إطلاق الصناعة الجزائرية تعد جد إيجابية ويجب المضي فيها من أجل رد الاعتبار لهذا القطاع الأساسي.

التسريح لمؤسسة تسيير الجنائز في تنظيم جنائز المصابين بفيروس كورونا — النهار أونلاين
بقلم أمينة داودي12-07-2020أعطى والي العاصمة يوسف شرفة التسريح لمؤسسة تسيير الجنائز للتعاون مع الجمعيات المساهمة في تنظيم جنائز المصابين بكوفيد 19 و تسهيلات لتأسيس تنسيقيات جمعوية.واستقبل اليوم والي ولاية الجزائر يوسف شرفة الجمعية المحلية ” الدار البيضاء المتحدة” وأعضاء من مكتب الهلال الأحمر لباب الزوار بمقر ولاية الجزائر، حيث استمع إلى عرض تفصيلي لمختلف النشاطات والحملات التي تقوم بها الجمعيتين، لاسيما في ما يخص الإجراءات الوقائية لمكافحة وباء كوروناوتمثلت الاجراءات حسب بيان مصالح الولاية، مساعدات نفسية وبسيكولوجية للمواطنين، توزيع وسائل الوقاية للمواطنين والمستشفيات، التعقيم الدوري لمختلف الأحياء و التجمعات السكنية و الأسواق، بالاضافة إلى التكفل بإطعام الجيش الأبيض من الأطقم الطبية والشبه طبي، ناهيك عن المساهمة في تنظيم جنائز المتوفين من جراء الإصابة بفيروس كورونا، وكذا تنظيم حملات دورية للتبرع بالدم، بالإضافة إلى تقديم مساعدات لذوي الاحتياجات الخاصة والعائلات المعوزةمن جهته شدد الوالي على ضرورة التفكير واقتراح حلول يمكن اعتمادها لتوعية المواطنين من خطر الإصابة بوباء كورونا، وتحسيس الذين تأكدت إصابتهم بالوباء ووجهوا للحجر المنزلي على ضرورة الامتثال به واحترام التدابير الصحية وعدم الخروج والاختلاط بالمواطنين مهما كان الدافع.وأبدى الوالي استعداده الكامل لتقديم مساعدات وتسهيلات للجمعيات التي ترغب في تأسيس تنسيقيات والتسريح لمؤسسة تسيير الجنائز لإبرام اتفاقيات مع الجمعيات التي ترغب في المساهمة في تنظيم جنائز المصابين بكوفيد 19.

الصحفي عبد السميع يكشف معلومات خطيرة بشأن تورط الهامل والسعيد بوتفليقة في سجنه
الكاتب: ع ع12-07-2020كشف الصحفي عبد السميع عبد الحي أثناء مثوله صبيحة اليوم أمام هيئة محكمة استئناف مجلس قضاء تبسة رفقة 5 متهمين آخرين للمحاكمة في قضية تهريب هشام عبود المدير السابق لجريدة “جريدتي” بالعربية و”مون جورنال” بالفرنسية والذي تتم محاكمته غيابيا في هذه الجلسة التي أجلت سابقا بسبب الحجر الصحي، ان شقيق الرئيس السابق بوتفليقة وهو السعيد بوتفليقة كان سببا في سجنه اضافة الى المدير الاسبق للامن الوطني عبد الغني الهامل الذي كان يريد تسوية القضية عندما كانت في التحقيق وكلمه عبر “السكايب” وهي التصريحات التي يقول عنها من حضروا الجلسات السابقة بأن المتهم الصحفي عبد السميع لم يسبق أن أدلى بها، وقد أمر القاضي برفع الجلسة لاستئنافها في 13.30 لمرافعة النيابة والدفاع.هذا وادانت محكمة الجنايات الابتدائية في فيفري المنصرم الصحفي عبد السميع عبد الحي بـ 3سنوات سجنا نافذة مع الإيداع من الجلسة بعدما قضى قرابة 24 شهرا في الحبس المؤقت وقبل أن يستفيد من الإفراج واستمع قاضي الجلسة للمتهمين عن طريق المحاكمة عن بعد بحضور الصحافة وهيئة دفاع المتهمين الذين أنكروا علاقتهم بهشام عبود أوالتخطيط لتهريبه بالنظر إلى أن ختم جواز السفر بالخروج كان مزورا كما جاء على لسان أحد المتهمين.