Confidentiel. L’IGF commence par ausculter profondément la direction financière de Sonatrach
29-07-2020
Une quinzaine d’inspecteurs et d’enquêteurs de l’Inspection Générale des Finances (IGF) commencé leur travail d’audit au niveau de la direction générale de Sonatrach à Alger comme il avait été annoncé précédemment en exclusivité par Algérie Part. Ces enquêteurs de l’IGF ont commencé officiellement leur mission lundi passé. Ils occupent un bureau à la direction générale de Sonatrach située à Hydra (Alger).
Le premier dossier auquel ces inspecteurs de l’IGF se sont attaqués est le fonctionnement de la direction des affaires financières de Sonatrach. Tous les dossiers de ce département sensible qui supervise l’ensemble des opérations financières de la compagnie nationale des hydrocarbures, le premier pourvoyeur de devises de l’Etat algérien, ont été réclamés par les inspecteurs de l’IGF qui devront ausculter tous ses dossiers afin de rédiger ensuite leur premier rapport détaillé sur les irrégularités ou dysfonctionnements qui seront décédés au cours de leur enquête.
Il est à rappeler que la direction des affaires financières de Sonatrach connaît une instabilité inquiétante. Elle est encore dirigée par un vice-président par intérim à la suite de la démission fracassante de l’ancien vice-président désigné par le PDG Toufik Hakkar et dont la nomination a été approuvée par un décret présidentiel paru le 30 mars dernier.
En effet, Hadj Djilali ABOUDA, l’homme qui a été nommé officiellement depuis le 30 mars dernier vice-Président Responsable des Finances, a envoyé sa démission le 7 juin dernier à la direction générale de Sonatrach, avait révélé Algérie Part au cours de ses investigations. Ce haut responsable de Sonatrach a expliqué dans sa démission qu’il n’a jamais été consulté avant l’annonce de sa nomination et qu’il n’est pas du tout intéressé par ce “poste de responsabilité”. Un geste totalement inédit à Sonatrach !
En réalité, selon nos investigations, Hadj Djilali Abouda n’avait jamais rejoint son nouveau poste de travail depuis le 30 mars dernier. Dés le départ, il avait refusé d’occuper ses nouvelles fonctions car il n’a jamais désiré devenir vice-président chargé des finances du groupe Sonatrach. A son entourage, Hadj Djilali Abouda avait fait savoir depuis le mois d’avril dernier qu’il refusait de servir de “bouc émissaire” dans une administration qui va l’utiliser pour cacher et dissimuler les gros scandales de corruption ou de mauvaise gestion qui ébranlent en ce moment Sonatrach à l’image de la raffinerie italienne d’Augusta rachetée officiellement en décembre 2018, mais dont la mauvaise gestion par Sonatrach est en train de causer des pertes immenses en devises comme il avait été révélé récemment par Algérie Part.
Avant sa nomination à la tête de la vice-présidence des finances de Sonatrach, Hadj Djilali Abouda occupait les fonctions de chef de département Audit Finances et comptabilité / Activité Aval / SONATRACH dont le siège est situé à Oran. Décidément, l’homme se sent à l’aise dans ce travail et ne veut nullement se mêler aux affaires occultes de la direction générale conduite en ce moment par Toufik Hakkar, le PDG controversé qui fait l’objet de critiques très sévères en raison de sa proximité avec des lobbys affairistes très douteux.
Corruption – L’Affaire de l’Aéroport D’Alger en Justice, Tahar Allache au Centre des Accusations !
29-07-2020
Si vous avez raté les incroyables histoires de corruption, de harcèlement et d’intimidations du Président Directeur Général (PDG) de la Société de Gestion des Systèmes et des Infrastructures Aéroportuaires (SGSIA), Tahar Allache, nous vous recommandons préalablement de prendre connaissances de tous nos articles sur le sujet, avant de lire ce qui suit.
Après des mois d’enquêtes et de révélations, et malgré les pressions exercées sur les corps de Police et de Justice, les magistrats algériens vont enfin pouvoir commencer à traiter l’affaire dite de la SGSIA.
Pour rappel, Khelifa Ounissi, le Directeur de la Sûreté Nationale, était personnellement intervenu dans l’enquête des services de police, pour tenter de sauver la tête de son Ami Tahar Allache ! En vain…
En effet, c’est cette semaine qu’ont commencé les auditions des cadres de l’Aéroport d’Alger par le juge de la chambre N°8 du tribunal de Sidi M’hamed.
Si Amine Kheider, l’ancien directeur du projet d’extension de l’Aéroport d’Alger et actuel numéro 2 de la SGSIA, avait été entendu en premier il y a quelques semaines de cela, on retrouve dans la longue liste des personnes convoquées cette semaine, en plus de Tahar Allache, quatre autres de ses proches collaborateurs que sont : Laiche Zarra le Directeur Financier, Abderahmane Yacef le directeur d’exploitation, Maamar abdesslam l’ex directeur commercial et Hadjersi Ladjal conseiller du PDG.
Selon nos informations, les faits qui seraient reprochés à Tahar Allache feraient état de surfacturation, de dilapidation de deniers publiques, de corruption, d’attribution d’indus avantages au titre de l’octroi de marchés publics et de contrats, de trafic d’influence, de favoritisme, de passation de marchés en violation des dispositions législatives et réglementaires, abus de fonction…
Le plus surprenant et afin de ne pas ébruiter cette affaire, Tahar Allache a décidé de garder les convocations à son niveau, ne prenant le soin de communiquer les convocations de justice à ses collègues de la SGSIA, que le jour même de leur audition !
Craignant visiblement la couverture médiatique accablante de ce gigantesque scandale de corruption qui entache le Ministère des Transports, qu’Algeriepart dénonce depuis plusieurs années malgré toutes les menaces subies, Allache tente difficilement de rassurer ses cadres convoqués, leur affirmant qu’ils seront protégés et que « cette affaire de justice c’est juste une ”formalité” » !
Une assurance qui en dit long sur le sentiment d’impunité entourant ce fonctionnaire de l’Etat, dont la gestion médiocre a été pourtant décriée par plusieurs de ses collaborateurs.
Un cadre du Ministère du Transport, contacté, nous a en effet tenu un discours peu élogieux sur les réelles compétences de management de Tahar Allache.
« Les réserves émises sur les différents contrats liés à la réalisation du Terminal Ouest de l’Aéroport d’Alger sont nombreuses et assez complexes. Le pire reste tout de même l’affaire de la nouvelle tour de contrôle de l’aérogare d’Alger qui n’est toujours pas mise en service à ce jour, c’est dire l’incompétence de ce responsable quant à tenir les engagements de l’Etat relativement aux délais de réalisation et à la conformité de ses grands projets ! »… Peu reluisant en effet !
Il serait vain de croire que les cadres de la SGSIA puissent sortir indemnes des poursuites pour corruption lancées officiellement par la Serious Fraud Office (SFO), qui est une agence du Gouvernement du Royaume-Uni, responsable d’enquêtes et de poursuites de cas de fraude et de corruption qui impliquent plusieurs juridictions nationales.
Tout comme il serait trompeur pour ces cadres de croire, en plus des belles paroles de Tahar Allache, que les poursuites lancées officiellement par des entreprises internationales et adressées non seulement à la Justice de notre pays mais également au Ministère des transports et à la Présidence de la République, étayées par les pesants rapports des services de sécurité et de renseignements algériens, puissent leur faire éviter de réelles condamnations pour des crimes contre l’économie nationale.
Tahar Allache et son gang n’ont même pas épargné les entreprises locales, telle celles qui sont en charge des travaux de nettoyage de l’aéroport Houari Boumediene. Nous avions dénoncées les pratiques douteuses entourant les sociétés Techniques Diverses, Aqualis, VE Pro…
La presse étrangère alertée en son temps, avait déjà publié des articles détaillant avec acuité et documents à l’appui, des preuves accablantes sur les tentatives de corruption dont a été victime la société anglaise Ultra Electronics, qui avait soumissionné avec succès à un appel d’offres avant d’être éjectée par Tahar Allache, à la suite du refus des responsables anglais à payer un pot de vin de plusieurs centaines de milliers d’Euros…
Alors que la majorité des hauts cadres de la SGSIA ont été lourdement chargés par les enquêtes de Police et soumis, sur décision du procureur de Dar el Beida, à une Interdiction de Sortie du Territoire National (ISTN), Tahar Allache continue de défier les lois de la République et les décisions de Justice grâce à ses soutiens.
Certes, grâce à ses ”amis” dans cette Algérie livrée à la Issaba de Bouteflika, Tahar Allache a pu jusque-là échapper à la justice, en dépit des nombreuses plaintes qu’il traîne derrière lui, particulièrement celle pour menace de mort qui avait été déposée contre lui par un représentant commercial de sociétés étrangères en Mars 2019 et enregistrée en Juin 2019 par le tribunal de Dar El Beida !
Des soutiens qui lui avaient permis d’ignorer l’injonction du même tribunal de Dar El Beida quant à sa suspension de son poste de PDG à la fin du mois de Septembre 2019, et qu’il espère encore aujourd’hui voir intervenir pour lui sauver à nouveau la peau et celles de ses acolytes.
Pour cela il n’a pas hésité à toucher le conseiller à la sécurité du Président Tebboune, un proche de Chakib Berrah, chef du département d’exploitation au niveau de la Société de Gestion des Services et Infrastructures Aéroportuaires d’Alger (SGSIA), ou le Général Mohamed Saal, Directeur Général de l’Ecole Nationale Préparatoire aux Etudes d’Ingénieur (ENPEI) Badji-Mokhtar de Rouiba (Alger) qui est le beau-père de l’un des cadres de la Société de Gestion des Services et Infrastructures Aéroportuaires d’Alger (SGSIA), à savoir Tarek Mehdi, cadre employé dans le ”service Recrutement” à la Direction des Ressources Humaines (DRH) de la SGSIA.
Mais cela sera-t-il pour autant suffisant pour Tahar Allache qui, malgré ses deux ISTN émis dans le cadre d’affaires de corruptions, se considère toujours au-dessus des lois algériennes et du principe légalité et d’égalité sur lequel devrait se fonder la justice de notre Pays, comme le prévoit si bien l’article 158 de la Constitution algérienne ?
Les citoyens algériens, comme beaucoup d’observateurs étrangers, seront attentifs au déroulement de ces auditions et du procès qui doit être bientôt programmé, et constaterons en fonction de ces développements, si la République d’Abdelmadjid Tebboune est réellement celle du changement et de l’indépendance de la Justice, ou si nous avons été, en fait, leurrés une fois encore…
Amir Youness
France 24 annonce son soutien à Moncef Ait Kaci
29-07-2020
La direction de la chaîne France 24 a annoncé mercredi son soutien à son ex-correspondant en Algérie le journaliste Moncef Ait Kaci arrêté puis placé mardi en détention provisoire par le tribunal de Bir Mourad Raïs à Alger.
« La Direction de France Media Monde et de France 24 travaille sans relâche afin d’obtenir la libération de Moncef Ait Kaci et Ramdane Rahmouni. Les autorités algériennes ont été saisies dès hier soir. Des avocats sont auprès d’eux. Le Quai d’Orsay et sa cellule de crise ont été alertés », lit-on dans un article publié sur le site de la chaîne d’information internationale continue. « Les journalistes de France 24 tiennent, bien évidemment, à apporter tout leur soutien à leurs confrères injustement arrêtés », a ajouté la même source.
« Notre confrère a été arrêté en compagnie de son cameraman, Ramdane Rahmouni, lequel avait assuré les aspects techniques de l’entretien accordé à France 24 du président algérien, Abdelmadjid Tebboune, le 4 juillet dernier », a précisé la même source, en ajoutant que « les faits reprochés à Moncef Aït Kaci n’ont pas été dévoilés, mais selon sa défense, il s’agirait d’un problème d’accréditation de presse auprès des autorités algériennes ».
"Le port de Bejaïa consigné jusqu’à nouvel ordre", suite au mouvement de grève - Algerie360
29-07-2020
Suite à la grève générale des travailleurs engagée par la section locale de l’UGTA le 20 juillet, l’Entreprise portuaire de Bejaia EPB a annoncé que le port de Bejaïa est « consigné jusqu’à nouvel ordre ».
Dans une note du 28 juillet, adressée aux usagers du port, l’EPB leur a demandé de dérouter leurs navires vers d’autres ports algériens, tout en jugeant ce mouvement de grève engagé par le conseil syndical de l’entreprise depuis le lundi 20 juillet 2020 à 13 h, d’illégal.
« Compte tenu de la situation que vit actuellement le port de Bejaïa suite au mouvement de grève, nous portons à la connaissance de l’ensemble des usagers portuaires que le port de Bejaïa est consigné, jusqu’à nouvel ordre », indique la note.
À cet effet, l’EPB a demandé aux usagers de « prendre les mesures nécessaires afin de dérouter vos navires vers d’autres ports algériens, jusqu’à la reprise normale des activités », et ce « afin de préserver vos intérêts et les intérêts économiques de la région et du pays ».
Concernant les produits stratégiques (hydrocarbures, gaz, animaux vivants…), l’Entreprise annonce qu’elle assurera ses services pour les navires les transportant.
Pour rappel, le conseil syndical de l’entreprise a engagé une grève depuis le 20 juillet dernier réclamant le départ du PDG de cette structure.
Algérie : Le général Wassini Bouazza aujourd’hui devant la Cour militaire
29-07-2020
Le général Wassini Bouazza, l’ancien patron de la Direction générale de la Sécurité intérieure (DGSI), comparaîtra ce mercredi 29 juillet devant la Cour d’appel militaire de Blida. Le procès en appel du général, condamné le 23 juin dernier à une peine de huit ans de prison ferme assortie d’une amende de 500 000, est programmé après la cassation introduite par les avocats du concerné.
Ainsi, l’ancien patron de la DGSI va répondre des chefs d’inculpation d’ «outrage verbal à corps constitué», «humiliation d’un subordonné», «faux et usage de faux» et «détention d’une arme et de munitions de guerre». Ce procès concerne la première affaire dans laquelle le général Wassini Bouazza a été déféré devant la justice militaire. Elle est liée aux circonstances de son arrestation, le 13 avril dernier par les officiers de la DCSA (Direction centrale de la sécurité de l’armée).
Le puissant général tombe dans la disgrâce
Le général incarcéré à la prison militaire est aussi accusé de constituer un réseau d’influence dans le corps militaire. Ses complices sont également poursuivis dans la même affaire. Il s’agit du chef d’antenne de la DGSI d’Alger, le colonel Yacine, l’ex-patron de la DCSA (Direction centrale de la sécurité de l’armée), le général Abdelwahab Belbouri, dit Nabil, ainsi que le chef du service judiciaire de la DGSI.
Il faut aussi souligner que l’affaire qui sera jugé aujourd’hui devant le tribunal militaire concerne des actes délictuels. Une autre affaire concernant Wassini Bouazza est en instruction. Elle est liée à des faits relevant du tribunal criminel.
Pour rappel, l’ancien directeur général de la Sécurité intérieure en Algérie a été limogé le 13 avril 2020. Il a été remplacé par le général Abdelghani Rachedi qui a été son adjoint durant cinq jours. Une enquête a été ouverte au niveau de la Direction centrale de la sécurité de l’armée (DCSA) sur de nombreux dossiers liés à la gestion du général Wassini Bouazza, « ses relais, ses intrusions dans le domaine politico-médiatique, etc ».
هذا ما تطالب به حمس السلطات العليا للبلاد
الكاتب: يونس.ن
29-07-2020
دعت حركة مجتمع السلم إلى الاستعجال في صياغة “رؤية توافقية” للانتقال السياسي والاقتصادي، كما أكدت خلال اجتماع مكتبها التنفيذي على فتح حوار سياسي “جاد” لصياغة وثيقة دستورية في إطار “توافقي وإصلاحي”. فيما ثمن الإجراءات المتخذة لصالح المؤسسات، وتعويض الأفراد المتضرّرين من جائحة كورونا.
نبه المكتب التنفيذي لحركة مجتمع السلم برئاسة نائب رئيس الحركة عبد الرحمان بن فرحات، على “خطورة” توسع انتشار وباء كورونا، داعية إلى “مراجعة عقلانية لاستراتيجية التعامل مع الجائحة ولاسيما إجراءات الحجر الصحي بما يحفظ صحة المواطنين ويوفر فرصا أكثر ملائمة لضمان العيش الكريم بتوفير مستلزمات مواجهة الوباء والصرامة في تطبيق الاجراءات وتحمل مسؤولية الاخفاقات المسجلة أثناء الأداء المركزي والمحلي”.
وترى الحركة ان العودة التدريجية للحياة الطبيعية مع استمرار الجائحة “أصبح أمرا لا مفر منه” وهو ما قررت قطاعات حساسة كالتربية والتعليم العالي تجاوزه في قادم الأيام، وبخصوص المساجد فإن حمس تدعوا إلى “الفتح التدريجي لها وفق الشروط والضوابط الصارمة التي ينبغي أن تكون محل حوار وتشاور مع الجهات المختصة وشركاء القطاع بما يحفظ الدين من التعطيل والنفس من الهلاك”.
ومن جهة أخرى، ثمنت حركة مجتمع السلم الإجراءات المتخذة لصالح المؤسسات، وتعويض الأفراد المتضرّرين من جائحة كورونا، وكذا التكفل بالسّلك الطبي وحمايته. غير أنها اعتبرت الوضع الاقتصادي الراهن والموصوف بأزمة الصدمة النفطية “وغياب الرؤية المستقبلية”، والتي قد تؤدي _حسب الحركة_ إلى “أزمة مالية وسيولة نقدية أكثر خطورة من التي نراها هذه الأيام من خلال الطوابير أمام مراكز البريد”.
وشددت الحركة على أن الوضع يمثل “سانحة لاستعجال صياغة توافقية لرؤية الانتقال السياسي والاقتصادي يجنب البلاد الانهيارات الاجتماعية والأمنية في ظل راهن إقليمي وعالمي متحرك”.
كما جددت حمس تأكيدها على ضرورة “فتح حوار سياسي جاد لصياغة وثيقة دستورية في إطار توافقي وإصلاحي”، وذلك بهدف “استيعاب مقترحات” الطبقة السياسية والمجتمعية والشخصيات الوطنية والتي وصلت إلى 2500 رسالة رد في مسودة التعديل الدستوري الذي سيقترح على الاستفتاء الشعبي بما يثبت هوية الشعب والدولة “ويحقق طموح تغيير طبيعة النظام والفصل بين السلطات وعدم تقييد الحقوق
والحريات”.
وفي السياسي ايضا، أكدت الحركة أنه “لا تطوير ولا تجديد للحياة السياسية وأخلقتها إلا بتقوية الأحزاب باعتبارها الأداة السياسية المثلى لمعالجة حالة العزوف السياسي والانتخابي وفتح المجال أمام الراغبين في ذلك بدون قيد أو شرط”، فيما ثمنت الأداء المتميز للمجتمع المدني “المفيد” الذي “ضرب أروع الأمثلة في التضامن الوطني وهو دوره الذي ينبغي تكريمه وترقيته بعيدا عن أي إرادة للتسييس الذي يحرفه عن وظائفه الأساسية”.
وفيما يتعلق بالقضايا الدولة، دعت حمس الديبلوماسية الجزائرية إلى “الثبات على موقف الحل السياسي لتسوية الازمة الليبية” من خلال “الحوار الليبي الليبي بعيدا عن التدخلات الخارجية التي لن تزيد الأزمة
إلا انشطارا وتعقيدا مما سيرهن الاقليم ويهدد الامن القومي لدول الجوار”.
Football : le titre de champion d’Algérie
attribué au CRB
Par: Rafik Tadjer 29 Juil. 2020 à 12:02
Le Bureau fédéral de la FAF a décidé ce mercredi d’attribuer le titre de champion d’Algérie de la saison 2019-2020 au CR Belouizdad, rapporte l’ENTV.
Le BF, qui a tenu une réunion extraordinaire pour trancher sur l’avenir du championnat de football, a décidé également qu’il n’y aura pas de relégation cette saison. Il a également décidé de la remontée en Ligue 1 de quatre équipes de Ligue 2. La saison 2020-2021 se jouera donc avec 20 clubs.